DRAGON BALL (1991)

Dans le grenier, il y a les version qu'on préfère oublier. 

Dragon Ball n'est plus a présenté comme l'un des classiques manga à rallonge. Dessin animé à la base, voilas qu'il est une évidence d'en faire une adaptation pour le ciné. Sauf qu'après une version coréenne, et avant la version américaine de 2009, c'est en 1991 que fut réaliser une version taiwanaise, par Joe Chan et Jun-Leung. Une version qui ne ce décourage pas dans la retranscription d'un univers assez particulier, sans non plus dépasser le jeux aussi surjouer de tradition. On est là dans du pur jus d'époque, çà décolle les yeux, et çà peu faire une bonne soirée hallu.... Du lourd, du très lourd. 

Directed by	Joe Chan Jun-Leung
Produced by	Jeremy Cheung Joe Chan
Written by	Screenplay: Jackie Lam Original Story: Akira Toriyama
Starring	Charles Chen Jeannie Hsieh Wong Chung-Yue Cheng Tung-Chuen Pang Sam Kam Tao Lee Yee-Kuen
Music by	Allan Ko
Cinematography	Sam Chan
Edited by	Grand Cheung
Distributed by	Filmswell International Limited
Release dates	1991[1] (Original Edition) 2007 (Ultimate Edition)
Running time	85 min (Original Edition) 100 min (Ultimate Edition)
Country	Taiwan
Language	Mandarin

MR WRONG (1997)

Dans le grenier, un film dont l'actrice a tôt fait d'avoir oublier. 

Ellen DeGeneres ne vous dit peut-être rien, mais l'ancien actrice de sitcom et de cinéma est aujourd'hui l'une des plus grosse star de la télévision américain avec un show quotidien adulé par les ménagères de plus de 30 ans. Mais avant de trouver son succès télévisuelle, elle fut actrice, et de ce fait, après plusieurs incursion dans des séries et téléfilm, avait accepter une comédie en 1997, réaliser par Nick Castle, au coté de Bill Pullman. Une comédie sur une jeune femme trentenaire, qui sous la pression de son entourage et de ses collègues, va tenter de continuer sa petite vie de célibataire, en attendant le bon numéro. Et voilas qu'arrive un beau jeune homme dans sa vie, qui semble être le bon, mais qu'en est il réellement ? Une comédie, donc, qui bien évidement n'eu pas les faveurs du public et fut un échec retentissant. A telle point que même encore aujourd'hui, Ellen en fait parfois des clins d'oeil satirique, comme pour exorcisé cette erreur de carrière cinématographique (d'autant plus que l'on connaissait déjà son orientation sexuelle à l'époque et de ce fait, çà dénotait avec sa réputation). Rare donc sera l'opportunité pour vous de le voir, même si vous ètes fan de la dame. 

Directed by	Nick Castle
Produced by	Marty Katz
Written by	Chris Matheson Kerry Ehrin Craig Munson
Starring	Ellen DeGeneres Bill Pullman Joan Cusack Dean Stockwell Joan Plowright
Music by	Craig Safan
Cinematography	John Schwartzman
Edited by	Patrick Kennedy
Production company	Touchstone Pictures
Distributed by	Buena Vista Pictures
Release dates	February 16, 1996
Country	United States
Language	English
Budget	$19 million
Box office	$12.3 million

UNE AFFAIRE D'ETAT (2009)

Dans le grenier, un film français comme on les aimes, mais pas trop. 

Réaliser en 2009 par Eric Valette, "Une Affaire d'Etat" nous plonge dans une enquête qui va mené la jeune inspectrice aux méthodes musclés, dans une affaire de moeurs qui va s'avérer avoir un lien étroit avec le crash d'un avion en nouvelle guinée, qui transportait un chargement d'armes compromettant pour certains haut responsables qui vont tous faire pour étouffer l'affaire. Un film qui n'est pas sans ramener à une actualité qui dure depuis un certain temps maintenant, en loccurence les affaires de rétro-commissions sur des ventes d'armes. Sujet au combien brûlant, comme parfois le cinéma français aime à s'attelé, sans non plus être soutenu outre mesure dans les réseaux de distribution. Car évidement le film ne sera que très peu distribuer lors de sa sortie en salle. Un film néanmoins classique, qui reste encore assez surjouer dans la mise en scène des personnages, oubliant quelque peu de prendre un pli plus réaliste. Un film à trouver et à voir le cas échéant.

