SPACED OUT (1979)

Dans le grenier, des films comme ci, comme çà.

Réalisé par Norman J. Warren, ce film de 1979 c'est clairement engouffré dans la brèche SF comme beaucoup. A ceci prêt que ce "Spaced Out" d'origine britannique, traduisait ce que l'on pourrait appeler une SF, légère. En effet, très influencé par "Rencontre du Troisième Type", le réalisateur va pousser son histoire jusqu'à se faire rencontre des extraterrestre en panne sur Terre, avec quelques jeunes en inspirations érotiques. Le résultat est à l'image de son budget, un film un peu mal fichu avec une histoire clichée et un peu trop facile, pour glisser quelques scènes érotiques, pour tenter de choper le créneau qu'avait évidemment ouvert un cinéma plus osé que d'ordinaire. Car nous sommes à la fin des années 70 et au films érotiques, vont commencer a supplanté le porno, commençant a se développer un peu partout en Europe comme au USA. Si aujourd'hui "Space Out" peu paraître ringard, il n'en reste pas moins un exemple d'un cinéma de transition qui jongla avec les styles pour offrir un spectacle plus ciblé, qu'évidemment les réseaux d'exploitations classiques se gardèrent bien de programmé, les laissant a des cinémas plus enclin a ce genre de film. Plus rapidement, ce genre de film finira en général directement en vidéo, avant de disparaître définitivement au profit du porno qui s'occupera de faire bon nombre de plagiats ou de pastiches, beaucoup moins convainquant. Mais çà, c'est une autre histoire.

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V.O.

NO FILM FOR NOW

Directed by	Norman J. Warren
Produced by	David Speechley
Screenplay by	Andrew Payne Bob Saget
Story by	David Speechley
Starring	Glory Annen Barry Stokes Ava Cadell
Music by	Emil Dean Zoughby
Cinematography	John Metcalfe Peter Sinclair
Edited by	Jim Elderton
Production company	362 Pictures
Distributed by	Miracle Films Miramax (US)[1]
Release date	August 1979[1]
Running time	77 minutes
Country	United Kingdom
Language	English

SLEEPAWAY CAMP (1983)

Dans le grenier, des films purs "slasher".

Dirigé par Robert Hiltzik, ce film de 1983 nous contait l'histoire d'une jeune fille, qui dans son enfance a subit le traumatisme de la perte de ses parents dans un accident de bateau. Placé sous la tutelle de sa tante, c'est avec son cousin qu'elle se retrouve dans un camps de vacances. Hors, chaque personnes qui la maltraite ou martyrise, meurent dans d'étrange circonstance. Un film qui n'aura les faveurs que des rayons vidéos à la locations, après un passage éclair dans salle aux USA. Son handicap ayant été une comparaison avec "Vendredi 13" ou forcément, les points communs sont trop évidents pour ne pas passer à coté de la comparaison. Mais pour avoir été plus ou moins bien vendu sur le marché de la vidéo, deux suites furent réalisées, en 1988 et en 89, ainsi qu'un quatrième qui ne fut pas finit lors de sa production en 1990, mais compléter en 2012, alors qu'un "Return of Sleepaway Camp" avait été réaliser en 2008. Mais l'aventure de cette franchise ne va pas s'arrêter là car il est question de faire un reboot de ce premier film depuis quelques années.

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V.O.

Directed by	Robert Hiltzik
Produced by	Jerry Silva Michele Tatosian
Written by	Robert Hiltzik
Starring	Mike Kellin Katherine Kamhi Paul DeAngelo Jonathan Tiersten Felissa Rose Karen Fields Christopher Collet
Music by	Edward Bilous
Cinematography	Benjamin Davis David M. Walsh
Edited by	Ron Kalish Ralph Rosenblum Sharyn Ross
Production company	American Eagle Films
Distributed by	United Film Distribution Company
Release date	November 18, 1983
Running time	87 minutes
Country	United States
Language	English

BELLS (1981)

Dans le grenier, des films rares, presque disparu des radars.

