Les films disparus, oubliés, improbables, ou qui ont eut des parcours éclairs, comme des reconnaissances tardives.
Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.
Dans le grenier, des films curieux mais plutôt bien foutu.
Ce fut le cas de ce K-Pax, réaliser en 2001 par Iain Softley, ou l'on retrouve Jeff Bridges en psychiatre devant un Kevin Spacey en Monsieur Prott. Monsieur Prott étant, à ce qu'il prétend, une entité venu d'une autre planète, K-Pax, échoué par hasard sur Terre. Croyant avoir à faire à un schyzophrène de la plus pure espèce, notre psychiatre va alors appliquer le protocole habituel a ce genre de cas. Sauf que ce protocole est sans effet sur notre Monsieur Prott, et pire.... ses analyses révèlent qu'il ne ce trompe jamais, est reste parfaitement cohérent dans ses raisonnements, et ne semble pas avoir de réaction outre mesure aux traitements médicamenteux. Ce qui va bien évidement attiré l'attention du psychiatre, qui va immédiatement s'occuper de son cas. Un film d'acteur, ou la composition reste impressionnante de la part de cet acteur, Kevin Spacey, qui aurait pu en son temps être un formidable Hannibal Lecter. Un film à voir, sans prétention aucune, qui passa inaperçue lors de sa sortie en salle, d'autant plus qu'il était sous le coup au USA, d'une affaire de plagiat, sur un autre film argentin, Man Facing Southeast, également inspiré par la nouvelle de Gene Brewer, co scénariste de son propre roman sur la version américaine.
Dans le grenier, des tentatives d'adaptations de comics.
Nous sommes en 1991, et face à l'élan susciter par le Batman de Tim Burton, certaines productions ce lancèrent dans des adaptations d'autres héros de bande dessinées. Et c'est naturellement que Disney proposa l'adaptation d'un personnage de BD, issue des univers très années 30, le Rocketeer. Personnage sans pouvoir particulier, si ce n'est d'être un pilote, qui va endosser un costume munit d'un propulseur, pour jouer les justiciers. L'histoire de ce film réaliser par Joe Johnston, nous conte l'aventure de Cliff Secord, qui va découvrir par hasard une sorte de rocket dorsale qui avait caché là par un homme traqué à la fois par le FBI, et des agents Nazis, alors que l'Allemagne était déjà une menace tant sur le plan idéologique de technologique. Cliff va donc devenir par hasard, le Rocketeer, héros sauvant ceux en difficulté, non sans attiré la curiosité et la convoitise de ceux qui à l'origine, voulait en faire un outil de guerre. Un scénario quelque peu simpliste, avec une réalisation typiquement dans la ligné de la firme, qui ne donnera finalement rien de très exceptionnel au film, si ce n'est un divertissement familiale apprécier, surtout grâce a des effets spéciaux signé ILM, firme de George Lucas, et rentrant parfaitement dans un concepts dont Disney avouera être plus ciblé pour un jeune public. Par ce film, Disney espérait plutôt développer une franchise pour s'assurer un concept commerciale viable, et qui plus est, durable. Sauf que le film, malgré un succès notable, ne fit pas un gros carton à l'étranger, subissant le revers de médaille d'une popularité du personnage peu développer outre atlantique, si ce n'est auprès des amateurs des comics américains. Finalement la franchise restera dans les tiroirs, jusqu'à présent, ou il est question de faire un reboot de ce film, histoire de peut-être le dépoussiérer et relancer la franchise. Il n'en reste pas moins un film divertissant, sans grand moment de cinéma, mais qui, de part sa réalisation, était presque considérer comme un terrain d'entrainement, sur les délicates expériences d'adaptation de comics au cinéma, ou un certain nombre de personnage, comme "le Tigre du Bengale" ou " The Shadow", ou encore "Dick Tracy", c'étaient finalement cassé les dents. Et le fait de la présence de Timothy Dalton au casting, était presque anecdotique, puisque étant devenu le nouveau James Bond, il était peu probable qu'il puisse faire partie de la distribution. Mais les déboires juridiques de la franchise 007, le rendit définitivement disponible, du fait qu'il ne camperait plus l'espion britannique, la franchise étant bloquée. Et finalement ce film tombera un peu dans l'oublie, tout en étant assez difficile à trouver en DVD, après une unique édition collector datant de l'époque du laserdisc.
