Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

mardi 30 mai 2017

ACE VENTURA PET DETECTIVE (1994)

Dans le grenier, des films dont le succès aura été a retardement.

En 1994, le monde allait découvrir un acteur américain aux mimiques faciales détonantes, dans le grand succès "The Mask". Je veux parlé de Jim Carrey. Mais la loi des calendriers de l'époque, ont fait qu'en France, nous avons eut le droit a ce "Ace Ventura Pet Detective" après, la sorti de "The Mask", alors qu'en réalité, ce fut le premier film de Carrey  qui sorti aux USA bien avant "The Mask" et le troisième film "Dumb and Dumber", ce dernier ayant devenu un succès sur le tard, n'ayant pratiquement pas été distribuer a grande échelle (a cause que les trois films sont sortie a quelques mois de décalage et que "Ace Ventura" et "Dumb" avaient été caler ou peu acheter par des distributeurs étrangers). "Ace Ventura" fut donc le premier rôle cinéma de cet acteur, issu du Stand Up, passé par la case SNL pour ensuite faire des apparitions récurrentes dans d'autres shows télévisés, comme le "In Linving Color" des frères Wayans (avant qu'eux aussi explosent au cinéma avec leurs franchises "Scary Movie"), et être repéré pour son style qui fut assez assimilé a une sorte de nouveau Jerry Lewis. "Ace Ventura" c'est un détective pour animaux, perdu ou kidnappé, qui va se voir confié la mission de retrouver la mascotte d'une équipe de football, un dauphin du nom de Flocon de Neige. Bien sûr, on est carrément dans de la comédie familiale, avec des animaux de partout, qui fera néanmoins sont petit succès aux USA. Mais les recettes vont finir par grossir, quand des distributeurs vont finir par s'intéresser au film pour l'international, après le succès de "The Mask". D'ou la raison pour laquelle, le film arrivera en Europe bien après l'exploitation de "The Mask", quand les cinéphiles avertis ne s'étaient pas déjà emparé de son édition vidéo en NTSC (oui, les imports qu'on s'arrachaient à l'époque, quant on avait la chance d'avoir un magnétoscope multizones) ou en PAL. Face au succès grandissant de l'acteur, c'est tout naturellement qu'en 1995, soit un an plus tard, qu'on initia une suite, qui elle, ce vendra à l'international comme des petits pains, réalisant un score permettant de presque multiplié par 10 le budget initial en recette. Mais depuis, dans la carrière de Carrey, ce Ace Ventura est un peu tomber dans l'oublis, même si en  2009, on osera un "Ace Ventura Jr " pour le marché de la vidéo, sans Jim Carrey.
Directed byTom Shadyac
Produced byJames G. Robinson
Screenplay by
Story byJack Bernstein
Starring
Music byIra Newborn
CinematographyJulio Macat
Edited byDon Zimmerman
Production
company
Distributed byWarner Bros.
Release date
  • February 4, 1994
Running time
86 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$15 million
Box office$107.2 million

BIG STAN (2008)

Dans le grenier, des films qui ont voulu lancer un comique.

