DARK PLANET (2008)

Dans le grenier, des films de science fiction aux airs un peu différents.

Sous le titre de "Dark Planet", se cache en réalité "The Inhabited Island", ou dans son titre original...... non, je vous l'épargne, car vous avez deviné qu'il s'agit d'un film russe, datant de 2008, réalisé par Fyodor Bondarchuk, en deux partie dont la deuxième fut sortie en 2009. Adaptation d'un roman de Arkady and Boris Strugatsky, datant de 1969, la production mettra le paquet pour un résultat.... comment dire..... russe ! C'est à dire que la réalisation, la mise en scène, et la direction d'acteur ne passe pas inaperçue. Car dans ce film, on suit les péripéties d'un jeune pilote de vaisseau spatiale, Maxime Kammerer, qui va malencontreusement tomber sur une planète ou règne une dictature, dans laquelle il va petit à petit trouver un rôle qu'il n'avait pas demander, tant Maxime est clairement un éternel adolescent, qui réagit parfois comme un gamin de 12 ans. Beau gosse, certes, mais en décalage avec le sérieux des situations qui l'amèneront a avoir un rôle important dans la résistance face a l'armée, sans compter les multiples rebondissements auxquels il va être soumis. Ce film s'offrira quand même une carrière internationale, certes un peu éclair, dans une version de 115 minutes résumant les deux films originaux. Il connaîtra quelques salles française lors de sa sortie en 2012, avant de disparaître des esprits. Si le cinéma russe sait parfois pondre des petits chefs d'oeuvres, ce film ne peu qu'a la rigueur démontrer sa capacité a faire de la science fiction. Mais force est de reconnaître que le scénario n'est peut être pas le plus approprié, ni le plus adapté a cette démonstration.

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V.F.

NO FILM FOR NOW

Directed by	Fyodor Bondarchuk
Produced by	Alexander Rodnyansky Sergei Melkumov
Written by	Marina and Sergey Dyachenko (screenplay) Strugatsky brothers(novel)
Starring	Vasiliy Stepanov Yuliya Snigir Pyotr Fyodorov Aleksei Serebryakov Fyodor Bondarchuk
Narrated by	Gennadi Vengerov
Music by	Yuriy Poteenko (original music) Pavel Doreuli (sound effects)
Cinematography	Maksim Osadchy
Edited by	Igor Litoninsky
Distributed by	Art Pictures Studio Non-Stop Production STS
Release date	18 December 2008 (part I) 23 April 2009 (part II)
Running time	115 minutes (part I) 100 minutes (part II)
Country	Russia
Language	Russian
Budget	$36,6 million

THE INVOKING (2013)

Dans le grenier, des films comme on en trouve à la pelle.

"The Invoking" est l'archétype même du film produit avec deux francs six sous, pour en réalité se vendre sur le marché de la vidéo et du Streaming. Issue des réseaux indépendants, ce film réalisé par Jeremy Berg, nous conte l'histoire d'une jeune femme qui hérite d'une maison, ou elle va décidé d'inviter ses amis pour un week end. Mais évidemment, il va se passer des choses, qui pousseront ce petit groupe à la folie. Hallucinations, démences, scènes gores, y a t-il une réalité dans tous cela ou est ce l'effet d'une folie collective ? En fait, on a forcément une impression de déjà vu, dans une réalisation un peu trop désordonnée, qui tente des effets de styles mais sans réelle cohérence dans la narration. Pourtant, il faut croire que le film c'est plutôt bien vendu puisque édité en 2013, il donnera naissance a une franchise avec deux autres films, qui emprunteront finalement que le titre, du fait que les deux films suivant ne seront que des conglomérats de sketchs (6 dans celui de 2015 et 9 dans celui de 2016).

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V.O.

Directed by	Jeremy Berg
Produced by	Matt Medische John Portanova Jeremy Berg
Screenplay by	Jeremy Berg John Portanova
Story by	Matt Medische Jeremy Berg
Starring	Trin Miller Brandon Anthony Andi Norris Josh Truax D'Angelo Midili
Edited by	Autumn Lisa Mason
Production company	Ruthless Pictures October People
Distributed by	Image Entertainment
Release date	March 16, 2013 (SVFF)
Running time	79 minutes
Country	United States
Language	English

DEADLY IMPACT (2009)

Dans le grenier, des films policiers, perdus quelques part, dans des rayons vidéo.

