Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

mardi 27 octobre 2015

JEUX D'ENFANT (2003)

Dans le grenier, des petits films ambitieux mais qui feront plouf.

Un petit film de Yann Samuell, datant de 2003, avec deux acteurs qui ne sont plus inconnus de nos jours. Guillaume Canet et Marion Cotillard. Un "Jeux d'Enfants", ou leurs personnages, alors enfant, décident de s'imposer le jeu du "cap ou pas cap". Cette défiance les poursuivra à l'âge adulte, ou après une adolescence difficile, ils décidèrent de ne plus ce voir pendant dix ans, vu que le jeu commençait à devenir une nuisance a leurs propres vies, sans jamais admettre leur amour entacher par ce jeu auquel ils ne dérogeront jamais. Dix ans s'écoulent, et les voici de nouveau réunis, alors qu'ils ont chacun fait leurs vies, en couple avec enfants. Mais le jeu va reprendre le dessus.... Une comédie dramatique en soit, qui n'est pas sans une certaine violence que l'individus s'inflige parfois dans son existence, dans la société, dans ses relations. Un film qui est fait pour des acteurs, des vraies. Même si à cette époque, Canet était encore marié avec Diane Kruger, les deux acteurs n'auraient jamais imaginer devenir comme dans ce film, un couple d'écran, comme dans la vie. Il n'en reste pas moins un film assez cruel, entre deux personnes qui durant toutes ces années, auront simplement gâché leur relation, à cause d'un jeu ou chacun ne voulait pas s'incliner face à l'autre.

Directed byYann Samuell
Produced byChristophe Rossignon
Written byJacky Cukier
Yann Samuell
StarringGuillaume Canet
Marion Cotillard
Distributed byParamount Classics (U.S.)
Release dates
17 September 2003 (France) 24 September 2003 (Belgium)
Running time
92 minutes[1]
CountryFrance
Belgium
LanguageFrench
Box office$8,561,371


ECHELON CONSPIRACY (2009)


Dans le grenier, un film qui surfe sur la tendance du big brother tout en prennant des libertés. 


Datant de 2009, et réaliser par Greg Marcks, ce Echelon Conspiracy est bien moins bourrin que son prédécesseur, "Eagle Eyes", et plus international. L'histoire d'un jeune ingénieur informatique, qui ce retrouve avec un nouveau téléphone, qui à la particularité de lui donner d'avance des informations avant qu'elles ne ce produise. Il sera alors quelque peu manipulé par cette voix féminine, qui lui permettra de gagner en bourse, au casino, avant que des agents de la sécurité nationale ne viennent à s’intéresser à lui, avec entre les deux, un responsable de la sécurité du casino, ex agent de la CIA, qui va essayer de démêler le mystère sur ce téléphone, qui s'avérera être en fait Echelon, le nouveau système intelligent de la NSA, qui semble avoir atteint un niveau d'autonomie, qu'il finit par jouer avec notre héros. Le film n'est pas sans rappeler aussi un autre film beaucoup plus ancien, Wargame, ou la machine, doit finalement apprendre à reconnaître la réalité face à la virtualité de ses simulations qui finissent par la rendre presque paranoïaque. Un film plus large, géographiquement parlant que "Eagle Eyes", avec des moyens plus modeste, de surcroit, car produit par Dark Castle, qui ne convaincra pas plus le public américain que les potentiels distributeurs à l'internationnal. Ce qui explique que ce film ne verra pas les écrans français.

Directed byGreg Marcks
Produced byJohn Corser
Alexander Leyviman
Steve Richards
Roee Sharon
Screenplay byKevin Elders
Michael Nitsberg
Story byMichael Nitsberg
StarringShane West
Edward Burns
Ving Rhames
Jonathan Pryce
Martin Sheen
Music byBobby Tahouri
CinematographyLorenzo Senatore
Edited byJoseph Gutowski
James Herbert
Production
company
Distributed byAfter Dark Films
Release dates
  • February 27, 2009
Running time
105 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Russian
Box office$2,186,782

SOLDIER (1998)



Dans le grenier, des films qui furent le film de trop et le début de la fin pour une gloire des blockbusters. 

