Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

vendredi 26 juin 2015

CREDIT POUR TOUS (2011)


Dans le grenier, des films, petits, mais de cinéma. 


On ne présente plus le personnage Jean Pierre Mocky, fervent défenseur à sa façon d'un cinéma d'auteur, quitte a faire des films sans le sou. Réalisateur atypique, qui n'en fait pas moins des films avec et pour des acteurs, sur des sujets à la fois farfelus, que très proche de l'actualité. Une source d'inspiration pour ce réalisateur, qui nous donne ici, un "Crédit pour Tous", datant de 2011, et qui nous fait suivre le parcours d'un homme endetter jusqu'au coup, qui va tenter de s'en sortir en inventant une forme de crédit "autrement", qui va finalement avoir beaucoup de succès, et attirer l'attention du gouvernement. Bien évidement nous sommes toujours dans un monde surréaliste, et des personnages parfois caricaturaux, mais qui font tous l'univers de Mocky. Pour preuve, beaucoup d'acteurs souhaitent pouvoir tourner un jour avec Mocky, moyennant une contribution des plus symbolique, car n'ayant généralement pas de gros budget, et faisant preuve de débrouillardise pour boucler ses tournages rapidement. Des fidèles comme Rufus, Pinon, Bernier, et la dernière recrue, Arielle Dombasle, font partie de cette critique acide du système et de la société de consommation, qui pousse malheureusement des gens dans le surendettement au point que cela en devient complètement ahurissant (comprenez des remboursements de dette que des gens ne pourront jamais rembourser de toutes leurs vies). Qui n'a pas vu un film de Mocky dans sa vie de cinéphile n'est pas un vrai cinéphile et de ce fait, même si beaucoup de ses films ont finit dans le grenier, il n'en reste pas moins l'un des derniers résistants d'un cinéma libéré, en liberté, et sans tabou pour aborder des sujets de fonds sur le ton de la comédie comme aussi parfois, du drame. 


RéalisationJean-Pierre Mocky
ScénarioPatrick Rambaud et Jean-Pierre Mocky
Sociétés de productionMocky Delicious Products
Pays d’origineDrapeau de la France France
GenreComédie
Durée90 minutes
Sortie2011

VENDREDI 13 (2009)

Dans le grenier, des films remake reboot et compagnie. 


Tous les classiques du fantastique et de l'horreur y passeront. Remake d'Amytiville, Massacre a la Tronçonneuse, La colline a des Yeux, Nuit des Mort Vivant, Halloween, il n'en fallait pas moins pour que Vendredi 13 passe également à la moulinette. Si ce n'est que la franchise aura été usé jusqu'à la corde, car on ne dénombre pas moins de 20 films qui s'étalent depuis le premier Vendredi 13 de 1980. Jason Voorhees sera passer par toutes les morts possibles et inimaginables, pour finalement toujours revenir, jusqu'en 2002 avec un Jason X dans l'espace... le ridicule ne tue plus. Mais c'est finalement le réalisateur Marcus Nispel, qui va ce coller au "reboot" (on prend les mêmes et on recommence), éprouver à l'exercice pour avoir déjà rebooter Massacre à la Tronçonneuse avant d'être de nouveau reprit par Rob Zombie. Reboot donc, ou l'on repart pour un tour au camp de vacance de Crystal Lake, ou le petit Jason, diforme et avec une mère un peu atteinte, fera l'objet de brimade de ses camarades, pour finalement ce noyer. 30 ans plus tard, sur deux vagues de jeunes, Jason va sévir....
Il est clair que l'histoire originale avait peut-être besoin d'être dépoussiéré. Espérons seulement que cela ne donnera pas naissance a une suite interminable de film, comme ce fut le cas depuis 1980, faisant de la franchise l'une des plus longues de l'histoire du cinéma, avec James Bond. Le fait est qu'évidement, lors de la sortie du film en 2009, seul les curieux ou les connaisseurs eurent a ce satisfaire de la comparaison, du fait d'une mise en scène et d'une réalisation plus actuelles. Le succès commercial sera au rendez vous sans non plus attisé les foule, vu que les recettes seront en partie tiré sur l'ensemble de l'exploitation internationale, étonnement, tant on a pas de surprise de revoir Jason dans ses premières amours....

