Dans le grenier, un film peu connu et qui pourtant, suscita bien des polémiques.
Polémiques pour une époque ou au USA, la condition des noirs américains était des plus contestable, dans certains états. D'ou, ce film au sujet délicat, puisque The World, The Flesh and the Devil, est un film traitant des relations entre trois personnages, rescapé d'une catastrophe qui semble avoir fait disparaître tous le monde. Henry Bellafonte, acteur noir américain, campe ici un travailleur de mine qui ce retrouve coincer durant 5 jours dans une galerie effondrée. Réussissant à rejoindre l'extérieur, alors qu'il n'avait pas réussit à établir quelque contact que ce soit, ce rend compte qu'il n'y a plus personne. Trouvant des journaux parlant d'attaque nucléaire, de poison, il se rendra à l'évidence que les radiations ne sont que très faible. Ne sachant pas trop quoi faire, il ce dirige alors vers New York, ou il va s'établir, avant de trouver une jeune femme, tout comme lui, complètement perdue dans un monde sans personne. Quelques semaines plus tard, c'est un homme à bord de son bateau qui accoste, complètement épuisé. C'est alors que les relations entre les trois survivants vont finir par ce compliquer, entre les deux hommes qui convoitent finalement la même femme, et la femme qui ne veux pas être l'instrument d'une querelle qui finira par ce régler par les armes. Datant de 1959, et réaliser par Ranald MacDougall, le film fut a double fond. D'abord la survivance qui met en opposition deux hommes face à leurs destins. Puis évidemment, le fait que nous somme a une époque ou la conditon noir américaine est encore délicate et très minoritaire dans le cinéma. D'ou cette polémique de voir l'un des survivants être un afro américain. Un pied de nez d'hollywood, pour un film qui pour son époque, surfait évidemment sur un climat de guerre froide. Mais ce fut aussi l'un des rares films qui réussit a se tourner en décor naturel, dans des rues de New York déserte, donnant des plans surréalistes, jamais égalé depuis. Puisque même Je Suis Une Légende avec eu recours a des effets digitaux. Le Monde, La Chair et le Diable est donc l'un des ces films rares, peu connu, si ce n'est des connaisseurs, et qui doit être vu pour tous ceux qui veulent parfaire leur culture cinématographique, surtout dans le domaine de la science fiction et du fantastique. Rappelons que le titre fait référence a un précepte biblique au sujet de la dualité et de la temptation.
Directed by | Ranald MacDougall |
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Produced by | Sol C. Siegel George Englund Harry Belafonte(uncredited) |
Written by | Ranald MacDougall |
Screenplay by | Ranald MacDougall |
Based on | novel The Purple Cloud byM. P. Shiel story End of the World by Ferdinand Reyher |
Starring | Harry Belafonte Inger Stevens Mel Ferrer |
Music by | Miklós Rózsa |
Cinematography | Harold J. Marzorati |
Edited by | Harold F. Kress |
Distributed by | Metro-Goldwyn-Mayer |
Release dates
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Running time
| 95 minutes |
Country | USA |
Language | English |
Budget | $1,659,000 |
Box office | $1,085,000 |
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