• Réalisation : Éric Valette
• Scénario : Alexandre Charlot et Franck Magnier d'après le roman Nos fantastiques années fric de Dominique Manotti.
• Production : Éric Névé, Alexandra Swenden et Adrien Maigne
• Société de production : Les Chauves-Souris
• Sociétés de coproduction : Canal+, TPS Star et Studio 37
• Distribution : France : Mars Distribution
• Pays d'origine : France

CONAN (2011)

Dans le grenier, il y a des relances de franchises qui font "plouf". 

Conan le Barbare est un personnage que l'on ne présente plus, issue de l'univers des comics, dont la naissance remonte dans les années 30, par des nouvelles écrites par Robert E. Howard. La culture cinématographique retiendra surtout l'adaptation de Dino D Laurentis, avec un acteur peu connu à l'époque, un certain autrichien émigré aux USA, Arnold Schwarzzenneger. Sa plastique et sa tronche marqueront l'imagerie collective de ce personnage mythique de la culture de la bande dessiné. Mais après un deuxième opus sous un titre symboliquement commerciale, la franchise ne reviendra pas au cinéma, si ce n'est par des adaptations TV qui n'auront pas la même carrure que le film (pour la télé, il fut évident que la barbarie et la violence du personnage furent proscrites pour des raisons d'audience). Puis en 2001, un projet de remettre Conan sur les railles fut lancer. 9 ans de construction d'un projet, entre des scénarios variant, des choix d'acteurs délicat... bref, un projet de 90 millions de dollars qui verra finalement le jour en 2011 sous la direction de Marcus Nispel. Acteurs peu connu, remaniement du scénario, du visuel plus accentué, des combats plus orchestrés, qui donnèrent une nouvelle vision moderne du Symmérien. Une vision à laquelle le public connaisseur, comme non avertis, n'adhérera pas, aussi bien aux USA, qu'en France. Le film n'atteindra jamais ses objectifs, et arrivera difficilement a atteindre les 50 millions de dollars de recette. Sans doute parce que l'image de Conan reste dans le cinéma, indissociable de "gouvernator", et qu'il est excessivement difficile de remettre au gout du jour un film culte. Une leçon de plus qui ne suffira pas a d'autres productions de vouloir s'attaquer a des remakes de classique. A l'image des Griffes de la Nuit, dont le remake fut tout aussi un echec cuisant. Un film a voir, juste pour comparer sans s'attendre a un chef d'oeuvre parfois maladroit, et avec une surenchère d'action de façon trop survitaminé. Aurait certainement eu plus de chance sans porter le titre de Conan.

Directed by	Marcus Nispel
Produced by	Fredrik Malmberg Avi Lerner Boaz Davidson Joe Gatta George Furla John Baldecchi Les Weldon
Written by	Thomas Dean Donnelly Joshua Oppenheimer Sean Hood
Based on	Conan the Barbarian by Robert E. Howard
Starring	Jason Momoa Rachel Nichols Stephen Lang Rose McGowan Saïd Taghmaoui Leo Howard Bob Sapp Ron Perlman
Narrated by	Morgan Freeman[1]
Music by	Tyler Bates
Cinematography	Thomas Kloss
Edited by	Ken Blackwell
Production company	Nu Image Films Millennium Films Paradox Entertainment
Distributed by	Lionsgate
Release dates	August 11, 2011(Los Angeles premiere) August 19, 2011(United States)
Running time	113 minutes[2]
Country	United States
Language	English
Budget	$90 million
Box office	$48.8 million

FRANKENSTEIN UNBOUND (1990)

Dans le grenier, le dernier film en date de celui que seul des amateurs. 