Dans le cinéma américain, il y a parfois des têtes qu'on reconnait sans jamais se souvenir du nom. Le genre de têtes qui sont connues aux USA, mais difficilement reconnue à l'internationale. C'est le cas de Rob Schneider, un des vétérans du Saturday Night Live, qui a commencer dans le stand up, avant de finir comme beaucoup par la case télé, figuration, acteur, puis finalement se tenter a la réalisation. Et c'est avec ce "Big Stan" qu'il a tenter de percé non seulement en tant qu'acteur en premier rôle, mais aussi en tant de réalisateur. Datant de 2007, ce film nous faisait suivre les mésaventures d'un pauvre type, condamné pour fraude a une peine de prison. Et dans la prison, il va lui arriver évidement des bricoles, le tous sur fond de comédie. Et pour agrémenté le tous, Schneider va s'entouré que quelques célébrités histoires de donner l'allure d'un film de déconne entre amis. Sony, producteur, n'espérait sans doute pas faire des miracles avec ce film, tant en dehors des USA, Schneider est totalement inconnu, et limiterait forcément l'exploitation du film aux USA. Sorti en 2008 de façon limité, c'est sur le marché de la vidéo que Schneider a pu sortir son épingle du jeu en trouvant son public, et ainsi amortir le coût du film. C'est également dans ce film qu'on retrouvera dans l'un de ses derniers rôle Henry Gibson, acteur célèbre dans un grand nombre de comédie, qui décédera en 2009. Un film relativement moyen, qui rentre parfaitement dans ce genre de comédies produites en série pour le marché de la vidéo. Quant a Schneider, il a continuer a participer a des téléfilms, des séries, des émissions de télé, et continuera aussi a jouer l'acteur dans pas mal de film, et récidivé en 2010 en tant que réalisateur avec "The Chosen One".


irected byRob Schneider
Produced byJohn Schneider
Mark A.Z. Dippé
Rob Schneider
David Hillary
Timothy Wayne Peternel
Written byJosh Lieb
StarringRob Schneider
Jennifer Morrison
Scott Wilson
Henry Gibson
Richard Kind
Jackson Rathbone
M. Emmet Walsh
David Carradine
Music byJohn Hunter
CinematographyVictor Hammer
Edited byRichard Halsey
Production
company
Crystal Sky Pictures
Silver Nitrate
From Out of Nowhere Productions
Chicago Entertainment Partners
Distributed bySony Pictures Home Entertainment
Release date
  • November 5, 2007(KBS Premiere Pictures Festival)
  • March 24, 2009(United Kingdom)
Running time
105 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$7.5 million
Box office$8.7 million

dimanche 28 mai 2017

SHERLOCK HOLMES IN NEW YORK (1976)

Dans le grenier, des films dont on a jamais eu l'idée qu'ils pouvaient exister.

Sir Roger Moore vient de nous quitter. Et les films du grenier ne pouvait pas passer a coté pour lui rendre hommage. Car il n'a pas été que James Bond, que le Saint, ou Brett Sinclair dans "Amicalement Votre", entre autres personnages de la culture populaire. Il fut aussi en 1976, "Sherlock Holmes in New York". Je vous rassure, vous ne risquiez pas de le voir en salle, car il s'agit en fait d'un film pour la télévision, réalisé par Boris Sagal, avec d'autres têtes d'affiches comme Charlotte Rampling, John Huston et Patrick Macnee. Même si Sir Moore a pu jouer dans d'autres films du grenier (Cannonball Run, Curse of Pink Panther, Fire Ice and Dynamite,...) sur lesquels nous reviendrons certainement, il lui fallait aussi pouvoir un jour incarné le personnage de Sir Arthur Conan Doyle, pour élargir la légende de cet acteur britannique a la carrière bien remplie.
Written byAlvin Sapinsley
Directed byBoris Sagal
StarringRoger Moore
Patrick Macnee
Music byRichard Rodney Bennett
Country of originUnited States
Original language(s)English
Production
Executive producer(s)Nancy Malone
Producer(s)John Cutts
CinematographyMichael D. Margulies
Editor(s)Samuel E. Beetley
Running time100 minutes
Production company(s)20th Century Fox Television

LIFEFORCE (1985)

Dans le grenier, des films SF qui avaient pourtant du potentiel.

