Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

dimanche 26 février 2017

DAMNATION ALLEY (1977)

Dans le grenier, des classiques d'une époque, mais oubliés par la suite.


Prenez une petite star comme George Peppard, qui sera beaucoup plus célèbre quelques années plus tard pour son rôle d'Hannibal dans "A-Team", la série télé traduite en France par "l'Agence tous Risque". Mettez le avec un petit jeune qui lui aussi va finir par se faire connaître dans une série télé, "Airwolf", traduit en France par "Supercopter". Et vous avez les deux acteurs principaux de ce film post apocalyptique, "Damnation Alley", datant de 1977, exploité en France sous le titre de "Les Survivants de la fin du Monde". Réalisé par Jack Smight, l'histoire nous faisait suivre un duo de militaire, dans une base de lancement de missile, qui a peine ont ils pris leurs tours de service, qu'une flotte de missiles se dirige droit sur les USA. La guerre nucléaire est déclarée, et comme ils ont été entraîné à cette situation, ils exécutent le lancement de leurs séries de missile. Comme tous le personnel de cette base souterraine, chacun sait qu'ils ont perdu une femme, un fils, une famille, des amis, car la plupart des grandes villes ont été touchée. Restant cloîtré, notre équipe seront les rares, durant deux ans,  avec un autre sergent, a sortir dehors, loin d'un personnel de plus en plus à cran. Mais un accident fait exploser la base. Major Denton devient alors le plus haut gradé, et décide de partir, avec deux véhicules qui sont des véhicules tout terrain expérimentaux, que Denton a bichonné tout ce temps. Embarquant les derniers survivants, il décide d'aller dans l'état de New York, là où apparemment, il y a un signal radio qui émet encore. Un périple qui ne sera pas sans danger car les radiations, on amener des modifications sur la faune, assez impressionnant. Un fil finalement notable pour l'époque, surtout avec un véhicule qui avait été conçu spécialement pour le film et qui fut tout autant la vedette que les acteurs, dont parmi eux, la française Dominique Sanda qui comme certains acteurs français s'essayait au cinéma américain. Mais le film va être un gouffre financier. Pas seulement pour son véhicule, mais aussi parce que les producteurs voulurent exploité le film avec un format sonore un peu spéciale, l'ancêtre du "surround". Ce qui fit grimper un peu plus le budget, alors que bon nombre de cinéma a cet époque, n'étaient pas équipés. Tant aussi le scénario fut assez brocardé pour ses incohérences, et une direction d'acteurs plus que mitigé. Du coup, le film sera un échec commercial qui ne fera même pas la moitié de son budget initial, en recette. Même sa distribution en vidéo dans différents formats ne suffira pas. Damnation Alley reste néanmoins un classique du genre post apocalyptique, malgré ses lacunes.

VO 

VF
Directed byJack Smight
Produced by
  • Jerome M. Zeitman
  • Paul Maslansky
Screenplay by
Based onDamnation Alley
by Roger Zelazny
Starring
Music byJerry Goldsmith
CinematographyHarry Stradling, Jr.
Edited byFrank J. Urioste
Distributed by20th Century Fox
Release date
  • October 21, 1977
Running time
91 minutes[1]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$8 million[2]
Box office$4 million (US/Canada)

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