Non comptant d'avoir été une tête d'affiche incontournable dans les années 80, surtout grâce a John Carpenter qui lui offrit ses plus grands rôles (Snake Plissken étant indissociable du visage de Kurt Russell, tout comme Schwarzenegger avec Terminator), Russell commença a perdre considérablement de la crédibilité dans la fin des années 90. Soldier, réaliser par Paul W. S. Anderson en 1998, succéda à un médiocre Los Angeles 2013, et un invisible Breakdown, qui mirent déjà un grand coup dans la carrière de l'acteur. Une film SF, qui nous relate l'histoire d'un soldat conditionné depuis sa jeunesse, à être une machine de guerre parfaite. Sauf que la technologie va rattraper les faiblesses humaines, et ce soldat va être mis au rencard de façon expéditive, par cette nouvelle génération de soldat biogénétiquement modifiés. Lors d'un combat test avec l'un d'entre eux, il va perdre le combat et jeter comme un détritus sur une planète désolé. Là, il va tombé sur les survivants d'un vaisseau perdu, et réapprendre à être plus humain, non sans ce donner pour devoir de battre ces nouveaux soldats qui menacent de rompre le juste équilibre sur Terre. Un film qui malgrés des moyens non négligeable, passera totalement inaperçue, tant les critiques auront été négative à son sujet. Trop lent, problème de rythme, montage raté, Soldier n'aurait jamais pu être à la hauteur pour compenser la petite taille de son acteur principal. On y crois guère, et Kurt Russell semble notoirement mal à l'aise dans ce rôle de soldat du futur, qui semble plus constipé et idiot qu'une véritable machine de guerre, en passe de devenir un héros. Mais Russel n'arrêtera pas sa carrière pour antant, moins présent, certes, avant de revenir chez Tarantino, dans Grindhouse en 2007 et The Hatefull Eight en 2015 en 2015


Directed byPaul Anderson
Produced byJerry Weintraub
Written byDavid Webb Peoples
Starring
Music byJoel McNeely
CinematographyDavid Tattersall
Edited byMartin Hunter
Production
company
Distributed byWarner Bros. Pictures
Release dates
  • October 23, 1998
Running time
99 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$60 million
Box office$14.6 million

ANGLE D'ATTAQUE (2007)

Dans le grenier, des expériences filmiques qui n'ont finalement pas marquer outre mesure. 

Vantage Point, ou sous son titre français Angles d'Attaque, fut réalisé par Pete Travis en 2007, et était un film construit sur un principe simple. Un évènement, la tentative d'assassinat du président des USA, lors d'un sommet sur le terrorisme, à Salamanque, en Espagne, est décortiqué par des points de vue, des vidéos, de quelques témoins de l’évènement, afin de déterminé les auteurs, et finalement dévoiler une vérité effroyable. Un film qui jongle sur les parallèles, comme sur les recoupements de chaque témoins, et qui bien évidement, rend le film nécessairement digeste quant on plonge dans l'intrigue. Ce qui n'est pas le cas de ceux qui parfois prennent un film comme un divertissement, sans devoir à réfléchir deux minutes sur les intrigues, les faits, les éléments qui sont exposé en même temps aux spectateurs, qu'aux protagonistes du film. Un méli mélo qui n'engagea pas le public français plus que çà sur l'expérience d'un film hors du commun, qui dans son montage, n'est pas sans s'inspiré de la série "24 heures". Et même un casting de choix, avec entre autres, un certain Matthew Fox, propulsé par la série Lost comme une futur star de cinéma, et la présence de l'acteur français Saïd Taghmaoui, qui discrètement, à réussit haut la main une carrière internationale depuis l'époque ou il avait exploser à l'écran dans la Haine de Kassovitz.
Directed byPete Travis
Produced byNeal H. Moritz
Written byBarry L. Levy
Starring
Music byAtli Örvarsson
CinematographyAmir Mokri
Edited byStuart Baird
Production
company
Distributed byColumbia Pictures
Release dates
  • February 13, 2008(Salamanca premiere)
  • February 22, 2008
Running time
90 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Spanish
Budget$40,000,000
Box office$151,161,491


20TH CENTURY BOYS (2008, 2009)

Dans le grenier, des films cultes mais pour connaisseurs, uniquement.

