Dans le grenier, des films qui font "tilt" mais qui ne donneront pas le jackpot.
Réalisé par et sur une idée de Valérie Guignabodet en 2002, Monique fut une comédie dans laquelle on retrouve Albert Dupontel, face à une poupée. Alex, en pleine crise de la quarantaine, et un peu en froid avec sa compagne, ce retrouve après une erreur de commande sur internet, avec une poupée de femme, une réplique parfaite de silicone, tous droit sortie des fantasme du pays du soleil levant, ou ce genre de poupée sont apparue depuis plusieurs années. Très vite, c'est la curiosité qui remplace le dédain et notre quadra va succomber a cette créature de rêve qui a cet avantage de ne pas ce plaindre, d'être toujours disponible, et avec qui Alex va développer petit à petit une relation ambiguë, dont ses amis et sa compagne ne comprendront pas l'attrait de ce genre de chose si inavouable. C'est bien évidemment un film qui remet sur le plateau le concept de la femme objet, qui n'a bien évidemment pas échapper aux féministes, mais fait aussi l'objet de cette problématique relationnelle qu'il peut y avoir dans ce monde moderne ou la femme devient de moins en moins accessible, et ou l'homme, dans son côté un peu dominateur, trouve parfois des substitues que la femme affirmé et indépendante n'admet pas dans l'usage. Parfois un peu cliché, le film peut aussi choqué, malgré un ton léger qui n'en néglige pas le coté humain plutôt que le côté plus primitif dans le sujet. Un film qui bien évidemment, n'a pas été particulièrement supporter par la critique, et fut un échec. Même avec une prestation juste de Dupontel, sans trop excéder dans la caricature. Un film à voir à l'occasion.
| Réalisation | Valérie Guignabodet |
|---|---|
| Scénario | Valérie Guignabodet |
| Acteurs principaux | |
| Pays d’origine |  France |
| Genre | Comédie dramatique |
| Durée | 92 minutes |
| Sortie | 2002 |
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