Sans doute l'un des films de science fiction britannique les plus ambitieux de l'époque. Datant de 1985, réalisé par Tobe Hooper, ce film réinventait le concept des vampires, sous forme d'extra terrestre. L'histoire d'une mission de la navette anglaise, qui va rendre compte d'un objet situé dans la queue de la comète de Halley. Explorant un vaisseau semble t-il extraterrestre, ils y découvre des êtres comme pétrifiés. Mais lors de leurs explorations, ils découvrent 3 spécimens qui sont parfaitement identique physiologiquement aux humains. Plus tard, ramenant les trois corps conservé dans des sarcophages dans la navette, celle ci perd tous contact. Plusieurs semaines plus tard, le commandant de la mission se réveil dans un hopital militaire. Les autorités vont vouloir savoir ce qui se passe. Mais notre commandant a du mal a se souvenir de ce qui c'est passé. Mais rapidement, la situation va commencer a devenir compliqué, quand on commence a retrouver des corps vidés de toutes essences, comme desséché. Le commandant se souvient petit à petit que tout est liés a nos trois visiteurs, qui entre temps, ont tenté de s'échappée. Notre commandant sait alors que les choses risques d'empirer car nos trois êtres, sont capable de s’immiscer dans d'autres corps. Pire, ceux qu'ils contaminent, doivent eux aussi s'abreuvé de l'essence vitale, sinon, ils finissent pas se dessécher eux aussi, jusqu'a exploser. La situation est grave, car le fléau se répand. Un film de science fiction, donc, qui bénéficiera d'un budget colossale pour l'époque, et qui permit de développer des effets spéciaux suffisamment efficace pour donner un temps soit peu d'envergure au film. Mais malheureusement, le champ narratif fut mal perçu à l'époque car étant trop "libre" visuellement avec certaines scènes, qui furent juger par certaines critiques comme étant presque du porno. Mais aujourd'hui, les mentalités ont évolué et finalement, "Lifeforce" a finit par trouver un second souffle. En France, le film avait plutôt bien marché, du fait que la promo avait été accentuée par la présence de la jeune actrice Mathilda May. Depuis, même si le film possède ses imperfections, il fut réhabilité comme faisant partie des films de SF de référence, et qui depuis plusieurs années, a suscité des envies de reboot.
Mais ce qui fut aussi une épine dans le pied de ce "Lifeforce", ce sont ses producteurs, Globus et Golan, les fameux pourfendeurs des box offices par le biais de leurs sociétés "Cannon", et qui commençait a titiller pas mal les majors du secteur de l'époque.

TRAILER

Directed byTobe Hooper
Produced by
Screenplay by
Based onThe Space Vampires
by Colin Wilson
Starring
Music by
CinematographyAlan Hume
Edited byJohn Grover
Production
company
Distributed byTriStar Pictures
Release date
  • June 21, 1985
Running time
116 minutes
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish
Budget$25 million
Box office$11.6 million (US)

MISE A JOUR

Depuis la création du blog, certains liens ont pu disparaître concernant les affiches ou les vidéos. Ou certains ajouts sur des anciennes publications. Voici donc quelques un des films du greniers récemment mis à jour.

STRANDED
FRANKENSTEIN UNBOUND 
THE MEN WHO STARE AT GOAT 
MUTANT CHRONICLES 
FORBIDEN WORLD
THE 25TH REICH

A CIVIL ACTION (1998)

Dans le grenier, des films qui tente la prise de conscience, en vain.