"Deadly Impact" a pourtant la facture d'un film avec des moyens. Mais pas la conviction de dissuader les distributeurs, si bien que le film sera distribuer avec une promo quasiment inexistante. Réalisé par Robert Kurtzman, le film conte l'histoire d'une traque de deux flics contre un tueur professionnel, légèrement psychopathe sur les bords. Mais évidemment le scénario a des airs de déjà vu, avec le défaut majeur de ne pas avoir de réelle star dans la distribution. Bref, un film d'une qualité narrative et d'une réalisation notable, mais qui manque justement d'un scénario plus costaud pour sortir du lot.

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V.F.

Directed by	Robert Kurtzman
Produced by	David S. Greathouse Brent Morris
Written by	Alexander Vesha
Starring	Sean Patrick Flanery Joe Pantoliano Carmen Serano Greg Serano Amanda Wyss
Music by	Steven Gutheinz
Cinematography	Paul Elliott
Edited by	Andrew Sagar
Production company	Metro-Goldwyn-Mayer
Distributed by	MGM Home Entertainment
Release date	December 31, 2009(United States Limited)
Running time	89 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$6,000,000

THE APOCALYPSE CODE (2007)

Dans le grenier, des films d'actions d'ailleurs. 

Petit retour dans le cinéma russe, avec ce "Apocalypse Code", tourné en 2006 et qui se voulait un film un peu à la James Bond, avec quand même une héroïne en guise d'agent spéciale, chargé de découvrir ou, une bombe nucléaire a été caché quelque part en Russie, en tentant de remonter la filière des personnes soupçonnées. Comme partenaire, l'actrice Anastasia Zavorotnyuk sera accompagné d'un français, Vincent Perez, pour faire voyager le spectateur évidemment en France, mais aussi en Italie, en Norvège, en Malaisie et en Ukraine. Grosse production donc, qui tentera de rivaliser dans le genre sur un marché notoirement dominé par le cinéma hollywoodien. Mais faute de soutien, le film trouvera difficilement des diffuseurs et sortira seulement en Russie, en Ukraine, et France et au Japon. Puis, plus rien, disparition, au point que même sa sortie en DVD sera presque inexistante. Si la réalisation reste modeste, il est vrai que le film manque de dynamisme, usant un peu trop de ralenti pour tenter de compenser le manque d'envergure de certaines scènes.

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V.F.

Directed by	Vadim Shmelyov
Produced by	Sergey Zhigunov Sergey Gribkov
Written by	Denis Karyshev
Starring	Anastasia Zavorotnyuk Vincent Perez Vladimir Menshov Aleksei Serebryakov Trond Lyngbø Sean Lahooti
Music by	Dmitry Dankov
Release date	October 2, 2007
Country	Russia
Language	Russian

LOVE (2011)

Dans le grenier, des films imaginatifs et innovants. 

Nous sommes en 2011, et sort ce petit film au budget de 500 000 dollars, "Love", ou sous un titre français de "Space Time ; l'Ultime Odyssée". Réalisé par William Eubank, ce film nous conte en fait des histoires de destins, dans des époques différentes, pour finalement trouver un point commun. Un livre, relatant l'histoire d'un homme ayant vécu lors de la guerre de sécession, qui va permettre à un astronaute, seule dans sa station, a affronté les affres de sa condition, qui se dégrade depuis qu'il a perdu le contact avec la Terre. Un petit film qui fit sensation du fait de son budget, et de sa qualité narrative. Présenté a plusieurs festivals, le film récoltera en moyenne de bonne critique, justement par comparaison avec son budget ridicule, et le résultat à l'écran. L'anecdote voudra que le décors complet de la station a été construit sur un parking de l'un des producteurs, en l'occurrence le groupe Angels and Airwaves. Mais faute de distributeur, le film ne sortira que dans quelques salles aux USA, et à l'international, avant de directement sortir en vidéo, qui réussira l'exploit de doublé en recette, son budget initial. Un film a voir, pour se rendre compte du travail effectuer avec un budget tout aussi ridicule que celui dont ils ont disposé pour le faire.

