Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

lundi 28 novembre 2016

ASSAULT ON WALL STREET (2013)

Dans le grenier, des films politiquement incorrecte mais tellement d'actualité.


"Assault on Wall Street" est un film datant de 2013, et qui c'est plus remarqué sur le marché de la vidéo et de la VOD que lors de son passage en salle. Avec Dominic Purcell, ce film américano canadien réalisé par Uwe Boll, nous contait l'histoire d'un conducteur de véhicule blindé, dont les mauvais placement de son courtier vont mettre sur la paille après la chute de 2008. Sa femme, ayant besoin d'un traitement, toutes les économies ayant été perdu, notre homme tente de faire face. Mais le système est ce qu'il est, et notre homme va être non seulement écrasé par le système, mais va tous perdre jusqu'a sa femme qui va préférée mourir plutot que souffrir plus encore. Notre homme tiens pour responsable tous ces courtiers, traders et autres guignols de la finance, dont il est décidé de faire un exemple. Expéditif, le film eut du mal a trouvé des exploitants, tant évidemment, le sujet est un vengeance qui pourrait être aussi une incitation. De plus, la critique a trouvé le film plutot moyen en matière de mise en scène, et l'acteur principal qui manque de conviction dans son personnage qu'il ne maîtrise pas du tous. Du coup le film eut une carrière très courte, avant de trouver un bon bouche à oreille sur le web, par l'intermédiaire de la VOD.
Directed byUwe Boll
Produced byDaniel Clarke
Written byUwe Boll
StarringDominic Purcell
Erin Karpluk
Edward Furlong
John Heard
Keith David
Michael Paré
Eric Roberts
Music byJessica de Rooij
CinematographyMathais Neumann
Edited byThomas Sabinsky
Production
company
Distributed byPhase 4 Films
Release dates
  • May 10, 2013
Running time
99 minutes
CountryUnited States
Canada
LanguageEnglish

NO ESCAPE (1994)

Dans le grenier, des films qu'on se souvient avoir vu, mais dont on a oublié le titre, ni même quand on a pu le voir.

Nous sommes en 1994, et la SF et le Fantastique s'essouffle un peu comparativement a ce que les années 70 et 80 avaient pu produire. Mais il eut quelques films qui sortirent du lot, sans faire de miracle, pour disparaître aussi vite. Et c'est le cas de ce film, titré à l'origine par "Escape from Absolom", puis retitré par la suite par "No Escape". Réalisé par Martin Campbell, le film s'offrait quand même un casting non négligeable avec Ray LiottaLance HenriksenStuart WilsonKevin Dillon et Ernie Hudson. L'histoire sans doute va vous rappelez quelque chose ; un soldat d'élite pète un plomb et abat un officier qu'il juge responsable d'un massacre. Jugé, il est condamné a être placé dans une prison de haute sécurité. En réalité, il va être transféré sur une île ou il n'y a ni gardien, ni cellule, ni même prison. Seul la survit compte, surtout face a une bande de sauvages, des prisonniers qui serait retomber a l'état primitif, et par conséquent pratiquant le cannibalisme. Mais notre soldat va tomber dans une communauté d'ancien prisonniers qui vont l'aidé a se rétablir d'une mauvaise chute. Mais dans la jungle, la menace est réelle. Notre homme veut s'échappé, mais pour çà, il va falloir lutter. Oui, çà y est, vous vous en souvenez ? Et pourtant, depuis longtemps ce film est quasiment tombé dans l'oublis, n'ayant pas eut une très forte réputation lors de son exploitation en salle, ayant plus trouver son chemin sur le marché de la vidéo. Et pour cause car en fait, on retrouvait forcément l'idée de base du film de Carpenter " 1997, Escape from New York", mixé avec le "Fortress" de Stuart Gordon, qui était sorti deux ans plus tôt. Pourtant, le film est une adaptation d'un roman datant de 1987, écrit par Richard Herley, "The Penal Colony" et à même suscité quelques adaptations comics chez Marvel, voir même un jeu vidéo. Comme quoi, l'espoir faisait vivre de faire d'un film pourtant issu d'une production indépendante, un succès commercial avec du produits dérivés, qui était très tendance à l'époque. Mais aujourd'hui le film est plus ou moins tombé dans l'oublis.
Directed byMartin Campbell
Produced byJake Eberts
Gale Anne Hurd
Screenplay byMichael Gaylin
Joel Gross
Based onThe Penal Colony
by Richard Herley
Starring
Music byGraeme Revell
Tim Simonec
CinematographyPhil Meheux
Edited byTerry Rawlings
Distributed byHome Box Office (USA, video)
Savoy Pictures
Release dates
  • April 29, 1994
Running time
118 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$20 million
Box office$15.3 million

dimanche 27 novembre 2016

BUNKER PALACE HOTEL (1989)

Dans le grenier, des films cultes mais uniquement pour avertis.