Voici "Bells", ou re-titré dans son exploitation vidéo en "The Calling". Réalisé par Michael Anderson, ce film de 1981, ce film part du mystère de la mort de la fille d'un amis de notre protagoniste, qui, curieux, va se penché sur les circonstances de la mort de celle-ci, qui va être liée a une entreprise secrète qui aurait quelques choses avoir avec la découverte d'une fréquence qui, émise par le réseau téléphonique, peu faire exploser la tête de celui qui est à l'autre bout du fil. Si Michael Anderson n'est pas un réalisateur né de la dernière pluie, on peu dire que ce film n'est pas l'un de ses meilleurs, voir même, peut être le moins bien. Car Anderson eut quand même la charge d'adapter Logan's Run en 76 et fut même le chef d'orchestre de la version télévisée des "Chroniques Martiennes" en 1980. Autant dire que c'est là un film rare, mais pas exceptionnel, qui par la suite a donner bien des idées, comme par exemple, un certain réalisateur scénariste français du nom de Luc Besson" qui produisit un certain "Kamikaze" en 1986, ou le téléphone était remplacé par une télévision. A noter que le film fut aussi exploiter sous le titre "Murder by Phone".

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V.O.

DEAD TONE (2007)

Dans le grenier, des films passé par ici, mais aussi par là.

Réalisé et écrit par Brian Hooks et Deon Taylor, ce "Dead Tone" sorti en 2007, partait d'un postulat simple. Des jeunes gamins faisant un jeu idiot, qui va se retourner contre eux. Surtout quant ils sont dans une maison isolée, forcément, l'une de leurs victimes va devenir leur problème. Petit film qui se paye quand même Rudger Hauer dans un petit rôle, il croyait pouvoir sortir du lot en prenant Antwon Tanner issue de la série "Les Frères Scott". Mais sans réel succès, car même avec des projos promo à Cannes en 2007 et un passage au festival de Sacramento la même année, çà ne suffira pas pour trouver un distributeur intéressé. Le film sortira donc directement en DVD. 

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V.O.

NO FILM FOR NOW

Directed by	Deon Taylor Brian Hooks
Produced by	Brian Hooks Deon Taylor Lisa Diane Washington
Written by	Brian Hooks Deon Taylor Vashon Nutt
Starring	Brian Hooks Jud Tylor Antwon Tanner Cherie Johnson Wil Horneff Jonathan Chase Aimee Garcia Germán Legarreta Gwendoline Yeo Rutger Hauer
Music by	Vincent Gillioz
Cinematography	Philip Lee
Edited by	Lane Baker
Production company	Hooks and Taylor Entertainment
Distributed by	Codeblack Entertainment Screen Media Films
Language	English
Budget	$3,000,000

SPACE RAIDERS (1983)

Dans le grenier, des films de SF, très inspirés.

Dans le début des années 80, pas mal de productions ont voulu surfer sur la vague SF, relancer évidemment par le succès de Star Wars. Et c'est en 1983, que New World Pictures lance avec Millenium, ce "Space Raiders", sous la réalisation de Howard R. Cohen, qui nous faisait suivre les tribulation d'une bande de pirates de l'espace, mené par un ancien militaire de renom, qui vont devoir se dépatouillé d'une sale affaire dans laquelle ils vont accidentellement tombé. Mais forcément, étant une petite production, on est très loin des effets spéciaux et de studios suffisamment grand pour donner de l'envergure a ce film, qui va finalement plus ressembler à un téléfilm qu'autre chose. Pas de réelle recherche narrative, ni même de conception artistique innovante, le film finira en réalité dans le marché de la vidéo, après un passage en salle difficile due a des problèmes de droits qui repousseront sa sortie initiale en 1984. Comparativement a d'autres films de même facture, ce "Space Raiders" ne fera pas d'étincelles et n'aura vraiment pas marqué les esprits des adeptes de SF de seconde zone.