Dans le grenier, des films qui était destiner a marché, mais qui furent la goutte d'eau qui a fait débordé le vase.
Rappelons nous de cette époque, ou généralement, Disney offrait a son public, LE Disney familiale de fin d'année. Sauf que cette tradition commença a ce perdre quelque peu, lorsque la concurrence a commencer a gratter un peu de part de marché sur l'unique production familiale de fin d'année qu'était en général le film Disney. Et même si le film reste dans une animation classique 2D, avec quelques additif 3D (images digitales) il arrivera difficilement à rivaliser avec les productions Pixar, qui mèneront Disney dans une nouvelle ère numérique. Voulant tenté le traditionnel, alors que Pixar restait quelque peu indépendant en tant que production, faisant jalousé les producteurs de chez Disney, ce "Treasure Planet", "La Planète au Trésor", ne restera pas dans les mémoires. Même si le film reste estampillé Disney Production, et fit des résultats honorables en cette année 2002, il était clair que Pixar était devenu leader, avec précédemment son "Monster et Cie", avant d'offrir l'année suivante un "Nemo" qui relégua Disney en tant que distributeur, ni plus ni moins. Ce "Planète au Trésor", qui reprend librement le célèbre roman, emmène notre héros Jim Hawkins, à la recherche d'un trésor de pirates, affrontant dans la galaxie, un grands nombres de dangers, pour finalement ce rendre compte que le danger le plus important, vient d'un de ceux qui ce prétendait son ami. Un film qui fut un échec commercial retentissant pour ce qui se voulait être le Disney de fin d'année. Pixar s'imposant désormais comme remplaçant, Disney changera radicalement sa politique dés le moment ou il finira par racheter Pixar, qui voulait de l'indépendance, mais qui, de par sa valeur, n'avait pas trouver preneur suffisamment solide financièrement. Du coup, Disney offrit à Pixar un échange de bon procéder, estampillant en tant que coproducteur et distributeur les films Pixar, tout en se lançant dans son département animation digital, pour tenter d'offrir aussi ses propres films aux catalogues des distributeurs. D'autres films d'animation classique seront encore réalisé mais essentiellement pour le marché de la vidéo, laissant la place à Pixar, en complément de ce que Disney allait par la suite produire, c'est à dire des films plus large en cible, comme les Pirates des Caraibes et autre adaptations fantastiques de surcroit, pour tenter de faire concurrence a Warner qui explosait les box offices avec sa franchise Harry Potter. Quant a ce Planère au Trésor, le film est tombé dans l'oublis, comme son prédécesseur "Atlantis", étant le dernier grand film Disney en animation traditionnel (en dehors des autres franchises comme Winnie l'Ourson ou les suites des classiques Disney, que la firme de Mickey mirent sur le marché de la vidéo)
Dans le grenier, il y a des films qui ont fait parler d'eux mais qui ont vacillé entre petit et grand écran.
