Dans le grenier, des films en guise de remakes, d'adaptations ou de reboot.
Vous connaissez certainement le film avec Will Smith, "I'm a Legend". Film qui n'est autre qu'une adaptation du roman de Richard Matheson datant de 1954, et qui pourtant, avait déjà connu une première adaptation dans une production américano italienne en 1964, sous le titre de "The Last Man on Earth". Mais avec un petit budget, le résultat n'était pas vraiment à la hauteur, même avec comme acteur principal, Vincent Price. Le roman trouvera une nouvelle vision avec plus d'envergure en 1971, avec ce "Omega Man", réalisé par Boris Sagal, qui, sous production Warner, s'offre les services de la star hollywoodienne, j'ai nommé, Charlton Heston. L'histoire se résume a cet homme seul, dans un Los Angeles déserté, après qu'une pandémie est emporté la population mondiale, laissant uniquement quelques survivants ici et là. Robert Neville, lui, est le seul survivant à Los Angeles. Seul ? Pas vraiment car d'autres humains ont survécu au virus, non sans quelques effets indésirables qui les laisses sujets a une extrême sensibilité a la lumière du jour. Seul, mais avec un passé qui obsède Neville. Car en réalité, il fut un chercheur pour l'armée, qui alors que l'épidémie se rependait, avait trouver un remède. Mais lors d'un transport en hélicoptère, le pilote s'évanoui et c'est l'accident. Neville se rend compte que le pilote était contaminé, et lui aussi, alors à l'écart vient d'être contaminé a son tour. Il se sert alors sur sérum, qui finalement va le sauvé. Mais c'était la seul fiole. Et aujourd'hui, Neville tente de retrouver la formule en essayant de survivre, contre les hommes de la nuit, comme aussi de la folie. Jusqu'au jour ou.... Bien sûr, nous sommes dans une réalisation typiquement 70's, mais avec quand même une prouesse. Celle d'avoir pu tourné dans des rues de Los Angeles, très tôt les dimanche matin, afin de gêner le moins possible la circulation qui avait été bloqué pour les besoins du films. Donnant ainsi des plans impossible de nos jours, d'un Los Angeles désert. Mais autre particularité de ce film, c'est qu'il possède le premier baiser interraciale au cinéma. Autant dire que si "Omega Man" a disparu de la mémoire collective, il a été un peu remis en scelle par la sortie de la version de Francis Lawrence de 2007, mais sans marquer les esprits plus que cela. Un film a découvrir ou a redécouvrir le cas échéant, et qui fait partie de ma première vidéo des films du greniers sur les "survivants".
TRAILER
Directed by | Boris Sagal |
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Produced by | Walter Seltzer |
Screenplay by | John William Corrington Joyce H. Corrington |
Based on | I Am Legend by Richard Matheson |
Starring | Charlton Heston Anthony Zerbe Rosalind Cash |
Music by | Ron Grainer |
Cinematography | Russell Metty |
Edited by | William H. Ziegler |
Production
company | |
Distributed by | Warner Bros. |
Release date
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Running time
| 98 minutes |
Country | United States |
Language | English |
Box office | $4,000,000 |
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