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V.O.

Directed by	Howard R. Cohen
Produced by	Roger Corman
Written by	Howard R. Cohen
Starring	Vince Edwards David Mendenhall Patsy Pease Thom Christopher Luca Bercovici
Music by	James Horner
Cinematography	Alec Hirschfeld
Edited by	R. J. Kizer Tony Randel
Production company	Millennium
Distributed by	New World Pictures
Release date	July 1983 6 April 1984 (West Germany)
Running time	84 minutes
Country	United States
Language	English

THE RIFT : DARK SIDE OF THE MOON (2016)

Dans le grenier, des films fantastiques d'ailleurs.

"The Rift" est un film qui nous vient d'une coproduction slovène, serbe et sud coréenne, édité en 2016, et qui ne connaîtra que quelques salles dans les pays respectifs de sa coproduction. Autant dire, pas de têtes d'affiches internationales pour tenter de vendre le film, ni même de réalisateur connu à la barre. Evidemment on pourrait croire que çà ne vaut pas le détour, et pourtant, il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer. Si le scénario reste un peu bancale, il tente de nous raconter l'histoire de quelques scientifiques chargés d'étudier dans un coin paumé de Serbie, la chute d'un satellite qui a ramener avec lui une chose plutôt gênante. Si la réalisation n'envie rien a une production classique indépendante américaine, la narration reste notable, même si encore une fois, cela ressemble a un de ces produits de la série B, dans laquelle on aura quand même penser intégré des acteurs américains, comme Ken Foree (que les connaisseurs reconnaîtront pour avoir été dans "Zombie" de George A Romero) ou encore Monte Markham, qui a déjà une longue carrière derrière lui tant dans le cinéma que dans des séries TV. 

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V.O.

VIVE LES FEMMES (1983)

Dans le grenier, des films d'une époque révolue et clairement franchouillarde. 

Un petit détour dans un genre qu'on a qualifié de "comédie de la gaudriole", ou plus simplement des petites comédies françaises qui tournaient autour des relations hommes femmes, avec en toile de fond une satire de la société qui mettait en opposition une guerre des sexes, l'épanouissement sexuel, et des caricatures moralistes et paternalistes vieille France. En gros, des comédies légères, pour public avertie, comme on savait en faire dans les années 70 et 80, d'ou sont né quelques succès comme "Les Sous Doués", "Les Bidasses en folie", "Mon curée chez les Thailandaise", ou encore "Gros Dégueulasse" et consort, souvent issue des milieux satiriques et caustiques de l'époque, pour ne pas dire de la bande Professeur Chauron, Reiser, et Lauzier. Des films dans lesquels on retrouvait souvent quelques anciennes stars du cinéma populaire, comme Henry Guibet, Michel Galabru, Jean Lefebvre, Robert Castel, Daniel Prevost.... avec une nouvelle génération de jeunes acteurs, dont certains et certaines feront des carrières éclairs, comme justement quelques uns de ce "Vive Les Femmes", réalisé par Claude Confortés, sorti en 1983. Comme Catherine Leprince qui malgré ses atouts fera une carrière assez rapide dans les années 80 avant de finir dans quelques téléfilms dans les années 90. Pauline Lafont, qui elle aussi, était promu a une carrière du fait d'être une des filles de Bernadette, mais qui malheureusement disparaîtra tragiquement en 1988. Un film qui vit orbité certains grands noms, dans cette adaptation d'une BD signé Jean Marc Reiser, confirmant que cette univers du cinéma populaire, était avant tout une grande famille. Des noms comme Maurice Rish, George Beller, Roland Giraud, Maurice Baquet, Michèle Bernier, ou encore des apparitions comme celle de Gébé, Wolinski, Carrière, Gaccio (à l'époque marié avec Bernier, fille du professeur Chauron) et d'autres, souvent issue du théâtre de boulevard, ou des milieux artistiques populaires de l'époque. Un film qui traitait de la monté d'un féminisme revendicatif, dévergondé et assumé, face a un changement de moeurs dans la société française, qui fut considérablement ébranlée dans les années 70 avec l'émancipation et la liberté sexuelle. Une comédie qui eut son petit succès à l'époque, dans la longue série des films de ce genre, qui ont finalement disparus à l'aube des années 90, du fait d'être considérées comme trop ringardes, trop populaires, trop osées, aussi, pour un public familiale. Un genre qui a définitivement disparu, au profit de comédie plus commerciales, plus importantes, ou pour des produits plus consensuels, plus complaisant, plus caricaturaux. Toute une époque qui ont parfois fait tourner les yeux des quelques adolescents encore pré pubère, du fait d'une légèreté bien française qu'on ne retrouvera pas dans d'autres cinémas de cette même époque.