Qui n'a jamais vu un film de Roger Corman ? Certainement vous, car si ce nom ne vous dit absolument rien, alors vous avez encore a parfaire votre culture cinématographique. Car ce réalisateur et producteur fut l'une des stars du cinéma indépendant des années 60 70 80. Notoirement pas du grand cinéma commercial, il fera quand même jouer un certains nombres d'acteurs connus, en pleine gloire ou à la carrière en berne. Jack Nicholson, William Shatner, Peter Fonda, Dennis Hopper, Talia Shire ou Robert De Niro, ont tous contribuer un jour ou l'autre à un des films de série B de ce monsieur, qui après 20 ans d'absence, revint à la réalisation avec ce Résurrection de Frankestein, ou Frankestein Unbound dans son titre original. Réaliser en 1990, le film conte l'histoire d'un scientifique, qui, en 2031, réussit une expérience sur une nouvelle arme, mais dont certains effets collatéraux, provoque une fissure temporelle. Mais lors d'un essai, il ce retrouve en 1817, en pleine Suisse, où il rencontre le Docteur Victor Frankenstein... Le film fut bien évidement non exploiter en france, dont les connaisseurs ce contentèrent souvent que de versions en vidéo. Et ce fut le cas de ce film, qui ne dépassera pas les frontières américaines. Il reste néanmoins le dernier film du réalisateur, qui ne s'est pas arrêter au niveau production, puisqu'encore aujourd'hui, un grand nombre de films portent son label, comme en 2010 avec un Dinoshark dans la plus pure tradition des série B made in USA.

Directed by	Roger Corman
Produced by	Jay Cassidy (assoc.) Roger Corman Kobi Jaeger Laura J. Medina (assoc.) Thom Mount
Written by	Brian Aldiss (novel) Roger Corman F.X. Feeney
Starring	John Hurt Raúl Juliá Nick Brimble Bridget Fonda Catherine Rabett Jason Patric Michael Hutchence
Narrated by	John Hurt
Music by	Carl Davis
Cinematography	Armando Nannuzzi Michael Scott
Edited by	Mary Bauer Jay Lash Cassidy
Production company	A Mount Company Production
Distributed by	20th Century Fox
Release dates	November 2, 1990
Running time	85 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$11.5 million
Box office	$334,748

FINAL SCORE (1987)

Dans le grenier, des films d'invasion de vidéo club.

Qui dans les années 80, ne s'est pas fait avoir par de la jaquette alléchante, pour au résultat un film digne de la série Z ? En tous cas, il ne fut pas rare de voir un grand nombre de film laisser croire qu'on était prêt a regarder un film américain, alors qu'en réalité, il s'agissait d'un film asiatique. Ce "Final Score" est à l'image de ces films bourrin, ou ça castagne toutes les 5 minutes, avec des acteurs qui sont tous, sauf acteur. Produit en Indonésie, ce film date de 1987, et nous conte la même histoire que le "Justicier de Minuit", a ceci prêt que çà se passe a Jakarta, et que le pauvre bonhomme n'est pas architecte mais vétéran du Vietnam. Avec en plus un acteur dont le nom forcément va pousser le curieux a dire "mais, est ce le fils de...", alors que non, pas du tous. Bref, du bon film du grenier, bien nanar, bien grave, qui, comme l'affiche le montre, était aussi le fond de commerce d'une certaine maison bien connu des français, René Chateau, dont la popularité n'est plus a faire tant cette maison de production et de diffusion vidéo a donné dans le bourrin (Rambo) le policier (les Belmondo et les Delon) comme dans les films fantastique et érotique de seconde zone.

DELPHINE 1 YVAN 0 (1996)

Dans le grenier, il y a les premières expériences de réalisateur. 

Ce fut le cas pour Dominique Farrugia, en 1996 qui après avoir vu ses comparses des Nuls ce reconvertirent dans le cinéma, décida qu'il serait mieux derrière que devant. Ce fut donc ce "Delphine 1 Yvan 0" qui fut sa première réalisation, difficile, car sera vite confronter à la critique jugeant le film facile et sans intérêt. Car l'histoire ce résume au parcours d'un jeune couple au fil des ans, de la vie en commun, à la séparation puis aux retrouvailles... mais le tous, parsemé de commentaires, comme dans un match de football, par Jean Michel Larqué et Thierry Roland, récemment disparue. Un film qui n'eut pas le succès escompté, même avec la notoriété du réalisateur en tant qu'ancien "Nuls". Ce qui n'a pas découragé Farrugia, qui réalisera d'autres longs métrages par la suite, sans prétention d'un succès commercial, entre autres activités de producteur pour la télévision et le cinéma, avant d'être un temps président de la chaîne Comédie.