Enki Bilal est un nom dans l'univers de la BD, dont l'un des best seller est "la Foire aux Immortels". Mais Enki Bilal c'est aussi un style, un visuel, une patte, qui ne pouvait pas échappé au cinéma. Et c'est dans ce "Bunker Palace Hotel" datant de  1989, que le scénariste dessinateur se lancera pour la première fois dans la réalisation. L'histoire est celle d'un régime quasi totalitaire qui s'effondre, et ou des dignitaires et le président sont introuvables. Normal, ils se sont réfugiés dans un Bunker Hotel, en attendant que l'orage passer et trouver par la suite une issue pour soit reprendre le pouvoir, ou fuir. Mais un révolutionnaire réussit à substituer l'identité d'un des convives du "bunker", conçu par monsieur Holm, chargé d'accueillir tous ses hôtes de marques, en fuite. Tous sont plus ou moins arrivé dans ce bunker aux allures de palace. Mais très vite, l'inquiétude règne car personne n'a de nouvelle du président. Pire, ils ont été averti qu'un espion est parmi eux. Notre homme n'a plus beaucoup de temps avant d'être éventuellement démasqué dans sa mission de capturer, ou de tuer le président en fuite. Un film qui correspond tout à fait à l'univers de Bilal, et qui en plus, c'était à l'époque très inspiré de l'actualité, vu que nous étions en pleine phase de l'effondrement de l'empire soviétique. Pourtant, le film passera un peu inaperçu dans les salles, si ce n'est pour les connaisseurs. Le film sera par contre un succès au japon, ou le cinéma français perçait plutôt bien à cette époque. Car en effet, l'ambiance du film est particulière, et est assez loin de ce que le cinéma américain abreuvait déjà depuis plusieurs années. Mais certains amateurs du genre firent parfois une comparaison minime a une esthétique qui ne serait pas étrangère à un univers à la Blade Runner. Même si esthétiquement parlant, le film se rapproche plus à une conception artistique correspondant à un pays de l'Est (le film fut tourné essentiellement en Yougoslavie, à Belgrade, avant de tourner ensuite en Serbie). Mais le film n'aura pas marqué outre mesure et sera oublié dans la mémoire collective. Une réhabilitation avec les supports laser ont permis à une nouvelle génération de découvrir ce film, qui, il est vrai, a un petit peu vieilli sur l'esthétique mais reste d'actualité scénaristiquement parlant.

TRAILER

V.O.-française


Directed byEnki Bilal
Produced byMaurice Bernart
Written byEnki Bilal
Pierre Christin
StarringJean-Louis Trintignant
Carole Bouquet
Music byArnaud Devos
Philippe Eidel
CinematographyPhilippe Welt
Edited byThierry Derocles
Distributed byBac Films
Release dates
  • 14 June 1989
Running time
95 minutes
CountryFrance
LanguageFrench

STAR TREK NEMESIS (2001)

Dans le grenier, des films de franchises, qui furent sans doute les films de trop. 


