THE FINAL CUT (2004)

 

Dans le grenier, des films peu connu et pourtant.

Tout le monde connait Robin Williams, charismatique, à la carrière qui ne fut pas que consacrée à de la comédie, des drama de grand studio. En 2004, et depuis le début des années 2000, Williams va battre les sentiers battus du cinéma indépendant, et c'est sous la coupe de LionsGates, qu'il jouera dans ce "The Final Cut", de Omar Naim, dont ce sera sans doute le seul film largement distribuer entre autres films souvent destiné au marché de la vidéo. Une histoire peu banal, ou un "cutteur", va faire une découverte dans son métier qui consiste a monter les souvenirs de défunts, qui s'était fait implanter un système enregistreur de mémoire. Scénario assez bien foutu, écrit par le réalisateur lui même, qui pourtant, manquera de soutient, par un réalisation plutôt linéaire et trop posé au goût du spectateur lambda. Le film sera un échec, la critique estimant que seul Williams sauve les meubles.

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V.O.

Vidéo supprimé par YT

Directed by	Omar Naim
Written by	Omar Naim
Produced by	Nick Wechsler
Starring	Robin Williams Mira Sorvino Jim Caviezel Mimi Kuzyk Stephanie Romanov Genevieve Buechner Brendan Fletcher
Cinematography	Tak Fujimoto
Edited by	Dede Allen Robert Brakey
Music by	Brian Tyler
Distributed by	Lions Gate Entertainment
Release date	October 15, 2004[1]
Running time	95 minutes
Countries	United States Canada Germany
Language	English
Box office	$3,618,825

SILENT MADNESS (1984)

 

Dans le grenier, des films 3D, relief, enfin, presque....

Dans les années 80, certaines productions ont trouver, original, de faire certains films en "3D"... En réalité, filmé avec ArriVision 3-D qui permettait de tourner en 2 images, qui par la suite reprenait le procédé de lunettes polarisées. Un système plutôt coûteux pour l'époque, et qui a donné des projets originaux, comme aussi des flops. Comme ce "Silent Madness", un film d'horreur qui devait sans doute réinventé le cinéma immersif, mais sans avoir ni le scénario, ni le réalisateur adéquat. Simon Nuchtern pour ne pas le nommé.

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V.O.

Directed by	Simon Nuchtern
Written by	Bob Zimmerman Bill Milling
Produced by	Bill Milling Simon Nuchtern
Starring	Belinda Montgomery Viveca Lindfors Sydney Lassick
Cinematography	Gerald Feil
Edited by	Philip Stockton
Music by	Barry Salmon
Distributed by	Almi Pictures
Release date	November 9, 1984
Running time	93 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$600,000

ALICE, SWEET ALICE (1976)

 

Dans le grenier, des films furtifs....

"Alice, Sweet Alice", fut un temps un film qui s'était fait sa petite réputation. Mais ce ne fut qu'un temps, bien reculé. Réalisé par Alfred Sole, ce slash movie abordait quand même un certain nombre de thématiques qui touchait le catholicisme, et la dissolution du cocon familiale. Mais son parcours sera très furtif finalement, car même en ayant changer son titre qui à l'origine s'appelait "Communion" (changer par pression des associations catholiques) il ne fera sa réapparition qu'en 1981, 5 ans après sa sortis du fait que dans sa distribution, on y trouve une jeune Brooke Shield, qui va devenir une égérie des années 80. Et par la même occasion, le film changera d'ailleurs encore de nom, pour s'appeler "Holy Terror" pour revenir à un lien plus "sacrilège" que son titre définitif, lors de son exploitation sur le marché de la vidéo, qui gardera le titre de "Alice, Sweet Alice".

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V.O.

Directed by	Alfred Sole
Screenplay by	Rosemary Ritvo Alfred Sole
Produced by	Richard K. Rosenberg Alfred Sole
Starring	Linda Miller Mildred Clinton Paula Sheppard Niles McMaster Brooke Shields
Cinematography	John Friberg Chuck Hall
Edited by	Edward Salier
Music by	Stephen J. Lawrence
Production companies	Harristown Funding, Ltd.[1]
Distributed by	Allied Artists
Release date	November 15, 1976
Running time	108 minutes[1]
Country	United States
Language	English
Budget	$350,000

THE WORLD, THE FLESH, AND THE DEVIL (1959)

 

Dans le grenier, des films cultes mais oubliés.

Sans doute l'un des grands classiques des films post apocalyptique. Datant de 1959 et réalisé par Ranald MacDougall, "The World, the Flesh and the Devil", met la dualité de l'humanité à rude épreuve, dans ce trio, après une fin du monde mystérieuse ou tous le monde à disparu. Un survivant qui après s'être extirpé d'une mine se retrouve seul dans un monde vide. Mais ou sa conviction à un moment d'être le dernier survivant, une femme surgit. Une relation se noue. Mais viendra un troisième homme.... et évidemment, les choses vont plus ou moins se compliquer dans l'équation. Un film qui n'est pas le premier à traiter ce sujet puisque déjà en 1920 "The Comet" avait déjà mis en évidence cette dualité, reprise plus ou moins dans d'autres films par la suite, comme le plus récent "Z comme Zachary" en 2015. Particularité dans ce film, le fait qu'évidemment, nous sommes en 1959 et à cette époque, les acteurs noirs sont encore rare. Qui plus est dans cette histoire, ou une femme blanche, va t'elle succomber aux charmes d'un homme de couleur, avant qu'un autre blanc survienne. Film rare, qui n'a que très peu trouver sa place à la télévision, et pour cause. Mais plus spécifiquement sur un plan technique, ce film impressionna, du fait d'avoir réussit à tourner dans des secteurs de New York, quasiment vide, en dehors de séquence tournées en majorité à Los Angeles, dans des studios. Une réelle prouesse pour l'époque.