20th Century Boys est à l'origine un manga, en 24 volumes, qui avait eu un énorme succès entre 1999 et 2007. Mainte fois durant ce temps, plusieurs productions tentèrent d'en faire une adaptation cinéma, sans pouvoir finalement trouver le format le mieux adapter. Ce n'est qu'en 2007, que fut décidé de réaliser une trilogie, dont le premier volet sortira en 2008, tout en travaillant sur les adaptations des deux autres volets. L'histoire aborde une multitude de sujets. Une bande de copains dans les années 60, décident de s'inventer une histoire de science fiction apocalyptique, dont chacun apportèrent sur un cahier, leurs textes comme leurs dessins. Plus de trente ans plus tard, l'un d'entre eux ce suicide, ce qui rassemble chacun d'eux, pour découvrir que petit à petit, des évènements catastrophiques semblent s'inspirer de cette histoire qu'ils avaient écrit de toute pièce. Au fur et à mesure des jours, ces évènements semblent lié a un mystérieux individu masqué, Ami, un maître d'une secte devenu l'ennemis public numéro un, qui par ces actes, tentent petit à petit de prendre le pouvoir en séduisant le peuple, et finalement instaurer un sorte de dictature. Mais les anciens amis, ce doutent petit à petit, que ce maître serait peut-être l'un de leurs camarades de l'époque, qui s'inspire de ce qu'ils avaient consigné dans leurs cahiers, pour aboutir à la fin du monde, le 31 décembre 2000. Une trilogie qui aborde un grand nombre de thème, comme la propagande, la manipulation, le pouvoir des sectes, le désespoir de la génération rock de l’après guerre, ou les armes biologiques. Un premier film qu'il faut avoir vu pour savoir si le genre filmique (essentiellement constitué de flashback) est à la porter du spectateur ordinaire. Raison sans doute, pour laquelle le film ne fut pas exploiter à plus grande échelle lors de sa sortie en salle, par le fait que l'oeuvre reste dans un genre assez complexe, et qui plus est, dans une mise en scène typiquement nippone. Il n'en est pas moins un gros succès au box office du soleil levant, mais également une très bonne vente DVD en France. Un film à voir absolument, en sachant que les deux autres opus furent réaliser la même année, en 2009, pour des sortie échelonner jusqu'en 2010.

Directed byYukihiko Tsutsumi
Written byYasushi Fukuda, Takashi Nagasaki, Naoki Urasawa, Yûsuke Watanabe
Music byRyoumei Shirai
Licensed by
4Digital Media
ReleasedAugust 30, 2008,
January 31, 2009, August 29, 2009 



HOLD UP (1985)

Hold-Up-poster.jpg
Dans le grenier, les films des dernières galipettes de légendes. 


Alexandre Arcady s'offre non seulement une coproduction franco canadienne, mais en plus, les services de Jean Paul Belmondo, dans ce "Hold Up", datant de 1985. Un film particulier pour plusieurs raisons. Non comptant d'être une comédie, c'est l'occasion de regrouper un casting de choix, avec Guy Marchant, Jacques Villeret, et Jean Pierre Marielle, ainsi qu'une jeune actrice encore méconnue à l'époque, une certaine Kim Cattrall. Et oui, cette jeune actrice, qui allait devenir l'une des protagonistes de "Sex and the City". Puis c'est aussi l'un de ses films qui furent réaliser en coproduction canadienne, à une époque ou le cinéma français commençait à être malade, financièrement parlant, et ne permettait pas à certaines productions d'assumer des films aux budgets conséquents, s'offrant souvent des collaborations avec nos cousins d'outre atlantique. Ensuite, parce que c'est l'avant dernière fois ou Belmondo restera fidèle à sa réputation de faire ses propres cascades. Car en effet, c'est dans une séquence avec la dépanneuse que Belmondo percutera le manche de la grue, l'obligeant à suspendre quelques jours le tournages du fait de quelques points de sutures sur son crâne. Ce sera en réalité le dernier film ou Belmondo effectura des cascades physiques, puisque pour son film suivant, les assureurs ne voulaient plus prendre le risque de devoir payer des jours chômés à cause d'un accident. Et c'est ainsi que pour "le Solitaire" Belmondo ne se contentera que de quelques cascades en voiture. Et enfin, c'est aussi un film qui eut son remake américain, avec Quick Change, réaliser en 1990, avec dans les rôles principaux, Bill Murray, Geena Davis et Randy Quaid. "Hold Up", aura néanmoins eu un succès mitigé pour un Belmondo commençant à prendre de l'âge, et qui tournera là son avant dernier film d'action proprement dit, dans la série de ceux qui firent sa gloire dans ses années 80.

