Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

dimanche 30 octobre 2016

THE DAY THE EARTH STOOD STILL (2009)

Dans le grenier, des remakes qui firent top et flop.

"Le jour ou la Terre s'arrêta" est un grand classique de la littérature et du cinéma de science fiction, dont la première adaptation datant de 1951 était signé Edmund H. North. La Fox, décide en 2008 de faire un remake de ce classique, sous la direction de Scott Derrickson. On dépoussière un peu l'histoire, et c'est finalement Keanu Reeves qui endossera le role de Klaatu, dans cette histoire ou une professeur va être mis en relation avec un phénomène semble t-il extra terrestre. Un personnage du nom de Klaatu semble détenir les réponses a ses questions, mais lui même doit trouver des réponses a ses questions. Somme nous digne de continuer a occupé cette planète que nous ne respectons pas, comme nous ne respectons pas notre prochain. Du coup, on pouvait être excité que le thème d'origine, qui était quand même une remise en question de nos propres sociétés, soit finalement un peu détourné pour aller directement a cette idée que "ho, allez, on est des êtres humains, on peu pas disparaître comme çà, parce qu'on est finalement gentil". Disparu l'essentiel de nos erreurs, de nos égo, avec en plus une direction artistique qui tourne le film vers un films catastrophe plutot qu'un film avec un fond. Ce que le public va d'ailleurs très vit ressentir, avec une direction d'acteur tout aussi inadéquat qu'en plein hors sujet. Du coup, plus personne ne se souvient de ce film, et même les réseaux VOD et Streaming peine a vouloir l'acheté pour le proposer dans leurs catalogues. Un échec qui fit réfléchir sur la tendance qui avait été amorcé par Spielberg et son remake de "La Guerre des Mondes", donnant évidemment l'idée a d'autres de vouloir faire des remakes de grands classiques de la SF. Ce film dissuada sans doute que certains thèmes que l'on pouvait encore abordé autrefois, ne peuvent plus l'être aussi librement aujourd'hui. Le film s'en sortira quand même avec une grosse recette, comme la plupart des films grands spectacles, amortissant largement l'investissement, qui aurait pu rapidement tourné à la catastrophe, si justement la Fox n'avait pas misé sur de la sortie mondiale calculée a court terme.

Directed byScott Derrickson
Produced by
Screenplay byDavid Scarpa
Based on
Starring
Music byTyler Bates
CinematographyDavid Tattersall
Edited byWayne Wahrman
Production
companies
Distributed by20th Century Fox
Release dates
  • December 12, 2008
Running time
103 minutes[1]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$80 million
Box office$233.1 million

THE DARK SIDE OF THE MOON (1990)

Dans le grenier, des série B d'époque, en "direct on video".

Les années 80 et 90 furent fructueuses en films de série B pour le marché de la vidéo. Grossit parfois par quelques films qui étaient destinés aux salles de cinéma, mais qui, par leurs médiocrités a convaincre, rejoignirent les marchés de la vidéo aussi vite que prévu. Heures de gloires pour bon nombre de maisons de production, les années 80 et début 90 furent une mine d'or pour un marché très demandeur (du fait que des sociétés étaient spécialisées pour produire rapidement et mettre des films sur l'internationale avec des réseaux pour les versions étrangères, parfois de mauvaises factures au niveau des doublages). En 1990, ce "The Dark Side of the Moon" fut de la trempe de ses films SF mais sans le sou. Economies de bout de chandelles, c'est aussi pour cela qu'on retrouvera souvent les mêmes décors dans pas mal de ce genre de film, du fait d'être modifié et réutilisé pour d'autres productions. Le film tente de nous accrocher avec un équipage qui a besoin de récupéré une pièce essentielle pour leur vaisseau, et vont aller chercher çà sur un vieille navette qui se trouve quelque part sur la face caché de la lune. Sauf qu'ils vont être confronté a quelques problèmes de taille. Un scénario déjà pas terrible, pour un film qui l'est encore plus. Du coup, pas étonnant que le film est finalement terminé dans le grenier, et dispo gratuitement sur le net.
Directed byD.J. Webster
Produced byKeith Walley
D.J. Wester
Written byCarey Hayes
Chad Hayes
StarringRobert Sampson
Will Bledsoe
Joe Turkel
Camilla More
John Diehl
Wendy MacDonald
Alan Blumenfeld
Music byPhilip Davies
Mark Ryder
Distributed byTrimark Pictures
Release dates
  • 1990
CountryUnited States
LanguageEnglish

XTRO 2 (1990)

Dans le grenier, des films qui par leurs titres sont déjà des arnaques.