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V.O.

Direction	Claude Confortès
Scénario	Claude Confortès Jean-Marc Reiser
Casting	Maurice Risch Catherine Leprince Roland Giraud Michèle Brousse Georges Beller Pauline Lafont Michèle Bernier Maurice Baquet Emmanuel Curtil François Marthouret
Pays	France
Année	1984
Genre	Comedie
Durée	87 minutes
Langue	France

THE IRON TRIANGLE (1989)

Dans le grenier, des films qu'on se dit qu'on avait loupé çà ! 

En 1989, sortait, timidement, un certain "The Iron Triangle". Timidement car ce petit film abordait la guerre du Vietnam d'une façon un peu différente de ce que le cinéma allait durant un temps, nous abreuver en Vietnam War...  Ici, 4 personnages vont faire tous simplement la démonstration qu'il n'y a pas de bons ou de méchants selon ce que l'on veut y voir la guerre dans son impact psychologique. Car si aujourd'hui le "vietcong" a forcément une connotation négative, le vietnamien n'en a pas moins de compassion envers son prochain, qui lui aussi, peut être l'étrangers bienfaiteur comme maléfique. Ici, le film tourne autour d'un journal tenu par un sud vietnamien, qui conte les relations difficile entre un commandant de l'armée sud vietnamienne, un soldat américain, un villageois tout aussi esclave de sa condition, et un mercenaire français, durant une bataille contre les forces vietcong.  Si dans ce film on retrouve Beau Bridges, fils de Lloyd et frère de Jeff, on aura aussi la surprise de retrouver un certain Johnny Hallyday, ou ce fut l'une des rares apparitions dans un film américain, alors à l'époque promu a tenter de percer sur un cinéma plus international. Film réalisé par Eric Weston, son exploitation se limitera évidemment au marché américain, sans grande distribution à l'étranger, ni même en France ou finalement, tous le monde aura oublié cette prestation de la star du rock française, qui vient de nous quitter au mois de décembre 2017.

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V.O.

Directed by	Eric Weston
Produced by	Tony Scotti Angela Schapiro John A. Bushelman
Starring	Beau Bridges Haing S. Ngor Liem Whatley Johnny Hallyday
Music by	Michael Lloyd John D'Andrea Nick Strimple
Distributed by	Scotti Brothers Records Artisan Entertainment International Video Entertainment MGM Home Entertainment
Release date	1989
Running time	91 minutes
Country	United States
Language	English

LA BELLE ET LA BÊTE (2014)

Dans le grenier, des films qui ont voulu la jouer concurrence avec la sourie aux grandes oreilles.

En 2014, traînait déjà le projet chez Disney d'adapter en "live" ce fameux roman de Gabrielle-Suzanne Barbot de Villeneuve, "la Belle et la Bête", rendu célèbre au cinéma par l'adaptation qu'en fit Cocteau avec Jean Marais et Josette Day en 1946 (deuxième version après un court métrage animé en 1934) avant que Disney ne se l'approprie en 1991 pour en faire une franchise relativement lucrative. Mais le réalisateur Christophe Gans réussira a convaincre Pathé, et Studio Babelsberg pour faire une version plus proche du roman original, en apportant une dimension digne de ce nom. Et en cela, force est de constaté que là ou Disney offrira un copié plus ou moins coller de sa version animé, Gans donnera de l'envergure, du charisme, de l'échelle a cette oeuvre. Le réalisateur français soignera l'esthétique de son film, et réussira a obtenir l'accord de Vincent Cassel, qui est un fidèle du réalisateur. Mais le choix de Léa Seydoux, semble avoir été un peu l'écueil de cette production, au point qu'on a chuchoté dans les couloirs que d'un, elle avait été choisie alors en pleine ascension dans une carrière internationale (elle fera plus tard le "Spectre"au coté de Daniel Craig) mais aussi parce que c'est la nièce du grand patron de Pathé. Même si de temps à autre, elle se défendra d'avoir un nom qui forge le respect dans le monde du cinéma français, étant celui des frères Seydoux, détenteurs des deux empires Pathé et Gaumont. Si le film fut accueillit de façon positive par la critique, il a clairement été très difficile a vendre à l'international, alors que Gans avait quand même fait une version anglaise notable. Mais il faut croire que certains distributeurs ne voulaient pas voir cette version s'offrir en comparaison a ce que les américains allait réaliser 2 ans plus tard, et du coup, même si le film a plutôt bien marché dans les pays de l'Est, et sur le marché asiatique, en Amérique, le film n'a quasiment pas été soutenu. Du coup, le film réussira a rentrer dans ses frais, mais n'atteindra pas les objectifs espérés.

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V.O.

Directed by	Christophe Gans
Produced by	Richard Grandpierre
Written by	Christophe Gans Sandra Vo-Anh
Based on	Beauty and the Beast by Gabrielle-Suzanne Barbot de Villeneuve
Starring	Vincent Cassel Léa Seydoux André Dussollier
Music by	Pierre Adenot
Cinematography	Christophe Beaucarne
Edited by	Sébastien Prangère
Production company	Eskwad Pathé Studio Babelsberg
Distributed by	Pathé (France) Concorde Filmverleih (Germany)
Release date	12 February 2014 (France) 14 February 2014 (Berlin)
Running time	112 minutes
Country	France Germany
Language	French
Budget	€35 million[2]
Box office	US$49.1 million(international)

SPECTERS (1987)

Dans le grenier, des films d'horreur, mais façon sauce spaghetti.

Retour dans le cinéma italien, même si en apparence, il n'en a guère le goût et la langue. On a déjà abordé le cinéma italien dans ses heures sombres, ou pour subsister, il s'est mit a faire bon nombre de films de séries B et série Z, souvent des copies de films américains, ou inspirer en tant que tels, pour tenter de vendre à l'international, comme sur le marché américain. Mais cette tendance a commencer a s'essouffler vers la fin des années 80, ou là il a fallut quand même faire un peu plus attention à la narration, au scénario, à la mise en scène, pour être concurrentiel. Surtout quand le cinéma de genre a commencer a avoir des noms de réalisateurs italiens s'imposer à l'international, pour redorer le galons d'un cinéma qui en avait bien nesoin. "Specters", réalisé par Marcello Avallone, c'était déjà munis de têtes d'affiches anglophones avec John Pepper, Donald Pleasance, ou Katrine Michelsen, pour vendre l'article. L'histoire nous faisait suivre 4 archéologues, chargés d'inspecter une nécropole découverte par hasard par le percement du métro à Rome. Mais nos 4 scientifiques savent que peut être, se trouve dans cette nécropole, les restes d'un dominitien qui aurait été possédé par le démon. Si le film reste notoirement de meilleure facture que ce qui avait été fait précédemment, "Specters" s'affiche au tournant d'un retour du cinéma italien encore sous influence, mais qui allait reprendre ses lettres de noblesse dans les années qui suivront. Aujourd'hui, ce film est totalement inconnu et mériterait presque d'être redécouvert, même si avec le temps, sa narration a nettement prise un coup de vieux.

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V.O.

Directed by	Marcello Avallone
Screenplay by	Marcello Avallone Andrea Purgatori Dardano Sacchetti
Starring	Donald Pleasence
Music by	Lele Marchitelli Danilo Rea
Cinematography	Silvano Ippoliti
Release date	1987
Running time	92 minutes
Country	Italy

THE ALPHA INCIDENT (1977)

Dans le grenier, des films de menace planétaire. 

Un vaisseau revient de Mars, avec lui un organisme qui va être étudié sur Terre. Transporter par train, évidemment, un petit curieux va mettre son doigt là ou il ne fallait pas. Du coup, contamination, mise en quarantaine, et on va chercher comment évité l'invasion et l'extermination de la race humaine sur Terre. Voilas en gros l'histoire de ce "The Alpha Incident", film réalisé par Bill Rebane datant de 1977, qui reprenait le vieux principe d'un organisme hostile et menaçant, véritable danger pour notre humanité chérie, qui n'est pas si loin évidemment de ce que les "Body Snatchers" et autre "The Things" avaient aborder avec plus de talent. Car ici la réalisation reste trop classique, sans recherche réel de mettre ou de jouer avec de l'ambiance, restant dans des schémas habituels, déjà vu, et assez ennuyant dans la narration. Du coup, le film ne sera pas très diffuser à l'étranger, et finira sur le marché de la vidéo, pour disparaître des radars. A noter que ce film fut également titré "The Alien Incident" par quelques distributeurs francophones.

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V.O.

Directed by	Bill Rebane
Produced by	Herbert L. Cohan(associate producer) Michael D. Graves(executive producer) Woody Jarvis (associate producer) Barbara J. Rebane(executive producer) Bill Rebane (producer)
Written by	Ingrid Neumayer (original screenplay)
Starring	See below
Music by	Richard A. Girvin
Cinematography	Bela St. Jon
Edited by	Bill Rebane
Release date	May 24, 1977(Mandan, North Dakota)
Running time	94 minutes (American DVD) 85 minutes (American VHS)
Country	United States
Language	English

HEIDI (1937)

Dans le grenier, des films classiques que des générations ne peuvent plus voir.

Allez, joyeux noel, car qui n'a jamais souffert devant une des Nièmes diffusion de ces films américains bien mielleux, qui font encore les joies des nostalgiques et émotionnellement exacerbés amis américains. Quand ce n'est pas "Le petit lord Fauntleroy", ou "Sound of Music", ou encore "Les quatres filles du Docteur March" ou une des multiples version de "Scrooge" on a le droit au indémodable "Heidi". Mais pas n'importe lequel. Celui de 1937, réalisé par Allan Dwan, sous la houlette de Darryl F.Zanuck, avec dans le rôle titre l'actrice Shirley Temple. Parce que les américains adorent les contes de Noël, normal que quelques chaînes de télévision ressortent des cartons du grenier quelques vieux classique, entre les collections impressionnante de daube produit avec deux francs six sous, qui inondent les cinéma, la télé, comme les vidéo en streamings et VOD. Avec souvent toujours la même histoire, les mêmes thèmes, et les costumes qui vont avec. Même si "Heidi" qui fut à l'origine un best seller de 1880 signé de l'auteur suisse Johanna Spyri, n'est à proprement dit pas un conte de Noël, il regorge pourtant de tous les ingrédients qui suffisent a adoucir et toucher la sensibilités des plus jeunes et des moins jeunes, qui sont souvent prêt a vous remettre la sauce tous les ans. Un peu comme ces fameuses copines qui ne pouvaient pas passer un mois sans se re mater "Dirty Dancing" en vidéo. Si ce "Heidi" reste évidemment le plus notable et les plus connu de toutes les versions (une vingtaine entre cinéma et télévision) il n'en reste pas moins l'une de celle qu'on finit par maudire, et voir définitivement rester dans le grenier. 