TRAILER

V.F.


Directed byAlexandre Arcady
Written byAlexandre Arcady
Jay Cronley (book)
StarringJean-Paul Belmondo
Kim Cattrall
Guy Marchand
Jean-Pierre Marielle
Music bySerge Franklin
CinematographyMichael Chapman
Distributed byGaumont
Release dates
  • 23 October 1985
Running time
114 minutes
CountryCanada
France
LanguageFrench
Box officeCAD $8,000,000
2,367,294 admissions 

L'ATTAQUE DES MOUSSAKAS GEANTES (1999)

Dans le grenier, des nanars cultes. 

"I epithésis tou yigantiéou moussaka", est comme le titre l'indique, un film grecque, plus connu sous son titre très évocateur de "L'Attaque des Moussakas Géante". Même si outre atlantique, on avait déjà eu le droit aux "tomates tueuses", nous somme là devant le sommet de la pyramide des narnars par excellence. Réaliser, produit, écrit en 1999 par un certain Panos H. Koutras, le film est tellement improbable qu'il est à la hauteur de son mauvais gout, de ses temps morts, de son kitch, que la simple évocation de ce film, manquerait à donner honte a quiconque qui y aurait participé. D'autant plus que sur fond d'une attaque d'une moussaka géante, transformer ainsi par une soucoupe volante, le film surfe sur une tendance "queer", entendez là un film aux tendance fashion, culte de l'apparence, et gay. Un brouillon sur ton de comédie qui parfois frise le mauvais gout, autant dans un comique graveleux, qu'avec des acteurs en dessous de tous, usant de clichés trop faciles, et parfois choquants. Fort heureusement, ce n'est pas là une image du cinéma Grec, qui a su, et sait encore faire preuve d'un cinéma de qualité, malgré un contexte économique aujourd'hui difficile.


Directed byPanos H. Koutras
Produced byPanos H. Koutras
Written byPanos Evagellidis
Yorgos Korontsis
StarringYannis Aggelakis
Myriam Vourou
Christos Mantakas
Gregory Patrikareas
Eugene Dimitriou
Themis Bazaka
Roubini Vasilakopoulou
Jenny Balatsinou
Dorothea Mercouri[1]
Music byKonstantinos Vita
CinematographyZafiris Epaminondas
Edited byElissavet Chronopoulou
Release dates
24 December 1999 [1]
Running time
90 minutes
CountryGreece

SUPER TYPHOON (2010)

Dans le grenier, des gros succès, mais ailleurs. 

"Super Typhoon" est un film réaliser en 2010, et nous conte l'histoire d'un Typhoon gigantesque, qui va s'abattre sur les cotes chinoises, et dont le maire d'une ville va devoir tous faire pour essayer de sauver le maximum de population d'un désastre annoncé. Bien évidement, çà ne change pas grandement des scénarios de film catastrophe, si ce n'est que ce film est une production chinoise. Non pas Hong Kongaise mais belle et bien issue des productions made in China. Un véritable carton au pays du matin calme, pour un film au budget conséquent, pour faire la démonstration d'un cinéma chinois qui se modernise et s'attaque désormais au cinéma asiatique, a défaut d'un cinéma international, ou à la limite, confidentiel a certaines salles spécialisées. Mais bien évidement, il est amusant de voir que le chinois ne peu s’empêcher de laisser quelques petits signes de patriotisme en pensant bien évidement a conforté la sensibilité du parti. Et également à noter la présence d'un américain, histoire de consolidé une "amitié" politiquement correcte. Une petite réussite néanmoins pour un cinéma qui n'est pas très répandu en Europe, ou tous du moins dans les réseaux grand public.



mardi 13 octobre 2015

FATMAN AND LITTLE BOY (1989)

Dans le grenier, des histoires de Manhattan. 