En 1982, sortait de façon assez timide, un film britannique réalisé par Harry Bromley Davenport et qui fit pourtant sensation au festival d'Avoriaz. 8 ans plus tard, Davenport remet le couvert avec ce "Xtro 2". Sauf que là où le premier film avait attiré la curiosité des amateurs de fantastique et de science fiction, ce deuxième film (qui n'est pas une suite du premier film) va très vite décevoir. L'histoire relate une expérience tridimensionnelle qui tourne mal quand une entité rentre dans notre dimension. Le complexe secret dans lequel cette expérience a eut lieu est évacué, et laisse 4 agents chargé de nettoyer les lieux. On est donc là bien loin du premier film qui relatait seulement l'histoire d'un homme confronté après trois ans de disparition, a son destin d'être une mutation d'être humain avec une entité extraterrestre, après avoir été enlevé. Ici, on est plus dans un film bas de gamme, type série B qui d'ailleurs ne trompera pas les distributeurs qui n'achètent pas le film pour de l'exploitation en salle. Le film finira donc sur le marché de la vidéo.

TRAILER


V.O.

Directed byHarry Bromley Davenport
Produced by
  • John A. Curtis
  • Lloyd A. Simandl
Written by
  • John A. Curtis
  • Stephen Lister
  • Robert Smith
  • Edward Kovach
StarringJan-Michael Vincent
Paul Koslo
Tara Buckman
Music byBraun Farnon
Robert Smart
CinematographyNathaniel Massey
Edited byDerek Whelan
Distributed byNova Releasing
New Line Cinema
North American Pictures
Release dates
  • 4 May 1990
Running time
92 minutes
CountryCanada
United Kingdom
LanguageEnglish

RED LIGHTS (2013)

Dans le grenier, des thrillers paranormaux dont on ne se souvient plus.

"Red Lights" devait être un film avec quand même du lourd niveau casting. Sigourney Weaver, Cillian Murphy, Robert DeNiro, Toby Jones... de quoi faire. Cette histoire d'enquête sur des phénomènes dit, paranormaux, avec l'intervention d'un parapsychologue appeler en renfort par une psychologue et son assistant qui sont un peu dépassé par les événements, aurait pu donner quelques choses de propre. Mais cette production américano espagnole a ce défaut d'avoir un déséquilibre notoire de narration, avec une direction d'acteur clairement mal maîtrisé. La réalisateur espagnol Rodrigo Cortés, qui pourtant n'en était pas a son premier coup d'essai dans le genre côtoyant le fantastique, semble avoir été "invité " a respecté quelques codes autrement que ce qu'il a la coutume de réalisé. Du coup on a des scènes qui manque cruellement de rythme, et on finit par ne pas pouvoir se raccrocher a la prestation des acteurs qui par moment, semblent eux aussi avoir des temps morts. Si la photo et le montage montre déjà un professionnalisme, le film va pâtir de ses défauts et sera un échec commercial qui ne pourra pas seulement tiré son épingle du jeu avec des noms tels que DeNiro ou Weaver. Le film fera un plantage lors de sa sorti en 2013, sur ses exploitations américaine, britannique, comme espagnole, au point que le film ne sortira pas ailleurs, y compris en France pour être proposer directement en vidéo en 2014.
Directed byRodrigo Cortés
Produced by
  • Rodrigo Cortés
  • Adrián Guera
Written byRodrigo Cortés
Starring
Music byVictor Reyes
CinematographyXavi Giménez
Edited byRodrigo Cortés
Distributed byMillennium Entertainment
Release dates
  • January 20, 2012(Sundance)
  • March 2, 2012 (Spain)
  • June 15, 2012(United Kingdom)
  • July 13, 2012(United States)
Running time
113 min.
Country
  • Spain
  • United States
LanguageEnglish
Budget€14,000,000
Box office$13,551,174

jeudi 20 octobre 2016

BLUE THUNDER (1983)

Dans le grenier, des films tendances d'une époque qui fut "détonante".