Directed byMarcus Nispel
Produced by
Screenplay by
  • Damian Shannon
  • Mark Swift
Story by
  • Damian Shannon
  • Mark Swift
  • Mark Wheaton
Based onCharacters
by Victor Miller
StarringJared Padalecki
Danielle Panabaker
Aaron Yoo
Amanda Righetti
Travis Van Winkle
Derek Mears
Music bySteve Jablonsky
CinematographyDaniel Pearl
Edited byKen Blackwell
Production
company
Distributed by
Release dates
  • February 13, 2009
Running time
97 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$19 million
Box office$91.4 million



NOUVELLE FRANCE (2004)

Dans le grenier, des films qui ce voulait "épopée" mais qui finirent ignoré. 

Nous sommes en 2004, et sort sur les écrans, une coproduction franco anglo canadienne, réaliser par Jean Beaudin, "Nouvelle France", qui ce voulait de transposer l'idylle d'un jeune trapeur et d'une jeune paysanne en plein trouble entre Français et Britannique en plein 18ème siècle. Nous somme évidement au Canada, à l'heure ou la France va peu à peu perdre de son territoire face à l'invasion anglaise. Une histoire dont certains prétendent qu'elle s'inspire de l'histoire de La Corriveau, jeune femme condamnée et pendue dans une cage au yeux de tous, pour avoir tuer son époux. Ici le film tente plutôt de la jouer genre "Les Chouants" ou un jeune couple tente de simplement vivre leur passion, non sans être obliger d'affronter les épreuves, souvent issue des haines séculaires entre Anglais et Français. Un film qui sortira en fin d'année, sans pouvoir attiré outre mesure le public, même avec un Gérard Depardieu, une Irene Jacob, ou Tim Roth au générique. Car on se demande si ce film n'a pas tenter de nous ramener a une époque dont on ne connais pas grand chose finalement, excepter le fait que l'histoire reste assez classique dans une transposition d'une période de trouble, ou les intérêts de la France furent finalement mis a mal.

Directed byJean Beaudin
Produced byRichard Goudreau
Robert Sidaway
Written byPierre Billon
StarringNoémie Godin-Vigneau
David La Haye
Juliette Gosselin
Music byPatrick Doyle
CinematographyLouis de Ernsted
Edited byJean-François Bergeron
Yves Langlois
Release dates
November 19, 2004
Running time
143 mins
CountryCanada
United Kingdom
France
LanguageFrench
English
BudgetCDN$33 millioneqe
Box office$2,057,293

JACKBOOTS ON WHITEHALL (2010)

Dans le grenier, des films que l'on qualifie de "peu mieux faire". 

Et l'expression est juste, car pour ce film, le pastiche, l'humour, le satirique est à la sauce anglaise. Mais une sauce qui est loin d'être à la hauteur visuellement parlant. Petit budget, certes, mais malgré des maquettes assez réalistes, les personnages, eux, sont d'une simplicité absolue. De simples poupées, aux yeux parfois vulgairement animées et aux lèvres en faisant le stricte minimum, il est vraiment dommage qu'un soucis plus attentif n'ai pas été investis dans ce film, qui reste une bonne et ridicule histoire, qui tente de nous amuser dans un "et si les anglais avait perdue la bataille d’Angleterre et que les allemands avaient débarqué, occupant Londres". Bref, une histoire qui n'est qu'un prétexte pour un délire filmique, que bien évidement certaines critiques jugèrent comme inutile, quand d'autre y trouvaient un concept original pour un délire purement british. Tellement british dans le "lourds" que le film ne fut quasiment pas exporter en France, et on peu le comprendre. Si bien que cette production britannique, réaliser par Edward et Rory McHenry en 2010, Jackboots on Whitehall, restera un produit atypique du cinéma britannique, qui c'est voulu reprendre les bonne vieille recette de la marionnette en pastiche, mais dont la sauce n'a pas franchement prise.

