Dans le grenier des films qui voulaient profité d'une tendance.
On peu le dire, Indiana Jones aurat suscité des inspirations dans tous les cinémas. Des producteurs qui ont voulu avoir leurs propres "aventuriers" du machin chose, il y en a eut un paquet. Surtout chez les italiens dans les années 80, ou l'on a pas hésité a reprendre les ingrédients pour tenté de sortir des films d'aventures, d'aventuriers, d'avant tu riais moins quand tu commençais a regarder ce genre de film. Et tenez, en voici un exemple, avec "Raiders of the Golden Cobra". Clairement, ici, on n'hésite pas a jouer avec le "Raiders", les aventuriers, pour attiré le client qui inconsciemment fait évidemment le lien avec les "Aventuriers de l'Arche Perdue". Car nous sommes en 1982, soit plus d'un an après le succès du films de Steven Spielberg. A tels point que l'exploitation de ce film jonglera même sur son titre, en passant de "Raiders" à "Hunters", pour passer en dessous des radars de plagiats. L'histoire, deux aventuriers, durant la seconde guerre mondiale, coté pacifique. L'un agent britannique, l'autre, soldat américain, qui vont tenté de retrouver une relique, un cobra d'or, qui posséderait des pouvoirs. Poursuite, explosion, boum boum de partout, on a clairement parfois l'impression de copier coller, même si on voit très vite qu'on est pas dans la même catégorie de réalisateur et de moyens. Car cette production italienne (sous financée par des fonds américains), réalisée par Antonio Margheriti, reste évidemment dans la lignée de ces productions a destination d'un marché international, et donc entièrement tourner en anglais ou post synchroniser dans cette langue. Tous çà pour vendre le film pas seulement sur le marché de l'exploitation en salle, mais, et surtout sur le marché de la vidéo. Si bien que cette production se retrouvera dans des multitudes d'éditions dans des pays aussi divers et varié, le plus souvent sous titré. Une de ces reliques d'un âge d'or du cinéma de série B italien, dont on en verra également d'autres dans le grenier, tant elles ont quand même marqué une génération vidéo des années 80, qui a apprit a ses dépends, qu'on ne s'improvise pas "Spielberg" ou "Harrison Ford" qui veut.
Directed by | Antonio Margheriti |
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Written by | Tito Carpi Gianfranco Couyoumdjian |
Starring | David Warbeck Luciano Pigozzi |
Music by | Carlo Savina |
Release date
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Running time
| 92 minutes |
Country | Italy |
Language | Italian English |
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