En 2001 sort le 4ème opus de la franchise Star Trek, basé sur la série Next Generation. A la réalisation, Stuart Baird, pour un "Menesis" qui ne devait pourtant pas être le dernier de la franchise. Mais voilas, le tournage fut assez difficile du fait d'un scénario un peu pauvre pour un long métrage, et une direction d'acteurs relativement catastrophique. Car si Patrick Stewart reste fidèle a son personnage, tous les autres personnages deviennent quasiment secondaire, voir transparents. De plus, cet histoire d'un clone qui réussit a prendre l'ascendant sur le conseil romulien pour aller chercher des poux aux terriens, fait très vite pâle figure, vis à vis de ce que la franchise nous avait habitué. En réalité, on avait plus l'impression de voir un épisode de la série, dans une version longue. Rien qui ne puisse permettre de dire qu'il y a ici de l'ambition a vouloir s'exposer sur grand écran. Le film attirera néanmoins son public, mais sera le plus mauvais démarrage de série, et finira avec une recette positive relativement faible pour une telle franchise. De plus, plus tard, on apprendra qu'avec certains acteurs, le courant ne passa pas avec le réalisateur, dont certains diront de lui que c'est un con, qui n'a même pas eut la curiosité de regardé ne serait ce qu'un seul épisode de la série. Car oui, la production a sans doute fait une erreur en embauchant un réalisateur qui n'avait aucune maîtrise de son sujet et qui finalement, a donner un film insipide, plat, et sans intérêt. Du coup, vu comment la production c'est déroulé, certains acteurs décidèrent de jeté l'éponge et que si la franchise devait continuer, se serait sans eux. Et c'est ainsi que Nemesis sera finalement le dernier Star Trek sous l'apparence de Jean Luc Picard, reléguant la franchise au silence pendant 8 ans, avant que JJ Abrams soit appelé à la rescousse pour relancé la machine avec son idée d'un retour aux origines, mais sur une événement qui va provoquer une réalité alternative. Ce qui remit l'équipage d'origine sur les rails, pour une série de film qui jusqu'a présent sont des succès du box office. Quant a ce Nemesis, il figure parmi les plus mauvais de toutes les aventures cinématographiques de Star Trek, qui mettra un terme a la franchise Next Generation. 
Directed byStuart Baird
Produced byRick Berman
Screenplay byJohn Logan
Story by
Based onStar Trek
by Gene Roddenberry
StarringSee Cast
Music byJerry Goldsmith
CinematographyJeffrey L. Kimball
Edited byDallas Puett
Production
company
Paramount Pictures
Digital Image Associates
Distributed byParamount Pictures
Release dates
  • December 13, 2002
Running time
116 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$60 million
Box office$67.3 million

POPE JOAN (1972)

Dans le grenier, des films d'histoires sur des historiques méconnus.

Nous sommes en 1972, et sort dans les salles ce "Pope Joan", qui malgré son titre, n'a rien a voir avec Jeanne d'Arc. Ici, ce film réalisé par Michael Anderson, relate l'histoire d'une légende, celle de la seule femme pape, qui aurait régné entre 855 et 858 en dissimulant son identité sexuelle. Au Moyen-Age, la petite Jeanne possède des connaissances qui étonne son entourage. Elle se dit «Elue de Dieu» et c'est dans cette conviction qu'elle devient quelques années plus tard, prédicatrice en entrant dans les Ordres. C'est alors qu'elle fait la connaissance du frère Adrien dont elle tombe amoureuse. Mais l'invasion saxone déferle sur le pays. Habilement cachée sous un déguisement de moine, elle parvient jusqu'à la cour pontificale ou progressivement son personnage a faire illusion, jusqu'a accédé à la mort du pape, au trône pontificale. Cela resta évidemment un légende, même si l'histoire retient qu'il y a bien eut une usurpation au milieu du 9ème siècle. Le film, lui, romance évidemment l'aventure, sous une production britannique qui ira dans quelques salles européennes. Depuis, le film a disparu, mais un autre film remettra la légende sur le devant de la scène en 2009, sous la direction de Sönke Wortmann, dans une coproduction anglo germano italo espagnole, qui ne fera pas plus d'étincelle si ce n'est en Italie et en Allemagne, du fait de quelques nominations a des festivals dont le festival allemand Deutscher Filmpreis. 
Directed byMichael Anderson
Produced byKurt Unger
Daniel Unger (uncredited)
John Briley (associate producer)
Leonard C. Lane (executive producer)
Written byJohn Briley
StarringLiv Ullmann
Olivia de Havilland
Franco Nero
Music byMaurice Jarre
CinematographyBilly Williams
Edited byBill Lenny
Release dates
16 August 1972
Running time
132 minutes (original uncut version)
CountryUnited States
LanguageEnglish

vendredi 25 novembre 2016

IL ÉTAIT UNE FOIS DANS LE QUEENS (2006)

Dans le grenier, des petits films de débuts.