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V.F.

Directed by	William Eubank
Produced by	Angels & Airwaves Mark Eaton Daniel Figur Vertel Scott Nate Kolbeck
Written by	William Eubank
Starring	Gunner Wright
Music by	Angels & Airwaves
Cinematography	William Eubank
Edited by	Brian Berdan Scott Chestnut
Production company	New Dog Media Griffin Interplanetary Studios (vfx) Five VFX (vfx) Zoic Studios (vfx) Company 3 (post)
Distributed by	National CineMedia (United States)
Release date	February 2, 2011 (SBIFF) August 10, 2011(United States) November 1, 2011(International)
Running time	86 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$500,000[1]
Box office	$1,495,102

ROBOCOP (2014)

Dans le grenier, des films en guise de remake, mais ayant perdu toutes ses essences.

En 2014, sortait sur les écrans un film attendu au tournant. Le remake du film classique de science fiction, "Robocop". L'original, signé Paul Verhoeven, datant de 2017, était plus qu'une simple film sur un agent de police, qui, tombant sur une bande de trafiquants sans foi ni loi, se fait abattre, passer pour mort, mais en réalité récupéré pour être transformer en robot policier. Récupéré par un jeune cadre très ambitieux qui veut opposer a un des leaders de la compagnie OCP, un robot plus efficace, plus performant, que ce que ce dernier n'a pu proposer jusqu'a maintenant, et n'ayant pas réellement convaincu. Le tous, dans une critique acerbe d'une société en proie à l'impérialisme des consortiums, des multinationales, qui d'ailleurs, le choix de la ville de Detroit, était presque visionnaire sur la déliquescence d'une pouvoir public, supplanté par les intérêts privés. Et en cela, le film de Verhoeven était clairement une critique de la société américaine, ultra libérale, qui petit à petit a abandonné une partie de son peuple pour laisser les multinationales prospéré et infiltrer les pouvoirs publics comme politiques, même avec l'usage de la corruption pour justifier les politiques internes et les offres de services a des pouvoirs publics notoirement dépassées et en faillite. Sauf que cette version de 2014, réalisé par Jose Padilha, va évidemment être épuré de ces critiques, pour revenir a des thématiques plus terre à terre, qui vont forcément donner un goût amer au film. Même les effets spéciaux modernes ne sauveront pas le film d'une critique, tant professionnelle que public, acerbe et négativement destructrice pour la carrière du film. Car si le film a été rentable, c'est plus à cause de l'effet de curiosité que d'un succès mérité. Preuve en est, très rapidement, ce remake sera oublié, tant même sa critique sur les empirismes et dévastations médiatiques n'aura pas su être à la hauteur de l'original. Car clairement, la production a voulu écarté la critique de leurs propres empires (ce qui vaudra à terme d'ailleurs, de voir Paul Verhoeven remercier des grands studios hollywoodiens, après quelques autres films tout aussi titillant la corde raide, dont même le fameux Starship Troopers, n'aura que sa juste reconnaissance que bien des années plus tard) au profit d'une caricature de dénonciation des médias, s'offrant au passage la présence d'acteurs non négligeable au casting, comme Samuel L Jackson, Gary Oldman, ou encore Michael Keaton. Mais çà ne suffira pas a redorer le blason du film, qui même encore aujourd'hui, est écarté des considérations des amateurs qui n'en veulent même pas dans leurs vidéothèques. Pourtant, il est question d'une suite, mais qui se fait attendre depuis l'annonce en 2015, défendant l'idée que ce remake a malheureusement souffert de la comparaison avec l'original, et donc, forcément, le public n'a pas accepter la relecture de l'oeuvre original sous un angle différent.

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Directed by	José Padilha
Produced by	Marc Abraham Eric Newman
Written by	Joshua Zetumer Edward Neumeier Michael Miner
Based on	RoboCop by Edward Neumeier and Michael Miner
Starring	Joel Kinnaman Gary Oldman Michael Keaton Samuel L. Jackson
Music by	Pedro Bromfman
Cinematography	Lula Carvalho
Edited by	Daniel Rezende Peter McNulty
Production company	Strike Entertainment Spyglass Entertainment
Distributed by	Sony Pictures Releasing
Release date	February 12, 2014(United States)
Running time	118 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$100 million
Box office	$242.7 million

ELLE, A MODERN CINDERELLA TALE (2010)

Dans le grenier, des films clairement a voir sous ecstasy. 