Nous sommes en 1998, et John Travolta est redevenu une star, depuis l'explosion de "Pulp Fiction". Tant il réussira a faire quelques succès commerciaux, tant il s'aventurera quand même dans des films un peu plus engagé. Et c'est le cas de ce "A Civile Action", qui traite d'une façon général, le traitement judiciaire du pot de terre contre le pot de fer, ou parfois, on peu quand même réussir a gagner. Ici, Travolta est Jan Schlichtmann , un grand avocat qui se tire une bonne réputation,  qui va accepter dans les années 80 de s'occuper d'une affaire qu'il aurait refusé par le passé, mais qui semble avoir pas seulement un intérêt financier, mais surtout, un challenge pour lui est son cabinet. Défendre des familles dont les enfants sont atteins de leucémie, et dont ils sont persuadé que ce sont les eaux contaminée. Mais croyant pouvoir clôturé cette affaire, Jan va se rendre compte que le dossier va forcément amené des complications, des risques, aussi bien pour son cabinet que pour lui même. Jan, qui était sûr de lui, se retrouve en réalité devant le fait accomplis que cette fois-ci il va devoir se battre non pas pour de l'argent, mais bel et bien pour une justice. Un film réalisé par Steven Zaillian dont c'était le deuxième long métrage, et qui offrait ici un film qui avait aussi le désir de dénoncer les travers d'un système judiciaire à l'américaine, ou le bon et le méchant n'existe pas, tant tout est question de négociations, de compromis, de business. Sauf quant un jour, un avocat se rend compte que son métier, ce n'est pas que gagner des affaires pour faire du pognon. Mais évidemment, un film dans ce genre, çà a du mal a attiré les foules, plus enclin a chercher aux USA, le "divertissement". Du coup, le film, pourtant d'une bonne réalisation, et munis d'un casting non négligeable, finira pas se casser la figure. Même les critiques qui jugèrent le film plutôt intéressant et frondeur, ne suffirent pas pour le promouvoir plus que çà. Le film sortira en France sous le titre de "Préjudice".

Directed bySteven Zaillian
Produced byScott Rudin
Steven Zaillian
David Wisnievitz
Robert Redford
Rachel Pfeffer
David McGiffert
Henry J. Golas
Written bySteven Zaillian
Based onA Civil Action
1995 book
by Jonathan Harr
Starring
Music byDanny Elfman
CinematographyConrad L. Hall
Edited byWayne Wahrman
Production
company
Distributed byBuena Vista Pictures
(North America)
Paramount Pictures
(International)
Release date
  • December 25, 1998
Running time
115 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$75 million
Box office$56 million

samedi 27 mai 2017

BRAINSTORM (1983)

Dans le grenier, des films qui n'eurent pas la reconnaissance mérité.

Nous sommes en 1983, et sortait alors un films particulier, qui n'eut les faveurs que d'un public averti. Film fantastique, qui nous contait l'histoire de scientifiques qui réussirent a mettre au point un système permettant d'enregistré et de transmettre la pensée. Une révolution qui va attiré les convoitises non seulement d'industriels mais aussi de l'armée, qui voit en ce système de quoi pouvoir lire dans les pensées de gens, ennemis de la nation. Mais l'une des scientifiques est prise d'une crise cardiaque, alors seule, chez elle. Mais avant de mourir, elle réussit a lancer l'enregistrement de son esprit. Mais alors que l'étau se resserre sur l'équipe qui est de plus en plus soumis a des restrictions, l'un d'entre eux, et amis de la défunte, comprend ce qu'elle a fait, et veut savoir. Mais les dirigeants de la compagnies considérant sans doute ses enregistrements comme "dangereux", décident de les saisir. Mais notre homme est déterminé a savoir. Savoir qu'est ce qu'il y a de l'autre coté...... Autant dire un film dont les thématiques sont assez large, offrant ainsi un film original, et intéressant. Même si malheureusement, ce film sera précédé par le drame de la disparition de l'actrice Nathalie Wood, qui endeuillera la promotion du film, qui finalement, sera un échec commercial, malgré la présence de Christopher Walken, alors à l'époque l'une des valeurs montantes du cinéma. Ce ne sera finalement que par la vidéo que le film finira par acquérir ses lettres de noblesse, jusqu'a malheureusement disparaître petit à petit de la mémoire collective. Film qui fut aussi le dernier de Douglas Trumbull en tant que réalisateur, alors l'un des grands noms des effets visuels de l'époque, qui travailla en partie sur des films tels que 2001 de Kubrick, Star Trek the Movie, Blade Runner, Rencontre du 3ème Type et dont le plus récent travail visuel auquel il a accepter de travaillé fut celui sur le film de Terrence Malik "Tree of Life". Autant dire que dans ce "Brainstorm", Trumbull s'est offert aussi une liberté d'interprétation et de développement artistique qui donna des effets visuels innovants pour l'époque, alors qu'on était encore qu'au premier balbutiement des effets visuels numériques. Son choix de ne plus jamais réalisé, sera dû aussi au fait de l'hégémonie des majors (en l'occurrence sur ce film ce fut la MGM et UA) a garder le "final cut" et de faire de l'ingérence dans la direction d'un film, ce qui fut une expérience très désagréable pour lui, alors que quelques années plus tôt, sur "Silent Running" il avait pu avoir plus de liberté.