Fin des années 70, début 80, verront dans le cinéma américain émergés des films issue d'une politique sécuritaire inspiré de conditions et politiques sociales en pleines mutations. Et ce "Blue Thunder", ou connu en France sous le titre de "Tonnerre de Feu", était de ceux là. 1984, pour lutter contre le crime, la police utilise depuis maintenant plusieurs année de l'assistance par hélicoptère, permettant de pourchasser depuis le ciel des criminels. Franck Murphy, ancien pilote du Vietnam, est l'un des agents qui opère dans le ciel de Los Angeles, pour la fameuse LAPD. Mais un jour, on le convie a une démonstration. Celui d'un hélicoptère révolutionnaire qui devra faire ses armes au sein de la LAPD, pour renforcer l'organisation de la sécurité pour les jeux olympiques qui doivent avoir lieu dans la ville. Murphy y croise une vieille connaissance, un autre pilote avec qui il avait eut une mission délicate au Vietnam, et qui est la cause d'un différend de longue date. Mais lors de sa première mission de surveillance a Los Angeles, Murphy et son coéquipier Richard, essayent tous les gadgets de cet hélicoptère, baptisé Blue Thunder. Mais par hasard, Murphy voit son ancien "copain" qui se dirige vers un immeuble. Quelques minutes plus tard, il réussit a repéré son homme qui rencontre secrètement des hauts responsables qui semblent comploté un faux attentats pour valider l'usage du Blue Thunder et en étendre sa capacité totalitaire sur la population. Mais Murphy est repéré par la fenêtre et va s'engager alors une course à la mort, pour tenter de le faire taire, et récupéré les enregistrements qui peuvent prouver ce qui se trame dans le dos des citoyens américains. Un film qui a l'époque, mettant en vedette Roy Scheider, mais, et surtout l'hélicoptère qui en réalité, était une gazelle française modifiée. Mais le film eut du mal a trouver son public du fait d'avoir été victime d'un calendrier, avec en face de lui un certains "Flashdance" qui rafla la mise. Néanmoins, le film n'en sera pas moins remarqué, avec non comptant une recette non négligeable, mais aussi une reconnaissance en Europe comme un film d'action plutôt bien ficelé avec une réalisation efficace, signé quant même John Badham. Remarqué, au point qu'une série télé en sera même inspiré, mais ne durant qu'une seule saison. Puis le film est tombé dans l'oubli. Peu diffusé à la télévision, seuls les connaisseurs se souviennent de ce film qui avait plutôt bien marqué son époque, mais qui avec le temps était devenu obsolète, tant la technologie avait bien évoluée aussi. Du coup le film a plus très vite mal vieillit, même si dans sa narration il reste encore de bonne facture, marque indélébile d'un réalisateur de talent, qui à l'âge de 77 ans ne réalise plus que des épisodes de séries télé depuis 2002. Car pour ceux qui auraient oublié, ce réalisateur est celui qui signa "Saturday Night Fever", "Wargames", "Short Circuit", ou encore "Point of no return" qui était le remake du Nikita de Luc Besson exploiter par la suite sous le titre "la femme Nikita".

TRAILER







Directed byJohn Badham
Produced byGordon Carroll
Phil Feldman
Andrew Fogelson
Written byDan O'Bannon
Don Jakoby
Starring
Music byArthur B. Rubinstein
CinematographyJohn A. Alonzo
Edited byEdward M. Abroms
Frank Morriss
Production
company
Distributed byColumbia Pictures
Release dates
  • May 13, 1983
Running time
109 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$11 million
Box office$42,313,354

ERAGON (2006)

Dans le grenier, des films qui aurait du faire un petit mais, finalement, non.