Prenez un classique, genre, "Cendrillon". Mettez y une touche contemporaine, en mettant le jeune donzelle en gamine qui rêve de chanter et de devenir une star, mais patatra, les parents meurent dans un accident d'avion, et la donzelle se retrouve chez un oncle qui ne voit que par son groupe de 3 jeunes filles, ne laissant aucun chance a notre damoiselle de pousser la chansonnette. Jusqu'au jour ou elle rencontre par hasard une star de la chanson. La chance va t-elle lui sourire sans que son oncle s'aperçoive de la rencontre, pour lui piqué la vedette ? Autant dire qu'on est ici dans un film qui peu peut être marcher chez la gente féminine en mal de romantisme, mais qui clairement, n'a aucun intérêt, au point de rester un pur produit destiné à la VOD, jouant aussi sur la notoriété d'une jeune chanteuse, Ashlee Hewitt, nouvelle coqueluche américaine d'une émission de télé réalité genre "The Voice" mais version musique country. Le genre de produit qui se réalise à la pelle pour remplir les catalogues streaming et VOD, quand ce ne sont pas des rayons DVD pas cher. Le genre de film qu'il faut au moins voir une fois, histoire de connaître ses classiques de ce qui est à voir, sous ecstasy, de préférence, pour évité touts traumatismes. Datant de 2010, la réalisation de Sean et John Dunson (oui, ils sont deux pour ce genre de m....) est d'une banalité affligeante, mais suffisante pour convaincre un distributeur français de l'édité en France en 2011.

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V.O.

   

Directed by	Sean Dunson John Dunson
Produced by	Carlucci Weyant
Written by	Bo Ransdell Ryan Dean Thomas R. Martin
Starring	Ashlee Hewitt Sterling Knight Thomas Calabro Kiely Williams Katherine Bailess Tyler Nicole Emma Winkler Juliette Hing Shawn-Caulin Young
Distributed by	Frame Of Mind Entertainment
Release date	April 2010 (Newport Beach)
Country	United States
Language	English

INDEPENDENCE DAY SASTER (2014)

Dans le grenier, des films qu'on croit que c'est une blague.

"Independence Day", tous le monde connait. "Independence Day-saster", là on se dit, "non, vraiment ?". Si si ! Et je vous donnes en mille qui a osé produire ce plagiat ? Et non, ce n'est pas Asylum comme on pourrait le penser, mais une coproduction Cinetel, Reel One Picture et Independence day picture. C'est du canadien et comme quoi, même chez les canadiens çà ne peu pas s'empêcher d'oser. Osé l'histoire d'une invasion d'extra terrestre, et qui, dans un petit bled, va voir quelques irréductible humain résister à l'envahisseur, pendant que des scientifiques du projet Seti, tente de trouver la potion magique qui permettra de ré expédier ceux ci chez eux. Le pire dans ce genre de film, c'est qu'en plus, çà a été co produit par la chaîne SyFy, qui n'a pas hésité a assumé un sous produit de la sorte, qui évidemment, n'ira jamais dans les salles, et qui plus est, difficilement sur le marché de la vidéo, restant confiné aux streamings et VOD.

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V.O.

GOLDEN RENDEZVOUS (1977)

Dans le grenier, des films aux airs de mais venant d'ailleurs.

"Golden Rendezvoux" est un film d'action qui a pour origine l'Afrique du Sud, réalisé par Ashley Lazarus, mais qui en réalité a été commencer par Freddie Francis. Sorti en 1977, ce film nous contait l'histoire d'une prise d'otages à bord d'un navire casino, maquillé en cargo. Une menace à l'arme nucléaire, avec des rebondissements et tous le tralala. Un film qui sera vendu et exploiter en Europe, même si finalement son échec était plus ou moins annoncé, alors que la production était en plein scandale de détournement de fond, dont même l'acteur principal, Richard Harris avait été mis en cause. Sans compter aussi que le scénario a été modifier mainte fois durant le tournage, s'éloignant finalement du roman d'origine signé Alistair MacLean, publié en 1962. Bref, un film dont la production aura été plus mouvementé que le contenu, et dont on aura oublier l'existence malgré ses déboires juridiques, qui avait quand même secouer un peu le cocotier politique du pays.