TRAILER


Directed byDouglas Trumbull
Produced byDouglas Trumbull
Screenplay byPhilip Frank Messina
Robert Stitzel
Story byBruce Joel Rubin
Starring
Music byJames Horner
CinematographyRichard Yuricich
Edited byDennis Freeman
Edward Warschilka
Production
company
Distributed byMGM/UA Entertainment Company
Release date
September 30, 1983
Running time
106 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$18 million
Box office$10,219,460

ANAZAPTA (2002)

Dans le grenier, des films médiévaux mais qu'on a pas vu passé.

"Anazapta" est un film britannique de 2002, réalisé par Alberto Sciamma, qui fait parti de ces films dont le parcours a été assez hétéroclite. Déjà, quelques acteurs connus, dans une histoire se déroulant en 1348, en pleine guerre de cent ans, ou il est question de récupéré le maris d'une lady, prisonnier en France, mais dont les motivations de chevalier, semblent aller a l'encontre des désirs de la dame. Bref, un film qui jongle plus sur des conflits d'intérêts entre individus, plutôt que nous conté une histoire plus enclin au contexte proprement dit. Mais les choses vont se corsé quand le corps du défunt prisonnier de nos chevaliers, qui espéraient en faire l'échange pour les yeux de la belle, transporte avec lui, la peste. Autant dire que ce film s'essaye a différentes directions, mais dans une réalisation relativement déséquilibrée et presque fouillis. Plans récurants, angles de vu inutiles, effets de styles inappropriés, bref, le montage comme la mise en scène est à l'image d'un réalisateur qui semble ne pas être très ordonné. Du coup, ce film ne sera que très peu exploiter en salle, (en Allemagne et en Grande Bretagne essentiellement) avant de finir directement en vidéo. Même le marché américain dans lequel il sera rebaptisé "Black Plague", ce film passera totalement inaperçu. Pour l'anecdote, les tenants des droits, ont tenté de relancer une distribution vidéo en appliquant sur la jaquette une affiche qui n'est pas sans rappeler "Game of Throne" dans lequel l'actrice Lena Headey y a été révélé au grand public, alors qu'avant cela elle avait quand même été Sarah Connor dans la série télévisée "Terminator".
Directed byAlberto Sciamma
Produced byMichael Cowan
Screenplay byHarriet Sand
Alberto Sciamma
StarringJason Flemyng
Lena Headey
Christopher Fairbank
Ian McNeice
Jeff Nuttall
Music byDan Jones
CinematographyAlastair Meux
Edited byGeorge Akers
Production
company
Beyond Films
Enterprise Films
Great British Films
Spice Factory
Release date
  • 26 July 2002 (Germany)
Running time
105 min (DVD cut)
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish

mardi 23 mai 2017

JUDE (1996)

Dans le grenier, des films ou même les plus malchanceux ce disent qu'il y en a qui n'ont vraiment pas de bol.

En 1996, l'actrice Kate Winslet n'a pas eut que des succès, et non des moindres. Car si en 96 elle se fera connaître du monde entier grâce a "Titanic", ce "Jude", sorti la même année, n'aura pas eut autant de chance. Car question dramatique, ce film britannique se pose là. L'histoire d'un jeune homme de la campagne victorienne, mal mariés, qui rêve de rejoindre la ville pour y faire des études. Arrivant a ses fins en se faisant embauché en tant que maçon, il retrouve sa lointaine cousine avec qui le liens va finir par les rapprocher au point de vivre ensemble une passion. Une passion du fait qu'elle est érudite, instruite, et anti conformiste, ce qui charme au combien notre homme. Mais leur liaison ne sera pas convenable dans une moeurs britannique de fin de 19ème, et les problèmes ne vont pas arrêter de les accablés, de les blâmés. Bref une histoire loin d'être à l'eau de rose, qui n'attirera pas les foules et fera de ce film un oublié, même si la critique fut plus qu'élogieuse. Le réalisateur Michael Winterbottom a sur démontré sa maîtrise de la mise en scène et du montage pour nous embarqué dans cette tragédie passionnelle, mais insuffisant pour attiré le grand public. Du coup ce "Jude" tombera dans l'oublis.