Directed byThe McHenry Brothers
Produced by
Written byThe McHenry Brothers
Story byThe McHenry Brothers
Starring
Music byGuy Michelmore
CinematographyMichael Connor
Edited byChris Blunden
Production
company
  • Vertigo Films
  • Matador Pictures
  • Entertainment Motion Pictures (E-MOTION)
  • McHenry Pictures
Distributed byVertigo Films
The Weinstein Company
Dimension Films
Media 8 Entertainment
Release dates
  • 20 June 2010 (EIFF)
  • 8 October 2010(United Kingdom)
Running time
91 minutes[1]
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish
Budget$6 million
Box office$20,776

MR NICE (2010)

Dans le grenier, des films sur des histoires vraies. 

Film indépendant britannique, Mr Nice est la seconde adaptation inspiré de l'histoire de Howard Marks, figure emblématique du trafique de cannabis dans les années 70 et 80. Une adaptation réaliser par Bernard Rose, et sortie en 2010, le film fut plutot bien accueilli en Angleterre, mais prit une grosse gamelle aux USA, et pour cause, car il s'agissait comme en général, d'une histoire sur un personnage européen, et pas du tous connu du public américain. On peu même dire que le public français ne connaissaient pas ce personnage haut en couleur, qui après avoir rejoint son amis à Oxford, va petit à petit plonger dans le trafique gentillet de cannabis, pour finalement grossir non seulement sa clientèle, mais également ses quantités auprès de ses fournisseurs. Et cela avec des complicités qui lui permettront de devenir un véritable baron, sans jamais avoir usé de violence, ni de totalitarisme, contrairement a d'autres réseaux plus mafieux dans les méthodes. Un film qui finalement ce laisse regarder, avec ce petit coté léger, permettant de montrer à la fois le coté sympathique d'une personnalité qui n'a jamais voulu user de violence, tout en restant aussi complexe dans ses contradictions, qui finiront par le perdre. 


Directed byBernard Rose
Produced byLuc Roeg
Screenplay byBernard Rose
Based onMr Nice
by Howard Marks
Starring
Music byPhilip Glass
CinematographyBernard Rose
Edited by
  • Teresa Font
  • Bernard Rose
Production
company
Independent Film Productions
Kanzaman
Distributed byContender Entertainment (UK)
MPI Media Group (US)
Release dates
  • 14 March 2010 (SXSW)
  • 8 October 2010 (UK & IRL)
  • 3 June 2011 (US)
Running time
121 minutes
Country
  • United Kingdom
  • Spain
LanguageEnglish
Box office£528,534

LA MACHINE A DEMONTER LE TEMPS (2010)


Dans le grenier, des comédies qui surfent sur le nostalgique. 


"Hot Tub Time Machine", titré en France par "La Machine a Démonter le Temps", est une comédie de 2010, réaliser par Steve Pink, et qui nous relate la mésaventure d'une bande de quadragénaires, qui décide de fêter leurs amitiés en revenant dans la ville montagneuse de leurs enfances, et surtout, de leurs adolescences. Mais ils vont découvrir que le jacuzzi, qui semblait avoir eut un problème électrique, les a en fait, propulser dans le passé, dans les années 80. Etant en apparence, comme les adolescents qu'ils étaient à l'époque, ils ont la possibilité de changer les choses, là ou leurs vies ont été des échecs. Le mariage pour l'un, le divorce de l'autre, refaire la même vie ou tous changer..... Excepter pour l'un d'entre eux, qui, de par son jeune âge, n'était pas encore né a cette époque, mais semble ce douter que c'est justement a cette période qu'il pourrait avoir été conçu. Un moyen finalement de savoir qui est son père biologique. Une comédie sympathique, qui exploite là l'évident paradoxe de ces personnages si différents mais qui vont mettre à l'épreuve pas seulement leurs propres erreurs et défaut, mais et surtout leurs amitiés. Même si le film exploite mal les effets comiques pour de l'humour raz les paquerettes, le film se laisse regarder. Mais sa promotion en France aura été assez insignifiante, qui provoquera son parcours éphémère. Mais c'est finalement la vidéo qui va permettre la popularité de ce film, qui en 2014 en verra une suite sortir cette fois-ci avec une couverture promo plus adapter. Mais ce film original fut à l'époque totalement ignoré et oublié des rayons.