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V.O.

Directed by	Ashley Lazarus
Produced by	Murray Frank Andre Pieterse Robert Porter
Written by	Alistair MacLean (novel) Allan Scott Chris Bryant John Gay Stanley Price
Starring	Richard Harris Ann Turkel Gordon Jackson
Music by	Jeff Wayne
Cinematography	Kenneth Higgins
Edited by	Ralph Kemplin
Distributed by	United Artists (USA) Rank Film Distributors (UK)
Release date	25 December 1977(Sweden)
Running time	109 minutes (theatrical release)
Language	English

THE CHANGELING (1980)

Dans le grenier, des films qui surf dans le psycho horreur.

"The Changeling" est un film de 1980, réalisé par Peter Medak, et qui mettait le grand George C Scott dans le rôle d'un compositeur new yorkais, qui après la mort tragique de sa femme et de son fils, s'expatrie prêt de Seattle. Achetant une grande maison pour tenter de se reconstruire, et peut être retrouver l'inspiration, notre homme va très vite être confronté a des phénomènes qui l'amèneront a commencer a investir sur l'histoire de cette maison, inhabité depuis plus de 12 ans. Surtout, intrigué par une chaise roulante pour enfant qui traînait dans les vieilles affaires laisser dans la maison. Un film d'une bonne facture, qui se prête plutôt bien a une vision honnête et correcte d'un film qui surf à la fois sur le psychologique et le fantastique. Malheureusement, il arrivera sur un marché déjà bien saturé par une concurrence plus agressive et bénéficiant de moyens promotionnels plus important. Pour un film de genre canadien, on ne peu qu'apprécier de découvrir ce film pour améliorer sa culture cinématographique, avec un acteur dont le charisme tiens presque tous l'écran.

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V.O.

Directed by	Peter Medak
Produced by	Joel B. Michaels Garth H. Drabinsky
Written by	Russell Hunter William Gray Diana Maddox
Starring	George C. Scott Trish Van Devere Melvyn Douglas John Colicos Jean Marsh Helen Burns Madeleine Sherwood
Music by	Rick Wilkins
Cinematography	John Coquillon
Edited by	Lilla Pedersen Lou Lombardo (sup)
Distributed by	Associated Film Distributors
Release date	March 28, 1980 (U.S. & Canada)
Running time	107 minutes
Country	Canada
Language	English
Budget	$600,000
Box office	$5.3 million

R.O.T.O.R. (1987)

Dans le grenier, des films qui en veulent, mais qui vont ne vont pas voler haut !

Il y a des producteurs qui parfois n'ont pas honte. Et ce "R.O.T.O.R." est sans doute un bel exemple. Réalisé par Cullen Blaine, ce film nous conte l'histoire d'une corruption qui intervient en plein dans un projet de policier robotique cybernétique. Oui, on a comme un petit air de "Robocop" dans l'air, sur lequel on a quand même ajouter une pincé de "Terminator" sur un nappé de "Judge Dredd". Ce film, qui finalement ne verra que très peu de salles de cinéma, pour aller directement en vidéo, a très vite été considéré comme un plagiat assumé qui réussira quand même a s'exporter sur les marchés videos internationaux. Evidemment, petite production, budget low cost, on ne regrettera pas à l'époque d'avoir raté ce film qui sortira en 1987, dans une ignorance absolue, même si quelques fanzines en toucheront deux mots, histoire de... 

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V.O.

Directed by	Cullen Blaine
Produced by	Cullen Blaine
Written by	Cullen Blaine Budd Lewis
Starring	Margaret Trigg Richard Gesswein Jayne Smith
Music by	David Adam Newman
Cinematography	Glenn Roland
Edited by	Doug Bryan
Distributed by	Imperial Entertainment
Release date	October 1987 (Italy) July 28, 1988 (video premiere)
Running time	90 minutes
Country	United States
Language	English

DOOMSDAY MACHINE (1967-1972)

Dans le grenier, des films de science fiction du pauvre.