Directed byMichael Winterbottom
Produced byAndrew Eaton
Screenplay byHossein Amini
Based onJude the Obscure
by Thomas Hardy
Starring
Music byAdrian Johnston
CinematographyEduardo Serra
Edited byTrevor Waite
Production
company
Distributed byGramercy Pictures
Release date
  • 4 October 1996 (UK)
Running time
123 min.
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish
Budget$7 million
Box office$409,144 

OMEGA MAN (1971)

Dans le grenier, des films en guise de remakes, d'adaptations ou de reboot.

Vous connaissez certainement le film avec Will Smith, "I'm a Legend". Film qui n'est autre qu'une adaptation du roman de Richard Matheson datant de 1954, et qui pourtant, avait déjà connu une première adaptation dans une production américano italienne en 1964, sous le titre de "The Last Man on Earth". Mais avec un petit budget, le résultat n'était pas vraiment à la hauteur, même avec comme acteur principal, Vincent Price. Le roman trouvera une nouvelle vision avec plus d'envergure en 1971, avec ce "Omega Man", réalisé par Boris Sagal, qui, sous production Warner, s'offre les services de la star hollywoodienne, j'ai nommé, Charlton Heston. L'histoire se résume a cet homme seul, dans un Los Angeles déserté, après qu'une pandémie est emporté la population mondiale, laissant uniquement quelques survivants ici et là. Robert Neville, lui, est le seul survivant à Los Angeles. Seul ? Pas vraiment car d'autres humains ont survécu au virus, non sans quelques effets indésirables qui les laisses sujets a une extrême sensibilité a la lumière du jour. Seul, mais avec un passé qui obsède Neville. Car en réalité, il fut un chercheur pour l'armée, qui alors que l'épidémie se rependait, avait trouver un remède. Mais lors d'un transport en hélicoptère, le pilote s'évanoui et c'est l'accident. Neville se rend compte que le pilote était contaminé, et lui aussi, alors à l'écart vient d'être contaminé a son tour. Il se sert alors sur sérum, qui finalement va le sauvé. Mais c'était la seul fiole. Et aujourd'hui, Neville tente de retrouver la formule en essayant de survivre, contre les hommes de la nuit, comme aussi de la folie. Jusqu'au jour ou.... Bien sûr, nous sommes dans une réalisation typiquement 70's, mais avec quand même une prouesse. Celle d'avoir pu tourné dans des rues de Los Angeles, très tôt les dimanche matin, afin de gêner le moins possible la circulation qui avait été bloqué pour les besoins du films. Donnant ainsi des plans impossible de nos jours, d'un Los Angeles désert. Mais autre particularité de ce film, c'est qu'il possède le premier baiser interraciale au cinéma. Autant dire que si "Omega Man" a disparu de la mémoire collective, il a été un peu remis en scelle par la sortie de la version de Francis Lawrence de 2007, mais sans marquer les esprits plus que cela. Un film a découvrir ou a redécouvrir le cas échéant, et qui fait partie de ma première vidéo des films du greniers sur les "survivants".