Nous sommes en 2006, et les années 2000 en matière de cinéma, ont été considérablement influencé par les "Harry Potter" et "Seigneur des Anneaux". Tous le monde a voulu sa franchise Heroic Fantasy, fantastique et magique, au point d'aller chercher dans la littérature des oeuvres qui avaient fait leurs preuves. Disney, s'attela au "Monde de Narnia" la Fox s'essaya a l'oeuvre de Christopher Paolini, "Eragon". Film ou un jeune homme va devoir malgré lui aidé a lutter contre des méchants, du fait d'être l'héritier d'un savoir permettant de maîtrisé les dragons. Un film empreint donc de légendes et de mythes, qui bien sur, essaye de profité de la vague dans le genre, lancé par l'adaptation de Peter Jackson. Sauf qu'on ne s'improvise pas un soit disant succès, même avec de la têtes d'affiches comme Jeremy Irons, Robert Carlyle et John Malkovich. Non, le résultat réalisé par Stefen Fangmeier ne va pas être à la hauteur, et le film va même rentré dans le "top ten" des plus mauvaises films de l'année 2006. Malgré çà, et un démarrage laborieux, le film sera néanmoins rentable, mais la Fox ayant bien évidemment conscience que le film a été laminé par la critique, et aussi peu acclamé par le public, décidera d'arrêté là les frais, et la suite ne sera jamais lancé. Du coup, ce "Eragon" finira par être oublié, et ne demeurera dans les annales, comme ayant été le dernier film distribuer en vidéo VHS sur le marché américain en plus du format DVD. Preuve en est, il ne vous a pas marquer outre mesure....
Directed byStefen Fangmeier
Produced by
Screenplay byPeter Buchman
Based onEragon
by Christopher Paolini
Starring
Music byPatrick Doyle
CinematographyHugh Johnson
Edited by
Production
company
Distributed by20th Century Fox
Release dates
  • December 15, 2006
Running time
104 minutes
Country
  • United States
  • United Kingdom
LanguageEnglish
Budget$100 million
Box office$249.5 million

EMPIRE OF THE DEEP (2015)

Dans le grenier, des films que vous ne verrez jamais, et pour cause.


"Empire of the Deep" est à l'origine un film qui est issue de l'imagination de Jon Jiang, qui n'est autre qu'un oligarque chinois, qui a voulu se faire plaisir en ce lançant comme producteur de cette histoire empreint de la mythologie Grecque. Empreint, car en fait adapter à la sauce chinoise sur un budget de 130 millions de dollars. Le film qui relatait le combat d'une sirène pour préservé la paix dans le monde sous marins, ou complots et conquêtes vont troublé l'ordre établie. A la tête de ce projet, lancé en 2010, était prévu un certain Pitof, le même qui avait réalisé il y a des années de cela un certain "Vidocq". Mais les essais ont commencer a cloué le destin du film. En effet, très vite, la production s'enlise, au point de revoir le scénario mainte et mainte fois, et de changé de réalisateur. Initialement prévu dans le rôle principal, Monica Bellucci, Mais c'est finalement Sharon Stone qui sera retenue, avant de se désisté et laisser la place a l'actrice Olga Kurylenko. Michael French reprendra la main à la direction du film, non sans deux autres réalisateurs qui viendront renforcé la production. Mais au fil du tournage, certains acteurs et actrices vont purement et simplement quitté le film, mettant du plomb dans l'aile a une production qui commence a inquiété les financiers américains, co producteur. Bref, le film va explosé les budgets, et le montage définitif va finir par émergé dans ses versions 2D et 3D, qu'en 2014. Un an plus tôt, on avait commencer a promouvoir le film avec une bande annonce, a coup de grand renfort de spectaculaires photos de tournage. Sauf qu'au final, le film dans ses projections test est un désastre. Pire, certains jugeront qu'il est plus d'une facture digne d'un film de série B américain, tels ces films produit par la fameuse firme Assylum (dont on a déjà parler dans ce blog) c'est à dire avec des acteurs mal dirigé, des effets spéciaux a petit budget, et un montage plus que médiocre, qui ne reflète pas du tous le budget colossal investit. Décidant de limité la casse, le film qui était prévu en sorti en 2015, fut finalement déprogrammé. Il ne sortira jamais en salle et encore moins en vidéo. Une perte sèche que l'oligarque chinois devra assumer, en dédomageant la production américaine qui ne savait plus trop quoi faire de ce film inexploitable.
Directed byMichael French
Written byRandall Frakes
StarringOlga Kurylenko
CountryUnited States
China
BudgetUS$130 million

lundi 17 octobre 2016

THE HITCHER (2007)

Dans le grenier, des remakes pas du tous à la hauteur.