Et pour ma part, joyeux Noël a tous, et merci pour suivre de plus en plus nombreux les FILMS DU GRENIER.

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V.O.

Directed by	Allan Dwan
Produced by	Darryl F. Zanuck
Written by	Julien Josephson Walter Ferris
Based on	Heidi by Johanna Spyri
Starring	Shirley Temple Jean Hersholt Arthur Treacher Mary Nash Marcia Mae Jones Sidney Blackmer
Music by	David Buttolph Charles Maxwell Ernst Toch
Cinematography	Arthur Charles Miller
Edited by	Allen McNeil
Distributed by	20th Century Fox
Release date	October 15, 1937
Running time	88 minutes
Country	United States
Language	English

METAMORPHOSIS (1990)

Dans le grenier, des films absent de toutes convoitise a conquérir les salles.

Nous sommes en 1990 et c'est le réalisateur G.L. Eastman qui offre ce "Metamorphosis", un film sur une expérience de mutation, opérée par un scientifique qui n'a pas d'autres choix pour accélérer ses travaux, de passer a l'étape ultime. Expérimenté sur l'homme. Hors a défaut de cobaye, il décide de l'expérimenté sur lui même. Sauf qu'évidemment, çà ne va pas se passer comme prévu, surtout quand le bonhomme commence a se muté en un tyrannosaure. Autant dire un scénario a coucher dehors, qui condamnera le film a atterrir directement sur le marché de la vidéo.

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V.O.

THIS ISLAND EARTH (1955)

Dans le grenier, des films classiques, d'un autre age. 

Les films du grenier vont aller plus loin, pour explorer un cinéma plus ancien, classique, comme méconnu. Parce que si les amateurs et cinéphiles connaissent leurs classiques, ceux ci vous sont peut être inconnus du fait de faire parti d'une autre génération. Et dans les classiques il y a ce "This Island Earth", qui nous vient de 1955, et fait parti des classiques de la SF. Réalisé par Joseph M. Newman et Jack Arnold, avec Jeff Morrow, Faith Domergue et Rex Reason, ce film contait déjà en couleur, l'histoire de scientifiques qui, par un stratagème qui leur vaudra des risques, pourront aller sur une planète ou vie une société qui se fait appeler Metalunienne, menacée par une guerre sur le point de se terminée par leur extermination. Ils ont en réalité guidé nos humains pour les faire les ambassadeurs de leur exile sur Terre, non sans quand même leur faire un petit lavage de cerveau au passage. Un film qui a le goût de toute époque de SF dans le cinéma américain, très souvent inspiré aussi par une idée plutôt politisé de l'ennemis, l'envahisseur, dont on connaît et reconnait souvent l'assimilation. Inspiré d'un roman de Raymond F. Jones, ce film compte parmi les classiques de la SF au cinéma, du fait d'une, d'avoir été un des premier film en couleur pour un film de genre, mais aussi, innovant en matière d'effets spéciaux qui serviront par la suite a un véritable boum des films de SF dans le cinéma américain. Mais voilas, les années passent comme les décennies, et aujourd'hui, ces films se sont fait un peu oublié du grand public, et tout aussi rare à la télévision, du fait d'être peut être, trop vieux.

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V.O.

Directed by	Joseph M. Newman Jack Arnold
Produced by	William Alland
Written by	Franklin Coen Edward G. O'Callaghan
Based on	This Island Earth 1952 novel by Raymond F. Jones
Starring	Jeff Morrow Faith Domergue Rex Reason
Music by	Uncredited: Henry Mancini Hans J. Salter Herman Stein
Cinematography	Clifford Stine
Edited by	Virgil Vogel
Production company	Universal Pictures
Distributed by	Universal International
Release date	June 1, 1955(United States) June 10, 1955(New York City)
Running time	86 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$800,000 (estimated)
Box office	$1.7 million