Directed bySteve Pink
Produced byJohn Cusack
Grace Loh
John Morris
Matt Moore
Screenplay byJosh Heald
Sean Anders
John Morris
Story byJosh Heald
StarringJohn Cusack
Rob Corddry
Craig Robinson
Clark Duke
Crispin Glover
Lizzy Caplan
Chevy Chase
Music byChristophe Beck
CinematographyJack N. Green
Edited byGeorge Folsey, Jr.
James Thomas
Production
company
Distributed byMetro-Goldwyn-Mayer
United Artists
Release dates
  • March 26, 2010(United States)
Running time
99 minutes[1]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$36 million
Box office$64.6 million

BAD LIEUTENANT (1993)

Dans le grenier, des films culte, pour avertis. 

Peu de gens connaissent Abel Ferrara, le réalisateur star des réseaux indépendants, et du cinéma d'auteur made in US. En 1993, il offre à l'acteur Harvey Keitel l'un de ses plus beau rôle avec Bad Lieutenant, qui fera rentré l'acteur comme une valeur sûr, et surtout une gueule, un charisme. Bad Lieutenant, c'est l'histoire d'un flic, pas forcément pourrie de nature, mais qui à force de côtoyer la mort, la violence, la barbarie, va petit à petit tiré profit, et sans scrupules, de petits larcins, tombant dans les paris, l'alcool, jusqu’à devenir un flic ripoux et dépravé. Mais jusqu’où cette descente aux enfer va t-elle le mené, dans les bas fonds de New York. Un rôle de composition, brillant, dérangeant, allant provoquer le spectateur dans ce qu'un homme censé représenter l'ordre et la sécurité, en devient presque plus démoniaque que le petit délinquant à la petite semaine. Un film percutant, qui bien évidement, comme en général les films de Ferrara, restera très peu distribuer et exploiter en France, comme aux USA, souvent affublé d'un PG qui réduit encore plus l'exploitation à l'échelle nationale. Si vous n'avez jamais vu du Ferrara, il s'agit là d'un film plus authentique de ce que fit le réalisateur, à défaut d'autres films peut-être plus commerciaux.


Directed byAbel Ferrara
Produced byEdward R. Pressman
Written byZoë Lund
Paul Calderon
Abel Ferrara
StarringHarvey Keitel
Music byJoe Delia
CinematographyKen Kelsch
Edited byAnthony Redman
Distributed byAries Films
Release dates
  • November 20, 1992
Running time
96 minutes[1]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Spanish
Budget$1 million
Box office$2,019,469

LES LIGNES DE WELLINGTON (2012)

Dans le grenier, des fresques mais pas forcément pour tous. 

En novembre 2012, avez vous vu, "Les Lignes de Wellington ? Bien évidement, ceux qui sont avertis de l'actualité cinématographique vont dire "oui, bien sur". Pour les nantis, ce film est une coproduction franco portugaise, réaliser par Valeria Sarmiento, projet du réalisateur chilien Raoul Ruiz sur les motivations du producteur Paulo Branco, qui ne vit malheureusement pas le jour du vivant du réalisateur, celui-ci décédant quelques années plus tôt. Un projet ambitieux, de mettre à l'écran une sorte de fresque, situé durant les guerres napoléoniennes, lors de l'invasion de 1809 du nord du Portugal pour renverser la monarchie portugaise et mettre totalement en place le blocus continental contre le Royaume-Uni. C'est à travers le plan de Wellington, de retranché ses forces derrière une ligne imprenable, que nous suivront plusieurs personnages, plusieurs destins, éprouver, déchirer, disloquer, par la violence de ces guerres, et plus particulièrement durant cette campagne ou les adversaire pratiquèrent la stratégie de la terre brûler. Une fresque réussit, essentiellement tourner en milieu naturel dans des villes au patrimoine encore conservé, comme décors inépuisables. Une distribution qui fait évidement la part belle à une certains nombres d'acteurs portugais, mais également internationaux, comme John Malkovitch ou des acteurs français qui étaient déjà prévu dans le projet original. Une délicate opération pour la réalisatrice, qui ce vit confier un héritage au quel elle réussira à convaincre, à la fois à la Mostra de Venise, qu'auprès de la critique. Mais bien sur, ce film ne fera pas énormément d'entrées, due au fait d'un film plus "académique" qu'a vocation commercial. Il n'en reste pas moins une expérience filmique de qualité, même si le style reste évidement pour un public avertis.