Nous sommes en 2008, et paradoxalement a ce que certains pourrait croire, ce "Journée de la Jupe", fut un film polémique. Non pas par la prestation de la grande star des années 80, Isabelle Adjani, qui tente là un retour sur le devant de la scène cinématographique, après deux autres films qui furent plus discrets (ayant arrêter le cinéma après l'échec de "Diabolique" en 1995, avant de finalement revenir dans "Adolphe" en 2002), mais plutôt pour le sujet. Réaliser par Jean-Paul Lilienfeld, le film relate l'histoire d'une professeur de français qui, dans un collège difficile dit "de banlieue", tente de répéter une pièce de théâtre avec ses élèves, jusqu'au moment ou elle tombe sur un arme à feu dans l'un des sacs de ses élèves. Dans la confusion entre l'élève et la professeur, le coup part, et blesse à la jambe un des élèves. Confusion qui prendra vite la voix d'une prise d'otage malgré elle, faisant de cette situation l'occasion de faire sauter la soupape de sécurité, et d'imposer à ses élèves les valeurs qu'elle tentent depuis des années d'enseigner a des élèves souvent indisciplinés et perturbateurs. Mais a t-elle encore sa raisons ou finalement rentrera t-elle dans une contradiction par rapport a ce qu'elle tente d'enseigner, sur la tolérance et l'égalité (plus particulièrement face aux comportements misogynes de certains) le fait est que la direction comme la police, à l'extérieur de l'établissement, ne savent pas trop comment prendre la situation sans dérapage conséquents, aussi bien pour les médias que pour les politiques. Un sujet donc qui n'est pas sans réveiller encore cette angoisse dés qu'on aborde le sujet des établissements que l'ont dit souvent "sensibles", tant par leurs situations géographiques, que par ce qui s'y passe. D'autant plus que ce film était prévue pour une pré diffusion à la télévision (sur Arte, commanditaire du film) avant une sortie en salle. Sauf que le calendrier n'avait pas prévue qu'un autre film allait également occupé les salles a ce moment là, et non des moindres, puisqu'il s'agissait "d'Entre les Murs", qui était également sur fond de collège difficile, et propulser par le festival de Cannes. Le film sera finalement annulé pour les salles, et ce n'est qu'après une première diffusion avec un score assez inhabituel pour la chaîne culturelle, qu'il fut finalement diffuser en salles quelques semaines plus tard, sur une cinquantaine de copie uniquement. Ce fut également un film qui allait sur le sillon de certaines revendications dans l'éducation national sur des problèmes liés à la perception des femmes ou de la féminité dans les écoles, ou il fut établie que ce mêlait des confusions d'ordre puritaines ou religieuses chez un certains nombres d'élèves qui n'arrivaient plus a faire la différence entre tradition et laïcité. Influencés par des moeurs d'ordres religieuses, traditionnelles ou de milieux délinquants, la problématique du respect de la femme et non du professeur était souvent source d'un certains nombres de problèmes actuels. Autrement dit, un film qui allait en opposition sur certains points face à son concurrent primé, et soulevait encore une fois de plus la problématique d'une politique de prévention qui n'avait pas relever outre mesure le fond même du problème. Un film polémique, donc, que chacun jugea ou jugera dans son contenu, tout en pardonnant un jeu approximatif de l'actrice, qui ne manqua pas pour l'occasion de faire un parallèle entre la dite "jupe" à d'autres polémiques de la société française concernant le voile islamique.
Dans le grenier, des grosses machines de guerre rapidement oubliés.
The Island, datant de 2005, devait être la première réalisation de monsieur "çà bouge tous le temps et çà explose de partout", comprenez Michael Bay, sans son acolyte Jerry Bruckheimer. Une production qui fera un succès honorable malgré des critiques en pagaille. L'histoire ce résume a un couple de jeune gens qui, dans un gigantesque complexe, sont les sujets survivants d'une catastrophe humaine sur la Terre, et qui, comme certains de leurs amis, sont soumis a des règles strictes pour pouvoir un jours contribuer a repeuplé la Terre. Sauf qu'un imprévus va mener notre héros a découvrir d'une part, qu'ils ne sont peut-être pas là ou l'on veux leur faire croire, et que sa soif de liberté va l'amener a découvrir qu'à l'extérieur, c'est peut-être meilleur que le monde enfermé et idyllique d'un système aseptisé et hautement réglementé. Mais au fil de leurs progressions dans le monde réel, ils vont, lui et son amie, découvrir une effroyable vérité sur leurs existences. Si vous n'avez pas vu le film, dommage pour vous, va falloir vous arrêter de lire. Car le thème du film est que nos héros ne sont en fait que des clones, condamner a être en réalité de la pièce détachée pour leur propriétaire. Bien évidement, un tels thème sous les doigts de Michael Bay, à tôt vite fait de soulever non seulement de la critiques, mais également de fouiller si le réalisateur n'aurait pas piller quelques idées à droite et à gauche. Cela commencera avec un probable plagiat d'un film de 1979, "Parts: The Clonus Horror", ou sur des copies du roman Spares de Michael Marshall Smith. Et puis bien évidement, la réalisation que l'on reconnais très vite comme étant bien une patte signé "Bay", qui dans son style aborde la déshumanisation de l'entreprise pour faire du profit sur la création et le sacrifice de la vie, au profit (thème déjà plus ou moins abordé dans Soleil Vert) d'une élite qui voit en ces clones d'eux même, une façon d'avoir des organes de substitution. Mais la confusion du scénario laissant place à l'action, fit perdre finalement l'attrait du sujet, au profit d'un film d'anticipation à gros budget, comme Bay sait en manié les commandes. Le film fut finalement assez bien perçus par le public, non sans justement être dérouté par le manque de contenue sur le fond du film. On en retiendra un épisode de plus sur le clonage, non sans que certaines scènes de poursuites (assez spectaculaires comme d'habitude chez Bay), ne soient finalement recyclé dans le troisième volet des Transformers (si si, il à osé), et faire oublier le coté un peu neuneu de nos deux personnages dont le QI est volontairement maintenue au niveau de celui d'un adolescent, n'offrant là une composition peu enjouer pour deux acteurs qui auraient sans nul doute, mérité mieux, pour leurs talents respectifs.