On ne compte plus les films qui sont en réalité des productions qui clairement ont voulues se frotter avec des productions plus costauds, ou plus simplement tenté de profiter de la vague. Et cette vague, elle est né avec le film de Kubrick, "2001 l'Odyssée de l'Espace" qui à partir de 1968, va donner des envies a tous le monde de s'attaquer à la SF. Voici donc, 'The Doomsday Machine", un film de 1972, avec quand même trois réalisateurs à sa tête, Herbert J Leder, Harry Hope et Lee Sholem, pour une histoire de menace de l'existence de l'humanité, qui pousse une équipe internationale a s'embarqué sur un vaisseau pour tenter de rallier une planète qui pourrait permettre de préserver l'espèce humaine. En effet, les américains ont 72 heures pour envoyer se petit monde la haut avant que la machine découverte en Chine ne finisse par détruire la Terre. Mais durant le voyage, l'équipage, censé être le dernier recours de l'humanité, vont subir des revers les uns après les autres, qui vont menacer l'existence même de cet équipage. Le résultat, manque de moyens, de crédibilité, et d'un scénario à la hauteur. Pourtant, il faut dire que ce film a commencer a être mis en chantier depuis 1967, ce qui explique finalement qu'il a subit pas mal de modification, tant pas son titre que par son scénario. Les producteurs oseront même le recyclage de scènes d'autres films comme "The Wizard of Mars" de 1965 ou "Gorath" de 1962.  Bref, un film qui aurait pu avoir de quoi faire, mais dont la production a clairement manqué de moyens pour aboutir a quelque chose de potable, d'ou finalement sa sortie tardive, certainement motivée par la nouvelle vague SF, dans laquelle ce "The Doosmday Machine" a clairement jouer en catégorie Z. Donc, pas étonnant que le film ait disparu des radars assez rapidement.

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V.O.

Directed by	Herbert J. Leder Harry Hope Lee Sholem
Produced by	Harry Hope
Written by	Stuart J. Byrne
Starring	Denny Miller Ruta Lee Grant Williams Mala Powers Henry Wilcoxon Bobby Van
Cinematography	Stanley Cortez
Distributed by	Cine-Find
Release date	1972
Running time	83 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$700 000

SILENT RUNNING (1972)

Dans le grenier, des films de sciences fictions atypiques. 

Douglas Trumbull est un grand nom dans le cinéma de genre, plus particulièrement de science fiction. Tous simplement parce qu'avant de s'atteler a de la réalisation, il fut un spécialiste d'effet spéciaux qui léguera aux futurs générations des techniques révolutionnaires, expérimenté sur des films tels que "2001 l’Odyssée de l'espace", "Rencontre du troisième type", ou même quelques Star Trek. Alors forcément, sur cette réalisation de 1972, Trumbull y mettra du sien pour donner au film une envergure digne de ce nom, pour en réalité une histoire déjà très écolo pour l'époque. "Silent Running", est aujourd'hui un classique, mais un classique méconnu des jeunes générations. L'histoire est plutôt radicale, car elle raconte celle d'un homme qui va se battre pour préservé un environnement naturelle artificielle sur un des vaisseaux qui doit normalement détruire ces environnements, suite a une décision du consortium d'abandonner l'expérience. Une expérience qui consistait a pouvoir reconstituer une flore et une faune, alors que sur Terre, l'activité humaine a pratiquement tous dévasté. Notre homme va donc tous tenté pour préserver cet environnement, jusqu'a même éliminé son équipage. Un film évidemment très écologiste dans son thème, qui pâtira justement de son scénario mais qui aujourd'hui prend une toute autre dimension. Un film à voir, même si quelques parts, esthétiquement comme techniquement, il a quelque peu vieillit, mais restant relativement de bonne facture pour l'époque.

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V.O.

Directed by	Douglas Trumbull
Produced by	Michael Gruskoff Marty Hornstein Douglas Trumbull
Written by	Deric Washburn Michael Cimino Steven Bochco
Starring	Bruce Dern Cliff Potts Ron Rifkin Jesse Vint
Music by	Peter Schickele
Cinematography	Charles F. Wheeler
Edited by	Aaron Stell
Production company	Universal Pictures
Release date	March 10, 1972
Running time	89 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$1 million