Dans le grenier, des films qui étrangement, ont trouvé le succès la ou on ne l'attendait pas.
Nous connaissons maintenant les frasques de Sasha Baron Cohen, sujet britannique qui a fait ses armes dans le stand up et créer pour son show TV un certains nombres de personnages, dont ce fameux Borat, journaliste du Kazakhstan. Et c'est après avoir expérimenté l'un de ses personnages au cinéma, avec Ali G, que Sasha Baron Cohen poussera le vice a transposer Borat, dans un long métrage mêlant scènes tournées et scènes en caméra cachée avec de vrais américains non acteurs. Réaliser par Larry Charles en 2006, "Borat Leçons Culturelles Sur L'Amérique au Profit Glorieuse de Kazakhstan" fut d'un irrévérencieux et d'un provocation tels que le "politiquement correcte" américain en prenait un coup sérieux. Transposant un personnage issue d'une autre culture, caricaturé à l'extrême, et envoyer en Amérique, il va tenter de comprendre comment vivent les américains, non sans quelques mésaventures parfois réelles lors du tournage. Ce journaliste fictif, créer de toute pièce par l'acteur, avait été affecté à une nation très peu connu du monde en général, et souvent affublé de cliché bien éloignés de la réalité. Tellement éloigné de la réalité, que le président Nursultan, interdira le film au Kazakhstan, jugeant ce dernier peu flatteur pour l'image de son pays. Le paradoxe voudra qu'en France, le film ne fut pas un grand succès, du fait que l'acteur et comique Sasha Baron Cohen n'était pas connu du grand public. Contrairement aux USA, ou beaucoup d'émissions britanniques sont diffuser, donnant ainsi une certaine notoriété au comédien. Mais la ou le film n'était pas seulement une comédie, mais aussi une démonstration de choc culturelle (non sans égratigné aussi le renfermement et le cloisonnement de la société américaine) , il fut étonnant de voir le film devenir culte, tant les américains ont aussi parfois le sens de leur propre dérision, alors que le film n'est parfois pas tendre à écorné les préjugés et clichés dans la société américaine. L'histoire ne dit pas si tous les américains ont perçu le film au premier degré en oblitérant le second degré, mais le pari était gagné pour l'humoriste. En France, le personnage aura par la suite acquis une certaine reconnaissance, surtout sur le marché vidéo. Mais ce qui fit défaut en France, c'est justement le trait trop caricaturé du personnage, qui ne passa pas auprès du grand public, et encore moins auprès de certaines critiques, qui jugèrent le personnage trop caricatural, donnant une fausse image d'un pays qui n'en est plus à l'époque féodale. Cela ne retire en rien qu'il s'agit d'une comédie satirique, avec un fond qui expose justement la vision, le jugement et le préjugé des américains, face aux nations du monde, parfois faussement caricaturés, à l'image justement de ce Borat, journaliste Kazakh sortis du trou du cul du monde. Le film finira par tiré son épingle du jeu, de par le "buzz" que feront certaines polémiques, grossissant les recettes de la production, et garantissant ainsi une porte ouverte à Cohen sur le marché américain dans lequel ses prochains films feront tout autant a pousser toujours plus loin la corde sensible du puratisme anglosaxon.
Directed by | Larry Charles |
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Produced by | |
Screenplay by |
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Story by |
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Based on | Borat Sagdiyev by Sacha Baron Cohen |
Starring | Sacha Baron Cohen |
Music by | Erran Baron Cohen |
Cinematography |
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Edited by |
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Production
companies |
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Distributed by | 20th Century Fox |
Release dates
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Running time
| 84 minutes[1] |
Country |
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Language |
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Budget | $18 million |
Box office | $261.6 million |
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