Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

samedi 28 janvier 2017

THE VINDICATOR (1986)

Dans le grenier, des films de gars qu'on reconstruit....

Oui, l'Homme qui valait Trois Milliards jusqu'a Robocop, ont donné des envies a d'autres. Y compris aux canadiens, qui nous donnèrent ce "The Vindicator" sous titré "Frankenstein 2000", en 1986. Réalisé par Jean Claude Lord, ce film nous contait l'histoire d'un scientifique qui travaillait sur une combinaison spatiale révolutionnaire, fonctionnant avec une technologie mentale qui semble ne pas encore être très au point. Mais notre scientifique, va bien évidemment découvrir que ses recherches vont aussi servir a d'autres fins que celle prévu a cet effet. Notre scientifique a décidé d'y mettre un terme mais, hop hop hop, accident. Explosion, gravement blessé, pour ne pas dire, en morceau, et voilas notre scientifique au bord de la mort. Mais son collègue est déterminé a faire n"importe quoi pour le sortir d'une fin tragique. Il décide de lancé un projet de reconstruction, afin de l'intègre dans cet équipement. Alors que les choses semblaient aller pour le mieux, l'expérience tourne au cauchemar. Le système a déclenché la fureur chez les singes expérimentaux, et voilas notre assistante attaquée. Elle meurt, non sans déclencher une réaction en chaîne qui va en effet réveillé notre scientifique, qui ne ressemble plus a grand chose qu'a une machine sur deux pattes. Mais suffisamment perfectionné pour assouvir sa vengeance. Comme quoi, on arrive a trouver de l'inspiration, en regardant chez les voisins. Car en effet, l'histoire a un semblant de déjà vu. D'autant plus que le film était pourtant un projet audacieux pour un cinéma canadien qui essaye d'exister en face de l'empire hollywoodien voisin. Mais le film sera très vite jugé de moyenne facture, avec une mise en scène moyenne et un développement artistique plus que moyen. Pourtant le réalisateur s'était défendu de vouloir essayer de s'inspiré du travail de Cronenberg pour tenter de faire un film pas seulement fantastique, mais avec de la thématique profonde. Pas assez profonde car le film finira directement en vidéo pour l'internationale, après une exploitation canadienne et américaine plutôt discrète.
Directed byJean-Claude Lord
Produced byDon Carmody
John Dunning
Written byEdith Rey
David Preston
StarringDavid McIlwraith
Teri Austin
Richard Cox
Pam Grier
Maury Chaykin
Music byPaul Zaza
CinematographyRené Verzier
Edited byMichaël Karen
Production
company
Michael Levy Enterprises
Distributed by20th Century Fox
Release date
  • February 14, 1986
Running time
93 min
CountryCanada
LanguageEnglish

HEATSEEKER (1995)

Dans le grenier, des films bastons et de cyborgs.

"Terminator" aura été précurseur d'un genre qui donnera naissance a des tonnes de films de cyborgs, dans parfois des scénarios aussi improbables que monstrueusement ridicules. Et c'est le cas de ce "Heatseeker", une histoire d'un pauvre kickboxer qui se fait piqué sa fiancé par des méchants organisateurs de combats illégaux dans les sous terrains de la ville. Des combats de cyborgs. Aux commandes, un monsieur qu'on a déjà nommé dans les films du grenier parce que, justement, grand expert dans le domaine, considéré comme le Steven Spielberg de la série B, j'ai nommé, Albert Pyun, qui après une multitude de films destinés souvent à la vidéo, continu a tourné de nos jours. Et dans ce "Heatseeker", clairement on sent les influences qui nous viennent des films de cyborg dont Pyun réalisera lui aussi certaines productions, et des films de combat, digne descendant des films à la Jean Claude Vandamme de l'époque. Alors forcément, le film est surréaliste, pas forcément bien jouer, avec une conception artistique et des dialogues qui sentent bon le petit budget, obligeant a du bricolage a deux balles. Mais que cela soit clair, ce genre de film était destiné au marché de la vidéo, afin d'alimenté régulièrement les rayons des boutiques de locations. Nous sommes en 1995, et le DVD va commencer a grappillé de la part de marché, rendant encore plus accessible en matière de coût (un DVD coûtait nettement moins cher a tiré en série que des cassettes vidéos magnétiques) un marché en plein boum, pour des petites société de productions indépendantes. Et on aura pas finit de voir ces genres de films envahir souvent les rayons promo des foires à tous, à l'image même de ce qu'aujourd'hui les VOD et Streaming son demandeur de ces films petits budgets pour remplir leurs catalogues. Quant a ce "Heatseeker", le film ne restera pas dans les annales de la filmographie d'Albert Pyun, dont on reparlera sans doute dans les films du grenier.
Directed byAlbert Pyun
Written byAlbert Pyun
StarringKeith Cooke
Distributed byTrimark Pictures
Release date
  • 1995
Running time
91 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish

THE NEW BARBARIAN (1982)

Dans le grenier, des films que t'as pas idée comment çà osait a ce point dans la série B.

On a déjà abordé le cinéma italien sous production parfois américaine, qui permettait a des producteurs de films de série B de faire des films a petit budget. Mais l'une des raisons pour laquelle les américains se sont intéressé un temps a ce que pouvait produire les italiens, c'est parce que justement, les italiens c'étaient mit a faire du cinéma de genre à très petit budget. Et voici l'un d'entre eux, "I Nuovi Barbari" traduisible par "Les Nouveaux Barbare" mais dont le marché de la vidéo lui donneront aussi le titre de "Warriors of the Wasteland" à défaut de son titre "The New Barbarian" pour tenté de séduire le marché américain. L'histoire de survivants d'une troisième guerre mondiale qui tentent d'échapper au génocide d'un groupe qui se fait appelé les "Templars" et qui sont décidé a faire disparaître la race humaine de la surface de la Terre. Enfin évidemment on se dit que çà ne peut être qu'un scénario digne d'un nanar post apocalyptique des années 80, et c'est bien ce qu'on vendra à l'époque. Car ce film italien de 1982, réalisé par Enzo G. Castellari, aura bien une exploitation en France dans une époque ou l'on avait encore des exploitants de petite salles en mal de film "de genre", glorieuse époque pour certains cinémas parisiens, avant de basculé dans le porno. Un bel exemple du genre de sauces italiennes qui ont fait les joies des distributeurs vidéos pendant quelques années, avant que des productions américaines finissent par reprendre le dessus. Un film rare, qui résume à lui seul un genre qui a perduré quelques années avant d'être supplanté dés le milieux des années 80 par un cinéma américain qui avait reprit du poil de la bête face à la vidéo, mais dont l'Europe était a son tour devenue la proie au grand dame des cinémas de quartier et petites salles indépendantes dont un grand nombre finiront par disparaître en l'espace de quelques années.
Directed byEnzo G. Castellari
Produced byFabrizio De Angelis
Screenplay by
Story byTito Carpi
StarringGiancarlo Prete
George Eastman
Music byClaudio Simonetti
CinematographyFausto Zuccoli
Edited byGianfranco Amicucci
Production
companies
Deaf International
Running time
91 minutes
CountryItaly[1

jeudi 26 janvier 2017

WHEELS OF FIRE (1985)

Dans le grenier, des grosses foires qui se la jouent copier coller, mais sans le talent.


On peu avoir des moyens, on peu avoir les bon endroit, mais ne pas avoir les bons acteurs comme le talent de la mise en scène. Et ce "Wheels of Fire" est l'exemple parfait de l'inspiration qui s'assume, en piquant deux trois idées a Mad Max pour en faire sa mouture, façon série Z. Réalisé par Cirio H. Santiago, cette production américaine et Philippiennes, nous fait suivre dans un monde futur, les tribulation d'un desperado solitaire, a tenté de sauvé une jeune femme des griffes d'une terreur de la route. Si la production a quand même le bénéfice de quelques véhicules qui donne plutot une  illusion convaincante, la réalisation et la mise en scène est catastrophique. Quant au jeu des acteurs, carrément en freelance, sans savoir ou ils vont, surjouant et caricaturant a fond. Un sacré nanar comme on dit, digne de son époque, car nous sommes en 1985, glorieuse époque des films de seconde zone qui souvent plagiaient volontiers les succès commerciaux du cinéma de genre de l'époque. Le résultat, était souvent suffisamment convaincant pour sortir le film uniquement en vidéo et évité les frais d'exploitation en salle.

mercredi 25 janvier 2017

RAMPAGE TRILOGIE (2009-2014-2016)




















Dans le grenier, des films en forme de séries, dont les sujets les ont condamné a ne jamais être exploité en salle, et pour cause.