Dans le grenier, des films qui ont le mérite de plaire une critique, mais qui restèrent dans l'ombre. Sortie en 2012, ce film réaliser par Cédric Jimenez, relate de par son titre, "Aux Yeux de tous", une problématique de la surveillance vidéo. L'histoire d'un hacker informatique, qui, par son accès a toutes les caméras de surveillance, téléphones, ordinateurs, enregistre un attentat dans la gare d'Austerlitz. Décortiquant les images, il fait sa propre enquête et finit par démonter un complot dont les médias ne reflètent nullement la teneur. Etant le seul a détenir les images compromettantes de l'attentat, il va petit à petit jouer avec les nerfs des protagonistes de l'histoire qui ne ce doutent même pas du pouvoir absolue sur l'image du jeune pirate. Un film romancé et bien tenu dans son principe, essentiellement composer des images du jeune pirate, mettant le spectateur au niveau de ce hacker dans son investigation. Bien évidement le film reste une fiction, car un tels pouvoir d'accès aux images reste néanmoins complexe techniquement parlant, même si théoriquement cela ne reste pas impossible. Une fiction qui sur fond de complot, mérite le détour, pour un petit film d'un million d'euro, mais qui n'aura finalement pas eu une couverture suffisante pour seulement un peu plus de 55 000 entrées.
Dans le grenier, des films qui avait de l'ambition, mais qui firent "plouf".
Nous sommes en 1981, et dans les studios britanniques de Pinewood, ce termine le tournage du nouveau film de Peter Hyams, "Outland". Un polar sur fond de science fiction, ou un Marshall d'une station minière paumé sur la lune Io, va devoir enquêter sur une série de morts suspectes, a cause d'une drogue en circulation dans la station. Sauf qu'il va petit à petit toucher les intérêts qui vont menacer sa propre sécurité. Seul contre tous, il va ce retrouver a lutter pour la vérité, et sa survie. Un film de science fiction, britannique de surcroît qui n'eut pas un grand succès lors de sa sortie en salle, même si techniquement, le film bénéficiera de certaines techniques innovantes, déjà usé sur les Star Wars. C'était donc le premier film européen à utiliser une méthode qui permettait d'élargir les plans et donner plus d'envergure au film, si l'on excepte 2001. Mais malgré la présence de Sean Connery au générique, cela ne suffira pas pour attiré les foules dans les salles, trop influencer par le Space Opéra que pour des films comme Outlands, Solaris, ou encore Blade Runner, qui furent réhabilité des années plus tard pour leurs qualités filmiques. Un film qui bénéficiera également d'une bande son non négligeable, car composer par Jerry Goldsmith, avec qui Peter Hyams avait déjà travailler sur Capricorn One en 78. Puis finalement Outland fut considérer comme une sorte de Western Opera, qui fut ensuite intégrer dans la liste des meilleurs films SF du cinéma. A voir à l'occasion si vous ne l'avez jamais vu.
Dans le grenier, il y a la suite de ce film qu'on se souvient avoir vu mais dont le nom vous échappes !