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V.O.

Directed by	Ranald MacDougall
Written by	Ranald MacDougall
Screenplay by	Ranald MacDougall
Based on	The Purple Cloud by M. P. Shiel "End of the World" by Ferdinand Reyher
Produced by	Sol C. Siegel George Englund Harry Belafonte (uncredited)
Starring	Harry Belafonte Inger Stevens Mel Ferrer
Cinematography	Harold J. Marzorati
Edited by	Harold F. Kress
Music by	Miklós Rózsa
Distributed by	Metro-Goldwyn-Mayer
Release date	April 23, 1959 (Cleveland)
Running time	95 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$1,659,000
Box office	$1,085,000

BATTLE BEYOND THE SUN (1962 U.S. version)

 

Dans le grenier, des films qui eurent deux carrières.

"Battle beyond the Sun" est à l'origine un film russe de 1959, qui par la suite eut une seconde carrière grace à un certain Roger Corman. En effet, Corman trouva le film intéressant, a ceci près qu'il se permettra de remonter le film avec quelques scènes additionnelles, afin de mieux américaniser le film. L'histoire subira également des changements mais ne modifiant que peu l'intrigue finale, celle d'un vaisseau en perdition, qui va se retrouver dans un endroit ou une guerre à lieu entre deux formes de créatures locales. Film qui est assez atypique, tant sa matrice principale était russe, et qu'elle a été remodeler par les américains. Et pour compléter le tableau, celui qui va aider Corman à remonter cette version, qui date de 1962, un certain Francis Ford Coppola, qui sera par la suite crédité à cette version.

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V.O.U.S.

Directed by	Mikhail Karyukov Aleksandr Kozyr Francis Ford Coppola (additional sequences US version)
Written by	Mikhail Karyhukov, Yevgeni Pomeshchikov Aleksei Sazonov
Produced by	Roger Corman (US version)
Starring	Aleksandr Shvorin Ivan Pereverzhev
Cinematography	Nikolai Kulchitsky Jack Hill (add. sequences US version)
Edited by	L. Mkhitaryyanch
Music by	Yuli Meitus, performed by Vyacheslav Mescherin Carmine Coppola (US version)
Production company	Dovzhenko Film Studios
Distributed by	Filmgroup (US)
Release date	1959 (USSR) 1962 (US)
Running time	64 minutes (US)
Country	United States
Language	English

CREATURE (1985)

 

Dans le grenier, des films de tendance, limite plagiat. 

Dans le début des années 80, bon nombre de productions se sont lancer dans les "choses d'un autre monde", suite a des succès comme "Alien" ou même "E.T.". La thématique de l'extra terrestre, mais pas forcément "amicale" voir primitif et prédateur, a inspiré William G. Dunn pour produire en 1985, ce "Creature", sous la direction de William Malone. Film notable en soit, il subira un petit succès aux USA, avant de devenir un classique dans les vidéoclubs durant l'apogé du marché. A l'époque, pas mal de critique trouveront évidemment beaucoup de similitude avec Alien  de Scott, et de façon très légitime. Multiples ré éditions se succéderont jusqu'en 2013 ou un director's cut verra le jour, avec son titre original, "Titan Find", qui avait été changer en 85 pour "Creature", plus accrocheur !

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V.O.

V.F.

https://youtu.be/l5wyaI72YEQ

Directed by	William Malone
Screenplay by	William Malone Alan Reed
Produced by	William G. Dunn
Starring	Stan Ivar Wendy Schaal Lyman Ward Robert Jaffe Diane Salinger Annette McCarthy Klaus Kinski
Cinematography	Harry Mathias
Edited by	Bette Jane Cohen
Music by	Thomas Chase Steve Rucker
Distributed by	Trans World Entertainment
Release date	March 1985 (Brussels International Festival of Fantasy Films) May 8, 1985 (United States)
Running time	97 minutes
Country	United States
Language	English

THE BRAIN THAT WOULDN'T DIE (1962)

 

Dans le grenier, des films classiques d'un autre age.

"The Brain that wouldn't Die", littéralement "Le cerveau qui ne voulait pas mourir", est un film fantastique datant de 1962, ou une jeune femme est maintenue en vie par son cerveau, alors sa tête ayant été détaché de son corp après un accident. En réalité, ce film s'inspirait d'un autre film sorti la même année, "The brain", mais qui eut moins de succès que son aîné. Aujourd'hui, ce film est un classique des films de genre de série B, qui a cet avantage aujourd'hui, d'être dans le domaine public, et donc, gratuit.

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V.O.

V.F.

Directed by	Joseph Green
Written by	Rex Carlton Joseph Green
Produced by	Rex Carlton Mort Landberg
Starring	Jason Evers Virginia Leith Leslie Daniel
Cinematography	Stephen Hajnal
Edited by	Leonard Anderson Marc Anderson
Music by	Abe Baker Tony Restaino
Production company	Sterling Productions
Distributed by	American International Pictures
Release date	May 3, 1962
Running time	82 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$62,000 (estimated)