Dans le grenier, des films qui ce font fresque, ou presque.
On ne présente plus Jean Jacques Annaud qui depuis 1976, date de sa victoire en chantant, a donner dans des styles différents, en s'offrant le luxe de production à la mesure de son talent. Monté en grade, et en productions internationales, depuis son Stalingrad, il s'était aventuré dans des recoins moins grand public, et un peu plus académique. Mais en 2011, il offre Or Noir, une fresque familiale entre un Sultan et un Emire, qui, pour sceller un pacte, l'un confiera en gage ses deux fils à l'autre afin de respecter une frontière, un no man's land ou aucun des deux ne devra franchir la ligne. Les années passent et l'un des deux frères revient au pays après un long périple à l'étranger, sous la responsabilité de l'Emire. Tombant amoureux de la fille de son hôte, leur amour va ce trouver perturber par la monté des prospections occidentales, pour tenter de conquérir l'or noir, le pétrole. Et face à la richesse qu'apportent les occidentaux, l'un des deux chefs qui avait établit ce no man's land, symbole de la paix entre les deux royaume, va trahir l'accord, enclenchant une nouvelle fois la guerre entre les deux clans, dans lequel les deux frères devront choisir. Un film qui ce situe entre les deux guerres, et tente de nous conté cette histoire d'amour et de différents, dans un contexte qui mènera petit à petit les anciens royaumes d'orient a ce quereller, et disloquer pour finalement ce retrouver un peu sous le joute des occidentaux, et qui mènera au première contestations et accords dans lesquels un certains nombres de chef de clans perdront tous, au profit d'une monarchie et d'une élite dirigeante qui à su imposer sa loi depuis. Un film qui fut l'un des plus gros budget pour une production franco qatari tuniso italienne, puisque ce sera en partie grâce au financement du Qatar que le film pourra ce permettre d'avoir un budget de 55 millions de dollars. Considérant Annaud comme une valeur sur, le film n'en fera pas moins un flop. Une communication pourtant efficace et une couverture en nombre de copies plus que suffisante, le film ne fera même pas 10 millions de dollars de recette. Il continuera sa carrière avec un an de retard sur le marché américain, mais trop tard. Un échec commercial de plus pour le réalisateur qui après son Deux Frères et son Majesté Minor, va avoir plus de difficulté à trouver des producteurs pour son prochain film si son budget n'est pas revu à la baisse.
Directed by | Jean-Jacques Annaud |
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Produced by | Tarak Ben Ammar |
Screenplay by | Jean-Jacques Annaud Menno Meyjes Alain Godard |
Based on | South of the Heart: A Novel of Modern Arabia by Hans Ruesch |
Starring | Tahar Rahim Mark Strong Antonio Banderas Freida Pinto Riz Ahmed Corey Johnson Liya Kebede |
Music by | James Horner |
Cinematography | Jean-Marie Dreujou |
Edited by | Hervé Schneid |
Production
company | |
Distributed by | Image Entertainment |
Release dates
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Running time
| 130 mins |
Country | Tunisia France Italy Qatar |
Language | English |
Budget | $55,000,000 |
Box office | $5,452,142 |
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