En 2009, le réalisateur Uwe Boll termine sont "Rampage", qui allait déjà, de par son sujet, avoir beaucoup de mal a trouver des distributeurs. Parce que l'histoire de son film, n'est pas seulement le pétage de plomb d'un jeune homme contre le système, contre la société de consommation, mais surtout un plaidoyer contre une société américaine aseptisé (et plus généralement occidentale) qui c'est laisser asservir au point d'être devenu des petits moutons. Et que pour tenté de réveillé les consciences, décide de faire ce qui dans un premier temps sera évidemment ignoble, mais non dépourvu d'un message. Faire un massacre dans la petite ville ou il habite, afin de purifié selon lui, une société en déclin et la poussé a sa propre prise de conscience. Du fait de l'origine allemande du réalisateur, le film finira par trouver quelques salles en Allemagne, avant de débarqué directement en DVD et VOD. Mais en 2014, Boll remet le couvert après un succès critique et un écho très positif des téléspectateurs sur les supports VOD (de par son sujet qui frôle énormément avec les théories complotistes). Cette fois ci, son personnage Bill Williamson, interprété par Brendan Fletcher, va titillé les médias et faire une prise d'otage pour obligé les médias a diffuser son message, ses révélations. Malheureusement, le second opus ne connaîtra pas le même succès que son premier film, non pas pour sa qualité, mais parce que peu soutenu par des distributeurs qui clairement, ont peur du sujet. Un troisième film, sera mis en chantier finalement, avec des fonds par dons par le biais du Web, et sera mis en disposition de certains service VOD en 2016. Mais cette fois-ci, le film ne restera pas très longtemps dans les catalogues du fait que son scénario met cette fois ci dans le viseur de Williamson, le président et son vice président, pour l'exemple, et d'ou découlera une chasse a l'homme pour tenter de trouver Williamson (le film sera, de par son budget limité de moyenne qualité). 
Bien sur, vu les sujets, on comprend clairement que cette trilogie n'a jamais atteint les salles de cinéma, et fut assez difficile a obtenir en support DVD et BlueRay, quand quelques réseaux VOD et Streaming en ont un peu exploité la notoriété, mais tout en les retirant assez rapidement, une fois leurs potentiels épuisé. Une trilogie qui évidemment n'y va pas avec le dos de la cuillère, mais justement c'est le but. Car si notre tueur est évidemment présenté comme un déséquilibré, son efficacité et sa froideur démontre sa détermination a ce que son message soit bien compris. A voir à l'occasion. 


Directed byUwe Boll
Produced byUwe Boll
Dan Clarke
Shawn Williamson
Written byUwe Boll
StarringBrendan Fletcher
Michael Paré
Shaun Sipos
Lynda Boyd
Robert Clarke
Music byJessica de Rooij
CinematographyMathias Neumann
Edited byThomas Sabinsky
Production
company
Brightlight Pictures
Boll Kino Beteiligungs GmbH & Co. KG
Pitchblack Pictures Inc.
Distributed byBoll KG
Phase 4 Films
Release date
  • August 14, 2009(Phantasmagoria Film Festival)
  • April 29, 2010 (Germany)
Running time
85 minutes
CountryUnited States
Canada
Germany
LanguageEnglish
Rampage: Capital Punishment
Directed by               Uwe Boll

Produced byNatalie Tudge
Written byUwe Boll
StarringBrendan Fletcher
Lochlyn Munro
Mike Dopud
Michaela Mann
Music byJessica de Rooij
CinematographyMathias Neumann
Edited byKelvin Tseng
Production
company
Boll Kino Beteiligungs GmbH & Co.
Distributed byEvent Film Distribution
Phase 4 Films
Release date
  • August 19, 2014
Running time
93 minutes
CountryUnited States
Canada
Germany
LanguageEnglish
Rampage: President Down
Directed byUwe Boll
Produced byUwe Boll
Written byUwe Boll
Brendan Fletcher
StarringBrendan Fletcher
Distributed bySony
Release date
2016
LanguageEnglish

TUCKER : THE MAN AND HIS DREAM (1988)

Dans le grenier, des histoires vraies de gens devenu des symboles de la pourriture des monopoles.