MARGIN CALL (2012)

Dans le grenier, il y a les films qui sont passé par là et qui ne repasseront pas par ici. 

En mai 2012, est sortie sur les écrans, dans l'anonymat le plus totale "Margin Call", alors que le film était déjà sortie en salle US en octobre 2011, avec une critique assez positive, au vu du sujet. Réaliser par J.C. Chandor, ce film s'était muni d'un casting non négligeable en la présence de Kevin Spacey, Jeremy Irons, Mary McDowell, pour une histoire de traders, qui par une informations confidentiels, vont faire remonté la dangerosité de certains produits toxiques que la banque d'investissement c'est porté acquéreur pour un montant colossale. La nouvelle n'est pas encore sur le marché, que le responsable des traders de la banque, ce fera convaincre de sacrifié les bonus, pour vendre a tous prix ces produits toxiques, avant que cela ne fasse une traînée de poudre, que Wall Street n'hésiterait pas à allumé. Un film qui s'inspire plus ou moins de ce qui ce passa cet automne 2008, quant la bulle spéculative a finit par exploser à cause de produits toxiques qu'un certains nombres de sociétés financières avaient émises sur le marché. Un film qui traite donc, de ce que l'impitoyable univers des affaires financières a engendré dans ses dernières années, menant finalement le monde de la finance dans un tourment sans pareil. Une fiction, certes, mais qui vient évidement pointer du doigt les responsabilités de certaines élites financières qui ont pour ainsi dire "péter plus haut que leurs culs" et qui ont mis un sacré foutoir. Bien évidement, contrairement au marché américain, le film ne fut quasiment pas soumis à une promotion digne de ce nom, même s'il s'agit là d'un film indépendant. Donc, à l'occasion, lors de sa sortie en DVD, pourquoi pas ! ! ! 

Directed by	J. C. Chandor
Produced by	Joe Jenckes Robert Ogden Barnum Corey Moosa Michael Benaroya Neal Dodson Zachary Quinto Rose Ganguzza
Written by	J. C. Chandor
Starring	Kevin Spacey Paul Bettany Jeremy Irons Zachary Quinto Penn Badgley Simon Baker Mary McDonnell Demi Moore Stanley Tucci
Music by	Nathan Larson
Cinematography	Frank DeMarco
Edited by	Pete Beaudreau
Production company	Before the Door Pictures Washington Square Films Untitled Entertainment Sakonnet Capital Partners
Distributed by	Lionsgate Roadside Attractions Benaroya Pictures
Release dates	January 25, 2011(Sundance Film Festival) October 21, 2011(United States)
Running time	109 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$3.5 million
Box office	$19.5 million

CAPITALISM : A LOVE STORY (2008)

Dans le grenier, les films qui dérangent. 

On connait Michael Moore, pour avoir un peu bousculer les américains avertis, avec son Fahrenheit911. Plus récemment son Sicko en 2007, n'avait pas eu autant de succès que son prédécesseur. Et comme la crise était là, il fallait bien que Michael Moore s'y atèle, même si le sujet avait déjà été abordé dans the Big One. Réaliser en 2009, le film passa complètement inaperçu en France, de part les rares copies qui circulèrent dans les cinémas. Ce qui fut tout aussi le cas aux USA, ou malgré un passage au festival de Venise, le film ne fut diffuser que dans un nombre de salles limités. Et malgré un accueil positif du public (car Michael Moore est parfois controversé dans la présentation de certains faits) le film ne suscitera pas plus d’engouement, alors que Moore, s'attaque fondamentalement aux responsabilités des élites financières, et de groupes industrielles et commerciaux, qui font tous pour profiter de la crise pour précariser encore plus le marché du travail. Un film à voir, pour un point de vue parmi tant d'autres sur cette crise qui durent maintenant depuis 2008

Directed by	Michael Moore
Produced by	Anne Moore Michael Moore
Written by	Michael Moore
Music by	Jeff Gibbs
Cinematography	Daniel Marracino Jayme Roy
Edited by	Jessica Brunetto Alex Meiller Tanya Meiller Conor O'Neill Pablo Proenza T. Woody Richman John Walter
Production company	The Weinstein Company Dog Eat Dog Films
Distributed by	Overture Films (US) Paramount Vantage(international)
Release dates	September 6, 2009 (VIFF) October 2, 2009(United States)
Running time	127 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$20 million
Box office	$17,436,509

PARADOX (2010)

Dans le grenier, les films qu'on osaient à une époque, et qu'on continue a oser. 

