Dans le grenier, des films qui croyait pouvoir faire un carton, mais qui firent des bides.
Quel sujet aussi accrocheur que de nous raconté l'histoire d'une succès story contestable. Car si ce "The Fonder", qui se traduira logiquement pas "Le Fondateur", accroche clairement son thème, il semble que cela n'aura pas suffit pour attiré la curiosité des foules. Car "The Founder" nous raconte l'histoire de Ray Kroc qui devînt riche en franchisant le concept des frères Mc Donald, et arrivant par les spolier de leur enseigne pour construire l'empire que l'on connait. Car si les Frère Mc Donald sont bien à l'origine du concept de restauration rapide, Kroc s'en servira pour développer le concept de franchise. Pourquoi s'emmerder a construire des restaurants et en géré difficilement la gestion, quant on peu simplement vendre une licence, fournir l'image, la logistique, et les principes, a des gens qui prendront en réalité tous les risques. C'est ce que Kroc va développer en achetant simplement les terrains, et trouver celui qui sera prêt a s'endetté pour construire son propre McDonald. Un concept pourtant qui fonctionnera du tonnerre, tant évidemment, à l'époque, le concept était nouveau. Mais les pauvre frère McDonald, eux, seront finalement spolier de l'enseigne, qui portait pourtant leur nom, et de toutes les idées et inventions, pour un gros chèque, et un contrat sur des dividendes qu'ils ne recevront en réalité jamais. Un film qui finalement n'a pas marché aux USA, tant évidemment tous le monde connait l'histoire. Mais surtout, met en évidence un visage de la société américaine, qui d'un coté, veut se la jouer prude, honnête, et intègre, mais qui en réalité n'a évidemment qu'une seule foi, qu'un seule dieu : le dollar. Et tous ce qui pousse parfois des gens a trahir leurs paroles, leurs engagements, pour plus de dollars, quitte, comme on le montre dans le film, a réduire la qualité des produits, pour plus de profit. Et évidemment, ce film est un reflet que les américains n'aiment pas voir. Du coup, échec commercial sur toute la ligne, car les objectifs ne seront pas du tous atteint. Le film sera même déficitaire, même si son démarrage avait bénéficié d'une concurrence moindre en matière de sorties. Car si le film sort aux USA en janvier 2017, il avait déjà fait son parcours international dés 2016, sans grand succès. L'espoir de faire un carton aux USA, c'est avéré un fiasco, tant aussi en parti au piratage, qui a permis au public américain intéressé, de le capturé sur le web. Un choix commercial et stratégique que la Weinstein a peut être sous estimé, tant aujourd'hui il est vrai que pas mal de producteurs américains préfèrent maintenant sortir au mieux, leurs films en Europe, avant les USA sur du moyen terme. Mais même aujourd'hui, le moyen terme peu nuire à l'exploitation d'un film si déjà son potentiel est sur estimé.
TRAILER
Directed by | John Lee Hancock |
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Produced by |
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Written by | Robert D. Siegel |
Starring | |
Music by | Carter Burwell |
Cinematography | John Schwartzman |
Edited by | Robert Frazen |
Production
companies |
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Distributed by | The Weinstein Company |
Release date
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Running time
| 115 minutes[1] |
Country | United States |
Language | English |
Budget | $25 million |
Box office | $22.1 million |
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