TRON : ARES est un film américain réalisé par Joachim Rønning, datant de 2025, avec Jared Leto, Greta Lee, Evan Peters, Jodie Turner-Smith, Hasan Minhaj, Arturo Castro, Gillian Anderson, et Jeff Bridges.
L'Histoire de Eve Kim, patronne d'une grande compagnie de développement de jeux vidéos qu'elle a racheté il y a quelques années avec sa soeur, décédée depuis, et qui va réussir à mettre la main sur un code révolutionnaire qui permettrait la permanence de pour créer à partir du virtuel, des solution digitale applicable pour le monde réel. Patronne d'Encom, cette même société concédée quelques années plutôt par le fils de son fondateur, Sam Flynn qui avait pu retrouver son père dans "la grille", l'univers virtuel dans lequel son père avait créer des jeux populaires mais dont l'actionnaire majoritaire de l'époque, Ed Dillinger qui avait prit le contrôle de la grille au détriment de Flynn, l'y avait propulser par un procéder de déconstruction et de transfert laser dans la grille. Et c'est justement son petit fils, Kevin Dillinger et sa mère, Elisabeth, qui ont fait survivre la compagnie Dillinger tout en créant sa propre grille à partir de laquelle il va créer des armements et surtout, un futur soldat sur puissant pour l'armée, qu'il va réussir a matérialiser dans le monde réel, non sans un défaut qu'il omettra de préciser a ses commanditaires. Il ne peut subsister dans notre monde que pendant 29 minutes. Barrière que seul le code de permanence de Eve peut enrayé. Ares reçois donc la directive de trouver Eve, et récupérer le code. Quitte a éliminer Eve. Mais Ares est une entité intelligente qui va développer son propre libre arbitre et finalement tenter de protéger Eve, en échange de pouvoir vivre libre dans le monde réel.
On avait entendu autant du bien que du mauvais sur ce troisième opus d'une franchise relancer il y a plus de 15 ans avec "Tron Legacy" basé sur le film original de 1982. Mais "Ares" a en effet des défauts majeurs qui n'en font pas un mauvais film, mais une déception. Premier problème, la direction d'acteurs qui semble inexistante et ou l'on voit des acteurs tenter de cerner des personnages qu'ils ne maitrisent pas. Même Jared Leto semble parfois ne pas trop savoir quoi proposer dans son personnage d'Ares. Et malgré des scènes d'actions très dynamiques, le film manque parfois d'ambition, d'envergure, de charisme. Un potentiel mal exploiter, comme aussi la présence de Gilliam Anderson clairement sous exploiter, et d'un Evan Peters qui frôle parfois la caricature, alors pourtant un excellent acteur. Quand a Jeff Bridges on a l'impression qu'il est venu chercher un chèque, avec un service minimum. En fait, le problème de Tron Ares, c'est que c'est un film qui est ni fait, ni a faire, avec une ambition, mais confier à des scénaristes coincer avec des impératifs de cahier des charges clairement imposer par Disney, avec un réalisateur qui lui aussi, fait non pas un oeuvre mais un film de commande. On notera quand même la nostalgie du premier film quand Ares et projeter dans la grille originale (celle de 1982). Un quatrième opus semble prévu, mais sur ce coup là, la première semaine d'exploitation mondiale n'est pas du tout à la hauteur des objectifs, non sans espérer quand même faire un score honorable mais bien loin des ambitions pour un tel projet. Quand à la B.O. signer Nine Inch Nails, elle fait le taff en sachant que passer derrière les Daft Punk du Tron Legacy, la barre était déjà très haute.
Bande Annonce : https://youtu.be/JQG7NJZRWow?si=Xm9rAcxgzLhsx3w-

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