Réaliser en 1989, par Roland Joffe, Les Maitres de l'Ombre, passera quelque peu inaperçu dans les salles. Titre français pour un film qui portait dans sa version originale, le nom des deux bombes nucléaires lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, Fat Man and Little Boy, en sous entendus des deux protagonistes, Paul Newman dans le rôle du General Leslie Groves, face à un J. Robert Oppenheimer interprété par Dwight Schultz, peu connu du grand public si ce n'est pour les amateurs de l'Agence tous Risque ou il tenait le rôle de Looping. Mais il n'est pas là dans une comédie mais bien dans une biopic, qui retrace le projet Manhattan, qui amena la conception et la mise au point de la bombe qui allait considérablement modifié la diplomatie d'après guerre. L'ensemble des acteurs, encore peu connu à l'époque comme John Cusack, Daniel Craig, ou Laura Dern, sonnent juste face à un Paul Newman qui a su ne pas monopoliser la scène, malgré le fait que la communication du film tourna essentiellement autour de ce monstre sacré d'Hollywood. Et ce film, relate surtout l’ambiguïté d'un Oppenheimer souvent soupçonné de penchant communiste, mais qui du faire des choix entre raison politiquo militaire, et raisons scientifiques. Difficile d'estimer ce film comme collant à un contexte historique authentique, mais il reflète plus ou moins les prises de conscience d'une telle arme, et les polémiques suscités sur les effets et les conséquences d'une telle arme, qui étaient encore qu'au stade théorique, dans la mesure ou dans le film, une expérience tourne mal mettant en évidence l'atrocité inhumaine des effets de la radioactivités. Un film rare, très peu diffuser en télévision, à voir.


Directed byRoland Joffé
Produced byTony Garnett
Written byRoland Joffé
Bruce Robinson
StarringPaul Newman
Dwight Schultz
Bonnie Bedelia
John Cusack
Laura Dern
John C. McGinley
Music byEnnio Morricone
CinematographyVilmos Zsigmond
Edited byFrançoise Bonnot
Distributed byParamount Pictures
Release dates
  • October 20, 1989
Running time
127 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$3,563,162



THE CHRONICLES OF NARNIA (1979)

Dans le grenier, le monde de Narnia. 

Et non, ce n'est pas l'adaptation connue sous la houlette de Disney, qui d’ailleurs n'arrivera même pas a finir la trilogie, laissant à d'autres, la franchise moyennant finance. Ce Chronicles of Narnia, date de 1979, issue d'une production britannique de la BBC, réaliser par Marilyn Fox. C'est là l'équivalent du premier volume, sans qu'une suite ne puisse être mis en chantier, à une époque ou l'idée de franchise émergeait seulement de l'autre coté de l'atlantique. Mais finalement, ce sera en mini série que sera par la suite diffuser cette version, à la télévision. Une oeuvre finalement perdue dans les tiroirs, mais qui ne cessera pas de susciter la convoitise, par d'autres adaptation en Dessins Animés, également en 1979, puis en 1988. Narnia semble avoir mérité un temps soit peu ses lettres de noblesse avec l'adaptation de Disney, même si finalement, cela reste des adaptations cinéma, parfois "librement" adapter pour un plus large public.

Directed byBill Melendez
Produced bySteven Cuitlahuac Melendez(producer)
David D. Connell (executive producer)
Written byDavid D. Connell (story adaptation)
C.S. Lewis (written by)
Bill Melendez (story adaptation)
StarringSimon Adams
Nicholas Barnes
Sheila Hancock
Arthur Lowe
Leo McKern
Don Parker
Leslie Phillips
Beth Porter
Liz Proud
Susan Sokol
Stephen Thorne
Music byMichael J. Lewis
Edited byMichael Crane
Mick Manning
José Pallejá
Production
company
Children's Television Workshop
Bill Melendez Productions
Distinguished Productions
Episcopal Radio-TV Foundation
Distributed byCBS
Release dates
April 1, 1979
Running time
95 mins
CountryUnited Kingdom
United States
LanguageEnglish

CRIME ZONE (1988)

Dans le grenier, du grand Corman comme on les aimes.