Nous sommes en 2005, et sort sur les écrans ce qui devait être dans la ligné de ce que le premier film avait étonné, sans même qu'une suite soit envisageable. "Get Shorty" avait vu apparaître un personnage du nom de Chili Palmer, a qui John Travolta avait donné ses traits avec une certaine facilité. Succès timide en salle mais bon bouche à oreille en vidéo, pour une comédie bousculante de caricature du monde d'Hollywood. Chili Palmer, truand issue de la mafia, qui n'en est pas moins raffiné, avait réussit a ce ranger en tant que producteur de cinéma. Mais cette fois-ci c'est l'industrie de la musique qui lui fait du pied, non sans quelques démêlés avec la mafia russe. Que cela ne tienne, Chili a su ce débarrasser de ses ennemis italiens, il viendra bien à bout des ruskofs. Changement d'univers, mais on garde quelques personnages du cru d'origine. Et exit le réalisateur Barry Sonnenfeld, qui fut remplacer par F Gary GRAY, un inconnu qui avait pourtant réaliser le "Negociateur". Mais malheureusement pour ce "Be Cool", il ne fera pas recette, perdant de sa fraîcheur comparativement à l'original, malgré un soin d'une bande sonore assez fournie. Le film rentrera néanmoins dans ses frais avec l’international, mais enterrera définitivement le personnage de Travolta qui abandonnera tout espoir de franchise. Un film à voir à l'occasion si vous avez aimé le premier, et qui plus est, y trouver une pleiade d'acteurs qui ont depuis, fait du chemin.
On le sait, Paris reste pour le public anglo saxon une ville dite "romantique". Combien sont ils ces films a nous balancer des couples d'amoureux sur les quais de Paris ou sur la butte Montmartre avec la petite mélodie à l'accordéon en fond sonore. French Kiss, sortis en 1995 ne pousse peut-être pas le trait jusque là, mais quant on confis le rôle a Kevin Kline pour incarner un français qui va débaucher le coeur du personnage de Meg Ryan, venu à Paris pour essayer de récupérer son fiancé, ayant également craquer pour une française lors d'un voyage d'affaire. Bref, un scénario qui en dit long sur un film qui finalement n'aura eu l'interet que de croiser des acteurs américains, anglais, et français (François de Cluzet, Jean Reno), pour un film qui devait voir un Gérard Depardieu dans le rôle titre. Remarqué, je pense que Meg Ryan y a gagner au change, sauf que le film amorcera sont petit 100 millions de dollars de recette, comme qui dirait "à l'arrache".
Dans le grenier, des films de héros, qui ne sont pas estampillé "Hollywood".
Black Lightning est un film de 2009, réaliser par Alexandr Voitinsky et Dmitry Kiseliov, et produit par un certain Timur Bekmambetov, qui aura ouvert la porte d'un cinéma russe sur la scène internationale plus dynamique. L'histoire de Dimitri, qui est un jeune étudiant issue d'une famille modeste et qui va ce voir offrir une vieille voiture, que son père a acheté a des ouvriers. Amoureux d'une jeune camarade, il tente de trouver un peu d'argent en faisant des livraisons de fleurs. Mais après la mort de son père dans un incident de rue, il va découvrir que sa voiture est assez particulière, de par le fait que ceux qui l'ont vendu a son père, l'ont retrouvé dans un ancien complexe abandonné, ne sachant pas que celle-ci possède un moteur révolutionnaire doté d'un système énergétique puissant, permettant à la voiture de voler. Il va alors petit à petit ce servir de cette voiture pour jouer les super héros, non sans avoir a ses trousses les hommes d'un riche industriel qui cherche également cette voiture pour y extraire la source d'énergie nécessaire pour son projet de mine de diamant sous la ville de Moscou. Un film qui s'inspire bien évidement des comics américains, dont on retrouvera quelques références à Batman et Spiderman. Un film qui eut le mérite d'être une bonne vitrine d'un cinéma commercial tout à fait exportable à l'international, à l'image d'un certains nombres de films du marché de la vidéo, souvent envahis par des productions américaines. Sauf que le film ne trouvera que très peu de distributeur pour l'exportation à l'étranger, et fera un passage coup de vent dans les salles américaine, avant de se contenter du marché vidéo. On y retrouve également un certains nombres d'acteurs des films Nightwatchs et Daywatchs, la série de films fantastique de Bekmambetov qui lui permis d'aller à Hollywood pour une certain "Wanted" avant de réaliser et produire un certains nombres de films pour les firmes américaines, en mettant en avant ses camarades du pays. Et c'est normalement en 2016 que devrait atterir sur nos écrans sa version de Ben Hur, sous la houlette de Keith R Clark et Ridley Scott.