Directed byValeria Sarmiento
Produced byPaulo Branco
Written byCarlos Saboga
StarringNuno Lopes
Soraia Chaves
Marisa Paredes
John Malkovich
Carloto Cotta
Music byJorge Arriagada
CinematographyAndré Szankowski
Edited byValeria Sarmiento
Luca Alverdi
Production
company
Release dates
  • 4 September 2012(Venice Film Festival)
  • 4 October 2012 (Portugal)
Running time
151 minutes
CountryPortugal
France
LanguagePortuguese
French
English

ANONYMOUS (2011)

Dans le grenier, des films qui relance de la controverse. 

Roland Emmerich, si ce nom ne vous dit toujours rien, c'est Indépendance Day, Stargate, Patriot, Godzilla, le Jour D'après, 2012, 10 000 BC.... bref des films dit "blockbuster" qui pour la plupart ont été quasiment tous des succès commerciaux, malgré quelques ratés. Mais cette fois ci, Emmerich c'est éloigné des studios hollywoodien, pour une production germano britannique, "Anonymous", basé sur cette histoire révisionniste que le célèbre Shakespeare n'était pas l'auteur de ses pièces. Un film qui retrace donc, cette théorie exposant Édouard de Vere, 17e comte d'Oxford, qui, contraint par accord a un mariage arranger pour l'héritage du nom, et forcé de cacher sa liaison avec la reine, dans leurs jeunesses. Imposer à la discrétion, il va utiliser un auteur comme prête nom, pour faire jouer des pièces écrites par lui même, dont le célèbre comédien s’appropria la paternité, du fait que l'auteur original s'était engager a ne jamais signé ses oeuvres de son propre nom. Sur fond d'un complot pour la succession de la reine vierge, Elisabeth 1ère, d'une lutte entre les Cecils et les Tudors, un jeune auteur, complice de la supercherie, tente de faire éclater la vérité sur la réelle paternité de ces pièces à la fois polémiques, mais a succès, en vain. Un film qui donne évidement la part belle aux visuel, dont le réalisateur est passer expert dans la plupart de ses films, mais n'en fait pas moins ignoré le font du film, qui reste encore aujourd'hui sujet à débat, dans la mesure ou rien ne prédisposait le célèbre auteur anglais à écrire autant de chefs d'oeuvres, qui sont devenu des grands classiques de l'art dramatique anglo saxon, comme à l'échelle mondiale. Un film qui ce laisse évidement regarder pour sa teneur visuel, en essayant d'extrapoler le fond, qui reste un débat d'experts, et dont le film n'apporter rien de plus dans le soutient de la thése, dans la mesure ou finalement le film n'eut pas un grand succès. Sans doute parce que le sujet n’intéresse guerre le grand public. Un semi échec pour Emmerich qui tentait là de revenir à un cinéma européen, loin des contraintes hollywoodiennes, ou il n'aurait certainement pas pu faire ce genre de film.

Directed byRoland Emmerich
Produced byRoland Emmerich
Larry Franco
Robert Leger
Written byJohn Orloff
StarringRhys Ifans
Vanessa Redgrave
Joely Richardson
David Thewlis
Xavier Samuel
Sebastian Armesto
Rafe Spall
Edward Hogg
Jamie Campbell Bower
Mark Rylance
Trystan Gravelle
Derek Jacobi
Music byHarald Kloser
Thomas Wander
CinematographyAnna Foerster
Edited byPeter R. Adam
Production
company
Distributed byColumbia Pictures
Release dates
  • 11 September 2011(Toronto International Film Festival)
  • 28 October 2011(United Kingdom)
  • 10 November 2011 (Germany)
Running time
130 minutes[1]
CountryGermany
United Kingdom
LanguageEnglish
Budget$30 million
Box office$15,395,087

LES PIRATES DE L'ÎLE SAUVAGE (1983)



Dans le grenier, des films qui loupèrent le coche. 