Une production du grand Roger Corman, célèbre pour avoir été un producteur et réalisateur de films de second zone, c'est souvent calqué des productions hollywoodiennes, mais avec moins de moyens. "Crime Zone", datant de 1988, et réaliser par Luis Llosa, nous emmènes dans l'aventure de deux jeunes rebelles qui vont devenir les nouveaux Bonnie and Clyde d'un monde post apocalyptique, ou le crime à été banni de façon expéditive et sans procès. Un film qui reste évidement dans les budgets de telle production, qui avaient souvent comme support directe, la vidéo plutot que les salles obscures. Un film avec néanmoins David Carradine, Peter Nelson, Sherilyn Fenn, Michael Shaner qui ne sont pas des inconnues du grand écran. Quoique des acteurs qui eurent des passages à vides, comme un certains nombres, qui finirent par ce replier sur des productions de second plan, loin des grosses machines de guerre de l'époque. Une oeuvre qui n'est pas sans être originale dans le thème, vu que le scénario ne sera pas sans être repris dans d'autres films, dans les grandes lignes.
Directed byLuis Llosa
Produced byLuis Llosa
Screenplay byDaryl Haney
Starring
Music byRick Conrad
CinematographyCusi Barrio
Edited byWilliam Flicker
Production
company
Distributed byNew Concorde
Release dates
  • March 31, 1989
Running time
92 minutes
CountryPeru
United States
LanguageEnglish

DELTA FORCE (1986)



Dans le grenier, du film bourrin bien 80's. 

Chuck Norris et Lee Marvin, dans "Delta Force", c'était en  1986, en pleine époque Reagan. Que dire sur ce film produit par la Cannon, et réalisé par Menahen Golan lui même, alors en pleine reconquête de la fierté américaine par le cinéma musclé et revanchard. Car oui, les années Reagan, se sera aussi une façon de tenter de redorer le blason de l'Amérique qui n'a pas triomphé au Vietnam, et qui à besoin de héro. Les héros, ils seront cinématographique et "Delta Force" sera de ces films ou l'Amérique va botter le cul aux méchants rouges, et aux méchants terroristes.  Aujourd'hui, Delta Force a évidemment mal vieillit, car étant un film de son époque, tout aussi ringardisé par la réputation de son acteur, Chuck Norris, qui quelques années plus tard, récidivera dans un second opus, en 1990, qui passera complètement innaperçu dans les salles de cinéma. Le début des années 90 seront d'ailleurs difficiles pour l'acteur, qui finira par se reconvertir dans la télé, avec "Texas Ranger", avant de se retirer des écrans, non sans faire une apparition furtive dans le deuxième volet des "Expendables" de Stallone. Tant qu'a Lee Marvin, qui finira sa carrière dans un certains nombres de films de série B (faisant pourtant un excellent "Canicule" made in France) ce fut son dernier film, avant de disparaître quelques mois plus tard, en 1987, après avoir pourtant, continuer a faire du cinéma à 63 ans (précédemment Delta Force, il avait ré-endosser la tenue du Major John Reisman pour un dernier "12 salopards").

TRAILER


V.O.



Directed byMenahem Golan
Produced by
Written by
Starring
Music byAlan Silvestri
CinematographyDavid Gurfinkel
Edited byAlain Jakubowicz
Production
company
Distributed byThe Cannon Group
Release dates
  • February 14, 1986
Running time
130 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$9 million
Box office$17.76 million
Mais la franchise était créer et ce sera en 1990 que sortira un Delta Force 2, puis un 3 en 1991, avec non plus Chuck, mais Mike, le fils, entouré de Eric Douglas, le fils cadet de Michael, et Nick Cassavetes, également le fils du célèbre acteur et réalisateur John.