Dito Montiel est un scénariste et réalisateur à l'origine de ce "Il était une fois dans le Queens", un titre français assez bateaux pour tenter de promouvoir "A Guide To Recognizing your Saints", une adaptation de ses propres mémoires que Montiel avait édité quelques années plus tôt. Une histoire de bande de vilain garçon, dans un quartier de New York qui, dans les années 80, était à l'image du grand virage qu'avait prit le rêve américain, devenu cauchemar. On se souvient de ces films qui furent tourné dans ces quartiers appauvrit, parfois en ruine d'un Queens, ou aussi d'un Bronx, en pleine déconfiture. C'est le décors d'ailleurs de cette histoire d'un ancien petit caïd du coin qui revient voir son père mourant, et se remémore les quatre cents coups, avec des potes dont certains sont aujourd'hui mort, en prison, ou presque clodo. Un film presque autobiographique pour le réalisateur, qui mit beaucoup de lui même dans ce film qui ferra ses premiers pas dans un long métrage, alors ayant trouver le succès auparavant dans la musique, plus particulièrement dans la mouvance punk hardcore. Un film ou l'on retrouve Robert Downey Jr, comme le jeune Shia LaBeouf, alors en pleine mutation de carrière après avoir jouer des années dans une série Disney. Channing Tatum ainsi que Rosario Dawson seront de la partie, alors pas encore devenu les stars d'aujourd'hui. Mais le film reste évidemment extrêmement culturel a l'amérique, voir même a New York, et malgré le talent de Montiel, qui fera de ce film un plus ou moins bon film indépendant, son exploitation sera très limité, et ne verra quasiment pas l'international, malgré des passages dans des festivals plutot remarqués.
Directed byDito Montiel
Produced byClara Markowicz
Charlie Corwin
Trudie Styler
Travis Swords
Robert Downey Jr.
Sting
Written byDito Montiel
StarringRobert Downey Jr.
Shia LaBeouf
Rosario Dawson
Melonie Diaz
Eric Roberts
Channing Tatum
Chazz Palminteri
Dianne Wiest
Music byJonathan Elias
CinematographyEric Gautier
Edited byJake Pushinsky
Christopher Tellefsen
Production
company
Distributed byFirst Look International
Release dates
September 29, 2006 (limited)
January 23, 2007
Running time
98 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Spanish
Box office$2,035,468

RED SCORPION (1988)

Dans le grenier, des films qu'on sait déjà d'office d'ou vient l'inspiration.

Si je vous dis, Dolph Lundgren dans le rôle d'un russe, vous me dite "Rocky 4". Mais non, c'est loupé. En effet, en 1988, Lundgren avait tellement marqué les esprits dans ce rôle de Drago, qu'il a vite été récupéré pour aller jouer un autre russe, Nikolai Petrovitch Rachenko, soldat des Spetsnaz, envoyer dans un pays africain pour maté des rebellions guidé par des occidentaux. Mais parce qu'il va avoir un acquis de conscience, il va être arrêté puis torturé, avant de réussir a s'échappé et a ...... bah oui, vous l'avez deviné, il change de camps. Sauf qu'évidemment, ce "Red Scorpion" de 1988, ne trouvera pas les salles de cinéma ou si peu, pour aller directement en vidéo, ou évidemment, il aura son petit succès, dû bien sur au fait que Lundgren continuait le mythe du grand méchant russe, qui va retourner sa veste. Résultat, un film qui sera quand même controverser, du fait de sa violence, de ses propos et des clichés qui y seront utilisé. Mais en 1991, on voulu réaliser une suite histoire de perduré une franchise. Manque de bol, que ce soit Lundgren ou même le réalisateur Joseph Zito, aucun ne reviendra dans le deuxième film qui au final s'éloignera du concept pour adopter une autre histoire, un autre personnage. Quant a ce "Scorpion Rouge" il connaîtra une ré édition en Blue Ray en 2012, histoire de profiter du retour de Lundgren dans les box offices dans les films "Expendables" de Stallone. 
Directed byJoseph Zito
Produced byJack Abramoff
Written by
  • Jack Abramoff
  • Robert Abramoff
  • Arne Olsen
Starring
Music byJay Chattaway
CinematographyJoão Fernandes
Edited byDaniel Loewenthal
Production
company
Abramoff Productions
Distributed by
Release dates
  • December 1988 (Korea)
  • April 21, 1989(United States)
Running time
105 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$4.2 million (US)

THE BORDER (1982)

Dans le grenier, des films qui restent d'actualité, mais souvent mis à l'écart.