Nous sommes en 1983 et sort sur les écrans, "Les Pirates de l'Ile Sauvage", ou dans son titre original, "Nate and Hayes". Un film qui ce voulait comme d'autres, relancer le film d'aventure, introniser par Indiana Jone, mais en vain. Réaliser par Ferdinand Fairfax, ce film de Nouvelle Zélande avait déjà l'avantage d'un acteur et non des moindres, puisqu'il s'agissait de Tommy Lee Jones, qui en était déjà a son 12ème films, entre autres participations télévisuelles. Dans ce film, il est un capitaine de navire, qui va aider un jeune homme a extirpé sa fiancée des mains de son ancien complice et associé. Une histoire qui selon la production, s'inspirait d'un personnage réel, Bully Hayes, un célèbre pirate qui officia dans le pacifique au 19ème siècle. Une histoire qui dans ses grandes lignes, n'est pas sans rappeler celle d'un autre film de pirate, qui viendra beaucoup plus tard, sous l'estampillage Disney. Il y a également dans ce film, une scène qui fit la discorde pour plagiat. En effet, certains prétendent que la scène du pont suspendu, aurait inspiré Spielberg et Lucas pour le Temple Maudit. Mais ce film n'aura malheureusement pas le soutient des exploitants, comme des distributeurs, qui le firent passer à la trappe, aussi rapidement qu'il était venu. Paradoxe, Paramount qui en distribua les droits, ce retrouvait avec un film qui ce voulait faire concurrence à Indiana Jones, dont la major était également distributrice.

Directed byFerdinand Fairfax
Produced byLloyd Phillips, Rob Whitehouse
Written byJohn HughesDavid Odell
Starring
Music byTrevor Jones
CinematographyTony Imi
Edited byJohn Shirley
Distributed byParamount Pictures
Release dates
18 November 1983
Running time
96 Minutes
CountryUnited States
New Zealand
Fiji
Box office$1.9 million

LE DERNIER CHEYENNE (1995)

Dans le grenier, des films qui tentent le coup pour le coup. 

Nous sommes en 1995, et sort une production totalement opportuniste, réalisé par Tab Murphy, jonglant sur le "revival" des natives américains, lancer par Danse avec les Loups. Le Dernier Cheyenne est le titre français de ce "Last of the Dogmen", une histoire ou un chasseur de prime, retrouve en pleine nature ses fugitifs, tous morts d'une flèche qui vient d'un autre age. Et il ne croit pas si bien dire, dans la mesure ou il va découvrir que dans cette partie reculé du Montana ce cache depuis plus d'un siècle, les descendants du peuple des dogmen, des indiens cheyennes qui survécurent ainsi, loin de la civilisation, pour fuir les massacres qui eurent lieux aux 19ème siècle. Va alors s'engager une lutte pour leurs sécurités, confronté à des hommes blancs dont la technologie n'effrayera que très peu de temps le courage et la ténacité de ses indiens de survivre, non sans l'aide de notre chasseur de prime, conscient que leurs tribus doit être préservé de ce monde moderne qui à asservit et parquet leurs frères. Un film avec Tom Berenger, qui vit sans doute ce film comme un message fort pour une meilleur reconnaissance des amérindiens au sein de la société américaine. Un élan qui ne c'est pas étouffer outre mesure, au vu qu'encore aujourd'hui, il est difficile d'entrevoir une réel reconnaissance, et surtout, des excuses nationales pour ce que au nom des USA, les indiens ont subit en humiliation et asservissement. Un film qui bien évidement passa un peu inaperçue et finira un peu dans l'oublis avant de retrouver la lumière, par une édition DVD, qui n'évitera pas une modification de naration sur la voix Off, qui dans l'original était conté à la troisième personne, et fut modifié par un récit à la première personne.



Le film
Directed byTab Murphy
Produced byJoel B. Michaels
Written byTab Murphy
Starring
Narrated byWilford Brimley
Music byDavid Arnold
CinematographyKarl Walter Lindenlaub
Edited byRichard Halsey
Production
company
Distributed by
Release dates
  • September 8, 1995 (USA)
Running time
118 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$7,024,38