Dans le grenier, on a déjà abordé le classique "The Hitcher" datant de 1986, avec Rudger Hauer, diriger par Robert Harmon. Une pseudo suite avait été réalisé en 2002, avec C. Thomas Howell qui reprenait son role du premier film. Mais ici, il s'agit bien d'un remake, réalisé par Dave Meyer, datant de 2007, et qui, même avec dans le rôle titre, Sean Bean, n'a pas fait des étincelles. Car si à la production on a quand même un certain Michael Bay, l'exploitation américain ne donnera pas l'espoir de voir le film exploiter à l'international. Même si le rôle du jeune homme dans le premier film, laisse la place a une jeune femme, le film n'arrive pas à renouveler ou dépoussiérer l'original outre mesure. Même si Sean Bean essaye de s'éloigné de l'interprétation de Hauer, lorsqu'on a vu l'original, on ce retrouve en face d'un film qui n'est autre qu'un repompage de ce que l'on a déjà vu. Du coup, ce qui devait relancer une franchise, c'est avérer un échec, qui n'engendrera que 25 millions de dollars, pour un film qui devait avoir plus d'ambition.

TRAILER

Directed byDave Meyers
Produced by
Screenplay by
Based onThe Hitcher
by Eric Red
Starring
Music bySteve Jablonsky
CinematographyJames Hawkinson
Edited byJim May
Production
company
Distributed byRogue Pictures
Release dates
  • January 19, 2007
Running time
84 minutes[1]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$25.4 million

FORT APACHE, THE BRONX (1981)

Dans le grenier, des films d'époques, sur des sujets, d'époques.

Nous sommes en 1981, et sort un certain "Fort Apache, The Bronx", film réalisé par Daniel Petrie, avec quand même au casting, Paul Newman, Ed Asner (le genre d'acteur qu'on a déjà vu mais dont on ne se souvient jamais du nom), Ken Whal (qui avait un début de carrière prometteur mais qui est vite tombé dans l'oubli), Dany Aiello, et même Pan Grier. Un film qui relate le quotidien de l'officier Murphy, l'un de ses policiers qui tente de faire son travail dans un quartier du Bronx de triste mémoire, affecté à un commissariat plus communément appelé "fort Apache", en référence historique du fait que le lieu est approximativement un camp retranché dans une zone presque devenu de non droit. Car le film est issue de cette tendance qui fut un temps de donné un visage a ces quartiers de laisser pour compte, parfois en ruines qu'on été le Bronx, le Queens, en partant du nord de Harlem. Une époque fin des années 70, début 80, ou la municipalité de New York n'avait pas encore prit le taureau par les cornes avec la fameuse théorie du carreau cassé. De ce fait, grand nombre de quartiers avaient été laissé à l'abandon, aux gangs, aux trafic de drogue, et des guerres de clans. Une ère qui vit la fin du règne glorieux de la mafia italienne et des gangs irlandais, qui laissèrent la place a des bandes de quartiers qui finirent même par engendré des guerres de rues, telles qu'on a pu le voir dans un autre film, "Warriors", traduit en France par "les Guerriers de la Nuit". Mais ce film allait dans la ligne de ce qui allait faire aussi le succès de séries télés telles que Hill Street Blues, ou la Loi et l'Ordre. Ambiance parfois glauque d'une amérique en crise d'une sortie des trente glorieuses douloureuse, ou les conflits communautaires se sont ajouté a l'envolé des marchés de la drogue, et de la criminalité. Ce qui n'avait pas échappé au cinéma, qui puisa beaucoup d'inspiration de cette période. Mais aujourd'hui, ce genre de film est totalement révolu dans ce sens ou les choses ont changé, et l'ambiance est différente. Du coup, le film est complètement tombé dans l'oublis, mais mérite d'être revu pour se replongé dans ce qui a été un visage de l'amérique, bien loin des carte postale de l'époque, dont d'autres films iront encore plus loin dans le déclin apparent de l'époque, comme les "Taxi Drivers", les "Guerriers du Bronx", ou encore "les Faulcon de la Nuit", ou encore "Wolfen" dans un autre style. En France, le film sera exploité sous le titre de "le Policeman", lors de sa sortie plusieurs mois après sa sortie américaine en 1981. Anecdote ; le film a risqué de tombé sous le coup de plusieurs plaintes, car plusieurs communautés du Bronx ont jugé que le film donnait une mauvaise image de leurs quartiers et de leurs vies à l'intérieur.
Directed byDaniel Petrie
Produced by
Written byHeywood Gould
Starring
Music byJonathan Tunick
CinematographyJohn Alcott
Edited byRita Roland
Production
company
Distributed by20th Century Fox
Release dates
  • February 6, 1981
Running time
125 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$65.2 million

dimanche 16 octobre 2016

COBRA VERDE (1987)

Dans le grenier, des films de la dernière fois.