En 1982 sortait ce "The Border", traduit en France par "Police Frontière". Réalisé par Tony Richardson, le film comprenait quand même un bon casting, avec Jack Nicholson, Harvey Keitel et Valérie Perrine, pour une histoire d'un officier des services d'immigration, qui après quelques déboires avec une femme un peu trop exigeante, va se retrouver dans une situation ou il va devoir géré entre son devoir, et son humanisme, une jeune mexicaine illégale et son bébé, dans une frontière ou règne corruptions et l'émigration massive. Un film qui abordait déjà à l'époque le sujet qui fait débat aujourd'hui. Coincer entre humanisme et intégrité nationale. Celle qui amènera le débat d'une immigration massive et l'arrivé de population hispanique dans un certains nombres d'états. Mais le sujet semblait déjà être trop sensible pour le traité de la sorte au cinéma, et le film fut juger trop dans la sensiblerie, trop ambiguë a vouloir prendre parti a ce point sur un sujet délicat. Heureusement, depuis le cinéma a permis d'ouvrir un peu plus la porte a ces sujets que l'amérique n'aime pas trop remuée. Mais ce film subira le couperet et sera un échec commercial qui n'amortira pas son budget initial, voir même engendré une grosse perte.
Directed byTony Richardson
Produced byEdgar Bronfman, Jr.
Written byDeric Washburn
Walon Green
David Freeman
StarringJack Nicholson
Harvey Keitel
Valerie Perrine
Warren Oates
Music byRy Cooder
CinematographyRic Waite
Edited byRobert K. Lambert
Production
company
Distributed byUniversal Pictures
Release dates
  • January 31, 1982
Running time
109 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$22 millionS
Box office$6,118,683 (US)

mardi 8 novembre 2016

SUPERMAN IV (1987)

Dans le grenier, des films qui furent, le film de trop.

On se souvient tous de Superman, super héro de BD américaines, mainte fois adaptée à la télévision comme au cinéma. La franchise Warner commença en 1978, avec le film de Richard Donner, qui permis de mettre à l'époque un nouveau visage dans l'inconscient collectif, celui de Christopher Reeve, qui malgré d'autres films, verra le personnage lui coller à la peau pratiquement toute sa vie, même après sont terrible accident de cheval en 1995 qui le laissera tétraplégique  jusqu'a la fin de sa vie, en 2004. Franchise qui donnera 2 suites, jusqu'en 1983. Mais après la réalisation d'un spin off, Super Girl par la Tri Star, la maison de production Cannon profitera d'une renégociation de contrat, pour soufflé la franchise a Warner. Il n'en fallait pas moins pour qu'un 4ème opus soit mis en chantier. Et de l'avis de tous, ce Superman IV sera un désastre, tant au niveau de la production que lors de l'exploitation. Scénario complètement bancale, des conflits d'intérêt entre les différents producteurs, jusqu'a la menace d'un procès à Christopher Reeve qui ne voulait pas faire ce film, mais obligé par contrat par rapport a la franchise. Gene Hackman fut même dépêcher pour reprendre son rôle de Lex Luthor, pour cette histoire d'homme nucléaire qui va devenir une plaie, alors que le monde est au bord d'un conflit mondial. Selon les mémoires même de Reeve, les scénaristes en étaient réduit a ré écrire le film au fur et à mesure du tournage. Si bien que le résultat final est à l'image de la production. Mauvais. Réalisation raté, scénario totalement bidon, et conception artistique désastreuse. Même si le film sera rentable du fait que la Cannon a bénéficié de la notoriété du personnage et de la franchise, le bouche à oreille sera catastrophique, comme les critiques qui désigneront le film, l'un des pires de l'année 1987. La Cannon, de par la réputation de leurs deux patrons, a commencer a vacillé financièrement, du fait d'avoir eut la folie des grandeurs. Pourtant, il était prévu un cinquième film qui ne verra jamais le jour, du fait que de part ses difficultés financières, la Cannon n'a pas pu surenchérir sur la Warner qui reprendra alors la franchise en 1993, avant de la laisser dans les tiroirs, jusqu'au projet de Superman Lives avec Tim Burton aux commandes, qui lui aussi, ne verra jamais le jour. Superman ne reviendra finalement qu'en 2006, mais dans la série des Christopher Reeve, seul les trois premiers films seront conservé dans des collections DVD et BlueRay. Ce Superman IV étant finalement édité à part, car de toutes les manières, ayant trop de casseroles pour se permettre d'être intégré dans la série des Donner et Lester.
Directed bySidney J. Furie
Produced by
Screenplay by
Story by
Based onCharacters
by Jerry Siegel
Joe Shuster
Starring
Music by
CinematographyErnest Day
Edited byJohn Shirley
Production
company
Distributed by
Release dates
  • July 24, 1987
Running time
92 minutes
Country
  • United States
  • United Kingdom
LanguageEnglish
Budget$17 million
Box office$36.7 million

CHOSEN SURVIVORS (1974)

Dans le grenier, des films de fond, détruit par la forme. 

"Chosen Survivors" est un film datant de 1974, et qui nous relate l'histoire de plusieurs personnes, choisit par un ordinateur, pour être mis à l'abris en prévision d'un conflit mondial naissant. Drogué et emmener de force, ils se retrouvent dans une base profondément enfouis sous terre, et apprennent qu'ils sont peut être le dernier espoir de l'humanité. Mais voilas, il ne sont pas seul dans cette station ou ils vont devoir survivre. Bref, un film de survivance dans une base prévu pour subvenir a leur besoin pendant 5 ans, qui aurait pu permettre de développer bien des aspects, plutôt que d'en faire un film fantastique proprement dit. L'exploitation se fera uniquement sur les USA et le Mexique, ce dernier étant coproducteur, mais le box office désastreux relégueront le film dans les placard. Avec le temps, le film a finalement très mal vieillit comment beaucoup de productions dans le genre, même si la base même du scénario reste encore potable, a quelques modifications prêt. Ça n'empêchera pas la MGM de vendre les droits vidéo pour une ré édition en DVD, dans une collection Midnight Movies, mais qui finalement, restera totalement dans l'obscurité, sans jamais avoir tenté quelques producteurs d'en refaire un remake plus actuel et artistiquement plus aboutis. Car si artistiquement le film est raté, l'intrigue reste encore potable, même si en matière de direction d'acteurs, on peu nettement mieux faire.

Original poster art
Directed bySutton Roley
Produced byLeon Benson
Charles W. Fries
Written byH.B. Cross
StarringJackie Cooper
Alex Cord
Richard Jaeckel
Bradford Dillman
Diana Muldaur
Music byFred Karlin
CinematographyGabriel Torres
Edited byJohn F. Link
Dennis Virkler
Distributed byColumbia Pictures
Release dates
  • May 22, 1974
Running time
99 minutes
CountryMexico
United States
LanguageEnglish

BATTLE TRUCK (1982)

Dans le grenier, des films inspiré par le voisin.

Nous sommes en 1982, et c'est en Nouvelle Zélande que sortira très timidement ce "Battle Truck", dont le titre sera d'ailleurs changé pour le marché américain en "Warlord of the Twenty first century", quelques mois plus tard. Film réalisé par Harley Cockliss, le film nous conte l'histoire d'un conflit entre un mercenaire et son équipe, qui terrorise des villages et lieux de réfugiés, et un loup solitaire a qui il ne fallait pas chercher des poux dans la tête. Le tous, se déroulant dans un pays dévasté par une guerre mondiale, nucléaire de surcroît et ou évidemment, on s'entre tue pour quelques litres de gas-oil. Un film qui clairement, est né de ce que le voisin australien avait engendré quelques années plus tôt avec Mad Max. L'influence s'arrête uniquement a l'environnement, et l'époque, mais on retrouve évidemment des véhicules qui ne trompe pas sur la volonté de coller a un genre qui sera assez prolifique dans ces années là. Le film sera exploiter aux USA, et sera même prit par les distributeurs vidéos, pour un film américain, plus vendeur que de l'estampillé Nouvelle Zélande. On y retrouve Michael Beck qui avait été rendu plus ou moins célèbre dans son rôle de Swan, dans "Les Guerriers de la Nuit". Puis ce film va vite fait disparaître dans les limbes de l'oublis, comme beaucoup de film de son genre, rarement ré édité en DVD, ou dans quelques éditions imports. 
Directed byHarley Cokliss
Produced byLloyd Phillips
Rob Whitehouse
Written byMargaret Abrams (novel)
Irving Austin
John Beech
Harley Cokliss
StarringMichael Beck
Annie McEnroe
James Wainwright
Bruno Lawrence
John Bach
Randolph Powell
John Ratzenberger
Music byKevin Peek
CinematographyChris Menges
Production
company
Distributed byNew World Pictures
Release dates
April 1982
Running time
91 min.
CountryUnited States/New Zealand
LanguageEnglish