Paradoxe Les Mondes Parallèles est un film canadien, datant de 2010, réaliser par Brenton Spencer, et qui ne dépassera pas les frontières canadiennes, si ce n'est en DVD. Car a défaut de s'être vendu pour les salles, le projet atterrira finalement sur le bureau de producteur télé. On y retrouve un habitué du petit écran avec Kevin Sorbo, ex Hercule de la série télé. L'histoire d'un policier qui vit dans un monde parallèle ou la magie est d'usage, et qui va être confronté a des séries de meurtres, engendré par la science, l'obligeant a enquêter à la fois dans notre monde, pour finalement ce rendre compte d'un complot qui menace les deux mondes. Une histoire somme toute assez tiré par les cheveux, qui rend encore plus délicat la mise en scène dans des moyens modérés, et dans une montage digne d'un film des années 80, ou de ces téléfilms bien fait vite fait pour la télévision. Mais le pire sera sans doute, si vous avez l'occasion de voir ce film, de ce faire la version française, avec un doublage des plus médiocres. Donc, si vous tombez sur un film portant ce titre, essayez plutot la version originale....  histoire de limiter la torture.

Directed by	Brenton Spencer
Starring	Kevin Sorbo Steph Song Christopher Judge
Country of origin	Canada
Original language(s)	English

L'AMOUR BRAQUE (1984)

Dans le grenier, des films de rencontre, et c'est tous. 

1984, le réalisateur Andrzej Żuławski offre a Sophie Marceau un rôle totalement a contre courant de ces précédents films. Entre la fresque Fort Saganne, les Boums et Joyeuse Paque, L'amour Braque sera l'incursion de la jeune actrice dans le monde particulier de ce réalisateur. Accompagné de Francis Huster et Tcheky Karyo, nous voici embarqué dans l'histoire de Leon, tous fraîchement sortie de l’hôpital psychiatrique, et qui rencontre Mickey, un truand un peu excessif, affublé d'une jeune femme tout aussi bizarre, qui s’avérera être la compagne de Mickey, dans un but bien précis. Une histoire de vengeance sur fond de jeux pousser à l'extrême, nous mettant presque au bord d'un drame à la Bergman, sous prosax ou temesta. Un film qui dévergondera sans nul doute la jeune Marceau, à un autre cinéma, disons, d'auteur, qui finira pas la séduire, après avoir été séduit par le réalisateur de ce film (qu'elle rencontrera en 81 alors qu'elle n'avait que 15 ans), qui sera finalement son compagnon durant 17 ans. Un film qui résume a lui seul un certain cinéma, pas seulement français, ou finalement, c'est le réalisateur qui s'éclate. Un film qui doit sans doute ce trouver dans une édition râre, voir quasiment introuvable.

Directed by	Andrzej Zulawski
Produced by	Antoine Gannagé Alain Sarde
Written by	Etienne Roda-Gil Andrzej Zulawski Fyodor Dostoevsky (The Idiot)
Starring	Sophie Marceau Francis Huster Tchéky Karyo
Music by	Stanislas Syrewicz
Cinematography	Jean-François Robin
Edited by	Marie-Sophie Dubus
Distributed by	AMLF (France)
Release dates	27 February 1985 (France)
Running time	101 minutes
Country	France
Language	French

LE DERNIER SAMOURAÏ (2003)

Dans le grenier, il y a des machines a frics qu'on a vite oublié. 