Werner Herzog n'est pas un étrangers pour les cinéphiles. Même si le réalisateur a toujours été assez loin des phénomènes "blockbusters". Il n'en reste pas moins un réalisateur allemand de grande qualité, qui a toujours fait des films à la hauteur de sa grandeur, comme de la démesure. On se souviendra de la production "Fitzcarraldo" ou l'équipe de tournage fut mené à rude épreuve, jusqu'a ce bateau réellement tiré a flan de colline. Et pour cela, Werner Herzog avait trouver un acteur à la hauteur de son univers, en la présence de son compatriote Klaus Kinski. Et c'est en 1987 qu'il réalise "Cobra Verde", ou le parcours d'un paysan devenu aventurier, dont on donnera le surnom de Cobra Verde, à la vie de débauches qui le mènera a quitté le Brésil pour l'Afrique, ou il sympathisera avec un monarque local, avec qui la relation va devenir compliqué. Mais évidemment, le style narratif est propre au réalisateur, comme le jeu de l'acteur. Un acteur avec qui les relations vont commencer a devenir compliqué pour le réalisateur, et finiront par mettre un terme a une amitié de longue date, du fait que Klaus Kinski commençà a devenir ingérable. Cobra Verde ne sera pas un grand succès mais le film relatera aussi la fin d'une longue collaboration entre deux monstre du cinéma. L'un finira par arrêter le cinéma pendant de nombreuses années avant de revenir en 2001 après 10 ans d'absence. L'autre disparaîtra en 1991 d'un arrêt cardiaque en Californie. Cobra Verde aura été la dernière fois ou les deux amis travaillèrent ensemble.

Directed byWerner Herzog
Produced byLucki Stipetić
Screenplay byWerner Herzog
Based onThe Viceroy of Ouidah
by Bruce Chatwin
StarringKlaus Kinski
José Lewgoy
Music byPopol Vuh
CinematographyViktor Růžička
Edited byMaximiliane Mainka
Distributed byWerner Herzog Filmproduktion
Release dates
December 3, 1987
Running time
111 min.
CountryWest Germany
LanguageGerman

THE DALLAS CONNECTION (1994)

Dans le grenier, des films qu'on a toujours dit que c'était de sacrés daubes. 

Pour changer un peu, un petite daube du cru des années 90, tous droit destinée au marché de la vidéo. Une production aussi éphémère que sa société de production, pourtant tenue par deux vétérans de la production de films de série B, Arlene et Andy Sidaris, couple à la ville comme à l'écran, qui oeuvrèrent essentiellement dans des films de seconde zone, liés aux marchés du charmes. Producteurs de films pour Playboy comme pour Penthouse, ils ont évidemment profité du marché de la vidéo pour balancer quelques films dont ce "The Dallas Connection", datant de 1994, et contant l'histoire de Samantha, Chris, et Mark, trois durs a cuir à qui l'on confie la mission de protéger un scientifique qui détient 4 puces hyper sophistiquées, qui détiendraient des données permettant de prendre le contrôle du monde, après que trois autres scientifiques aient été tué. Pectoraux en tous genre, jeu d'acteurs du niveau d'un bulot, et l'on a le résultat de ce qui fut une certaine production américaine qui n'avait pas honte de produire autant de daubes dans une même années. Fort heureusement, le marché a considérablement évolué, même si les daubes existent toujours, et ceux qui y jouent dedants, se prétendre des acteurs. 
Directed byChristian Drew Sidaris
Produced byAndy Sidaris
Arlene Sidaris
Wess Rahn
Brian Bennos
Written byChristian Drew Sidaris
StarringBruce Penhall
Mark Barriere
Julie Strain
Music byRon Di Lulio
CinematographyMark Morris
Edited byCraig Stewart
Distributed byStarlight
Release dates
  • October 10, 1994(U.S. video)
Running time
94 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish