Dans le grenier, des films qui avaient des ambitions, mais pas assez pour convaincre.
On devait s'y attendre un jour ou l'autre de voir le conte de fée et le drame arrivé sur grand écran. Grace Kelly, qui devint la princesse Grace de Monaco. Au générique, ni plus ni moins que Nicole Kidman dans le rôle, pour une production internationale arrosé par Canal+, Tf1, Weinstein Company, Gaumont, etc... bref, une coproduction à la fois française, américaine, italienne, belge et suisse. Autant dire on met les petits plats dans les grands et on allonge un budget de 30 millions de dollars pour nous raconté la période au début des années 60 ou le couple princier traverse une petite crise, quand Grace Kelly veut revenir à Hollywood pour tourné le film d'Hitchcok, "Marnie". Si la famille Grimaldi a supervisé et accordé le scripte, le film va avoir de gros problème a se vendre. Pourtant, la réalisation est à la hauteur, sous la coupe d'Olivier Dahan, mais le montage final va avoir quelques remontrance de la part des enfants du prince. Même si la promo du film tente a bien précisé que ce n'est pas une biopic précise, et qu'il s'agit plus d'une part de la vie de Grace Kelly et non un film sur sa vie, rien n'y fera. Le film va passé totalement inaperçu sur le marché américain, et va avoir beaucoup de mal a se démarqué sur le marché européen. En réalité, là ou les producteurs croyait touché un public par la "Grace", ils se sont rendu compte que la légende, le mythe, le conte de fée, ne suffisait pas a déplacé les foules. Bilan, film déficitaire, et sera même directement mis au calendrier de réseaux VOD avant même un passage en salle. La raison invoqué par la suite, sera qu'en réalité, la relation entre les producteurs européens et américain (plus particulièrement Weinstein", furent plus que houleuses. Dahan expliquant qu'il n'avait pas pu gardé son montage original, et que le film avait été remonté sous les exigences de la Weinstein. Pire, lors du festival de Cannes, lorsque toute l'équipe était là pour la promo, avec en plus des sorties européennes et américaines en simultané, les responsables de la Weinstein ont été aux abonnés absents, invoquant être sur d'autres affaires. Aux yeux de l'équipe, c'était plus une façon de dire que le film ne leurs plaisaient pas et que sa distribution aux USA allait être quasiment ruiné. Ceci dit, vu le contenu du film, on peu comprendre les producteurs américains que c'est le genre de film difficilement vendable sur le marché américain. Tant on est ici sur un film complaisant, bancale, dont même les enfants de la princesse avoueront plus tard, que c'est un ratage complet.
Directed by | Olivier Dahan |
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Produced by |
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Written by | Arash Amel |
Starring | |
Music by | Christopher Gunning |
Cinematography | Eric Gautier |
Edited by | Olivier Gajan |
Production
companies |
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Distributed by |
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Release date
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Running time
| 103 minutes[1] |
Country |
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Language |
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Budget | $30 million |
Box office | $26.6 million |
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