Souvenez vous de ce "Dernier Samouraï", avec un Tom Cruise aussi crédible que ridicule. Ça n'empêchera pas le film réaliser par Edward Zwick et sortie en 2003, de faire un bon score, paradoxalement mieux au Japon qu'aux USA. Pourtant, le fond historique fut quelque peu altérer pour satisfaire à l'audience américaine, en l’occurrence, en mettant en évidence l'aide des USA à la modernisation du Japon, alors qu'au 19ème siècle, il s'agissait plus des Anglais, Hollandais et Français qui étaient plus présent dans ces contrées. Mais ce détail à été omnis. L'histoire donc d'un soldat américain, envoyer au Japon pour aidé l'empereur a la modernisation militaire de son armée, mais qui va tombé dans un piège par faiblesse, mettant en cause les derniers dissidents samourais, considérer comme archaïques, et trop féodaux pour l'époque que ce veux à la modernité. L'attaque organisé pour capturé les samouraïs,  est un fiasco, et notre soldat est fait prisonnier. Mais peu à peu, il se prendra d'amitié et de respect pour ces hommes d'honneurs, et finira petit à petit, par rallier leur cause jusqu'à la bataille finale. Un film a grand spectacle, certes, mais comme souvent, dénote de sa "libre" adaptation pour le marché américain, oblitérant un contexte historique. Cela n'empêchera pas le film d'engendrer des recettes non négligeables, certainement sur le nom même de Cruise, mais mettra une confusion trop importante au yeux des puristes, qui trouvent que le film n'est que fausseté a tenté de transposer une partie de l'histoire d'un pays qui s'était retrouvé dans une sclérose systèmique, ayant eut pour conséquence de faire prendre du retard au pays, surtout dans les échanges commerciaux et l'ère industriel de l'époque. Puis évidemment, Tom Cruise commençait déjà à être décrié pour son appartenance a la Scientologie, et a quelques interviews limites "surréalistes"qui ont commencer a entamer sa notoriété. Du coup, le film est tombé dans l'oublis et n'aura pas marqué les esprits outre mesure.

Directed by	Edward Zwick
Produced by	Marshall Herskovitz Edward Zwick Tom Cruise Paula Wagner Scott Kroopf Tom Engelman
Screenplay by	John Logan Edward Zwick Marshall Herskovitz
Story by	John Logan
Starring	Tom Cruise Timothy Spall Ken Watanabe Billy Connolly Tony Goldwyn Hiroyuki Sanada Koyuki
Music by	Hans Zimmer
Cinematography	John Toll
Edited by	Steven Rosenblum Victor Dubois
Production companies	Radar Pictures The Bedford Falls Company Cruise/Wagner Productions
Distributed by	Warner Bros. Pictures
Release dates	December 5, 2003
Running time	154 minutes
Country	United States
Language	English Japanese
Budget	$140 million[1]
Box office	$456.8 million

STARSHIP TROOPERS 2 (2004)

Dans le grenier, il y a ce qui aurait pu être une suite, mais honte à vous... ! 

Fort du succès de l'oeuvre de Verhoeven en 1997, c'est Phil Tippett qui ce collera à la réalisation de cet herzat de suite pas franchement officielle, dans la mesure ou vu la teneur du film, il ne dépassera pas les frontières américaines et atterrira directement en vidéo. Une tâche pour Phil Tippet de mettre en image ce deuxième opus datant de 2004, alors que le monsieur est plus connu pour ses réalisations en matière de maquillage et d'effets spéciaux. Mais depuis quelques temps, les grands noms des effets spéciaux se sont aussi mit a faire de la réalisation, comme Tom Savinni, qui nous avait offert son remake de la Nuit des Mort Vivant, plutot bien réussit. Mais vu un budget réduit, et un scénario peu attractif, le film ne verra pas Casper Van Dien reprendre son rôle, refusant cette suite sans intérêt (ce qui ne l'empêchera pas d'accepter de revenir dans son rôle après quelques échec professionnels dans un quatrième film). L'histoire d'une unité qui ce retrouve coincer dans un des derniers bastions d'une planète infesté des arachnides qui ne feront pas de quartier. Un film sans doute à éviter, si vous voulez conserver une bonne approche de l'original.

TRAILER

Directed by	Phil Tippett
Produced by	Jon Davison Glenn S. Gainor Edward Neumeier Phil Tippett
Written by	Edward Neumeier
Starring	Richard Burgi Lawrence Monoson Colleen Porch
Music by	John Morgan William Stromberg
Cinematography	Christian Sebaldt
Edited by	Louise Rubacky
Production company	TriStar Pictures
Distributed by	TriStar Pictures
Release dates	June 1, 2004
Running time	99 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$7,000,000