TRAILER
Directed byBoris Sagal
Produced byWalter Seltzer
Screenplay byJohn William Corrington
Joyce H. Corrington
Based onI Am Legend
by Richard Matheson
StarringCharlton Heston
Anthony Zerbe
Rosalind Cash
Music byRon Grainer
CinematographyRussell Metty
Edited byWilliam H. Ziegler
Production
company
Distributed byWarner Bros.
Release date
  • August 1, 1971
Running time
98 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$4,000,000 

A GOOD WIFE (2004)

Dans le grenier, des petits films indépendants, avec des futurs stars.

Nous sommes en 2004, et c'est sous la direction de Mike Barker que sortira ce "A Good Woman", tiré d'une pièce d'Oscar Wilde, "Lady Windermere's fan". L'histoire dans les années 30, d'un couple en Italie, qui tourne déjà pas très rond, et dans lequel va surgir la jeune et belle Mrs Erlynne, une femme fatale qui va soufflé sur son passage le chaud comme le froid, débarqué de son New York natale ou tous ses bijoux y sont passé pour s'offrir le voyage et la villa dans cette petite ville d'Italie. Si la réalisation est notable, le film ne fera pas grand bruit de part son histoire qui respire le déjà vu. Pourtant, s'était aussi l'occasion de voir la jeune valeur montante de l'époque, Scarlett Johansson, remarquée depuis 2003 dans "The Lost Translation" et "Girl with a pearl earring". Malheureusement, le film sera distribuer a très faible quantité dans les salles américaines et sera un échec commercial retentissant sur son exploitation internationale, due au fait d'une multitude de nationalités dans la production, que chacun a voulu promouvoir dans leurs pays respectif.
Directed byMike Barker
Produced byKim Barnes
Alan Greenspan
Steve Siebert
Jonathan English
Liam Badger
Mikael Borglund
Hilary Davis
Jimmy de Brabant
Michael Dounaev
John Evangelides
Duncan Hopper
Rupert Preston
Will Buck
Written byHoward Himelstein
Based on a play by Oscar Wilde
StarringHelen Hunt
Scarlett Johansson
Tom Wilkinson
Music byRichard G. Mitchell
CinematographyBen Seresin
Edited byNeil Farrell
Distributed byLions Gate Entertainment
Release date
  • 15 September 2004
Running time
93 minutes
CountryUnited States
United Kingdom
Italy
Spain
LanguageEnglish
Box office$6,877,842

Films du Grenier sur Youtube

Le pas est franchis, Les Films du Grenier ont désormais leur chaîne Youtube

Première vidéo : Films du grenier - S01e01 - Les Survivants

dimanche 21 mai 2017

THE UNNAMABLE (1988)

Dans le grenier, des films de "choses", cachée, et qu'évidemment des jeunes vont déranger.

Dix huitième siècle, une certaine Alyda Winthrop tuera son père qui voulait l'empêcher de s'enfuir de la maison. Pour cause, Alyda est un monstre, un démon. Mais avant de trépassé, Alyda se retrouve enfermé dans le cellier. Vingtième siècle, des jeunes décident de se rendre dans la maison en ayant entendu parler de cette légende urbaine, d'Alyda Winthrop. Forcément, ce genre de film, on en a déjà vu, revu et re revu. Même si ce "The Unnamable" datant de 1988, est une adaptation d'une nouvelle de Lovecrafts, on a souvent la déception de voir comment le cinéma indépendant peu avoir raté sa cible comme sa vocation a retranscrire une histoire qui sur le papier, tiens la route, mais à l'écran, semble bancale, voir carrément foireuse. Petit budget, "The Unnamable" réussira quand même une petite carrière sur le marché de la vidéo, engendrant même une suite en 1993, toujours sous la réalisation de Jean Paul Ouelette, qui entre autres avait déjà collaboré par le passé avec James Cameron sur son "Terminator" en 1984.
Directed byJean-Paul Ouellette
Produced byJean-Paul Ouellette
Dean Ramser
Written byJean-Paul Ouellette
Based on"The Unnamable"
by H. P. Lovecraft
Starring
Music byDavid Bergeaud
Distributed byVidmark Entertainment
Release date
June 1988
Running time
96 minutes
LanguageEnglish