Peu de gens se souvienne de Preston Tucker, un ingénieur américain qui a bien faillit faire de l'ombre au trois géants de l'automobiles américaine, sur la période d'après guerre. Un projet de longue de date pour Francis Ford Coppola, qu'il traînait depuis 1973 ou il espérait il intégré Marlon Brando. Mais en 1976, Coppola voulut prendre une autre orientation en tentant d'innové pour un genre musicale. Mais sa compagnie de production, la fameuse Zoetrope fut devant des difficultés financières et le projet tomba à l'eau. Ce n'est qu'en 1986 que le projet prend forme sur une base plus classique, avec l'aide de son amis et ex associé sur Zoetrope, George Lucas, que "Tucker" pu prendre vie. Et c'est finalement en 1988 que Jeff Bridges campera cet empêcheur de tourner en rond, qui en 1948, créera une révolution dans la construction automobile avec sa Tucker Sevran, un véhicule dans lequel il intégrera des aspects de sécurités que les autres marques n'avaient pas mis en série, préférant parfois faire leurs business en les mettant en option. Mais Tucker va vouloir fabriquer en série, et équipé d'office cette voiture qui allait forcément faire de l'ombre au marché que ce partageait à l'époque Général Motors, Ford, et Chrysler. Les trois géants, voyant leurs marchés menacé par ce nouveau véhicule, à terme, ont tous fait pour mettre des bâtons dans les roues à Preston Tucker, pour les homologations et des permis nécessaires pour la mise sur le marché de sa voiture. Le pot de terre contre le pot de fer, l'issue sera fatale à la marque Tucker qui finira par ne fabriqué que 51 modèle avant de jeté l'éponge. Un film qui osait mettre en évidence ce qui même encore aujourd'hui, est discutable sur les vraies raisons de l'échec, tant cela revient a dire que Tucker a été éliminé par un phénomène de "Trust", c'est à dire de collusion entre grosse compagnie à préserver leurs monopoles, allant jusqu'a éliminé, racheté, ou détruire la concurrence. Une histoire vrai qui malheureusement n'attirera pas les foules, et sera un échec commercial retentissant. Surtout pour un film signé Coppola, et produit par Lucas. Même si le film avait attiré des critiques plutot positives, et même si le film possédait quelques inexactitudes historique, ce fut un coup rude pour son réalisateur. Le film fut de nouveau reparu dans une édition collector en DVD, en 2000, mais depuis, le sujet restant évidemment délicat, le film est un peu oublié et volontairement laisser dans des tiroirs.

V.O.

Directed byFrancis Ford Coppola
Produced byFred Fuchs
Fred Roos
Written byArnold Schulman
David Seidler
Starring
Narrated byBob Safford
Music byJoe Jackson
CinematographyVittorio Storaro
Edited byPriscilla Nedd-Friendly
Production
company
Distributed byParamount Pictures
(USA & Canada)
Metro-Goldwyn-Mayer
(International)
Release date
  • August 12, 1988
Running time
110 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$24 million
Box office$19.7 million

mardi 24 janvier 2017

HIGH RISK (1981)

Dans le grenier, des films grosse artillerie, mais qui finalement, trop mal vieillit, très vite oublié.

1981, le réalisateur Stewart Raffill se voit confié la réalisation de ce "High Risk", film d'action et d'aventure, avec une coproduction américano anglo mexicaine. Du beau monde à la distribution, puisqu'on retrouve James Brolin, Lindsay Wagner, Cleavon Little, Ernest Borgnine, James Coburn et Anthony Quinn. L'histoire de 4 potes, qui dans une amérique ou l'économie commence a aborder une époque de chômage de masse, décide d'aller faire une viré dans une jungle d'amérique du sud, pour aller y piqué 5 millions de dollars. La troupe sera rejoint par des associés, mais l'aventure ne va pas se passé comme prévu. Car s'ils ont l'allure d'un commando, ils n'en sont pas moins des voleurs du dimanche. Un film comme on en faisait avec quelques moyens, mais qui aujourd'hui ont clairement mal vieillit et n'arriveront même pas a être encore diffusé de nos jours sur quelques chaînes de télévisions aux programmes vintages. Un réel film du grenier, comme il en existe un sacré paquet, rare, et donc précieux. Son parcours sera quand même méritant, en ayant tourné un peu partout en amérique centrale et du sud.
Directed byStewart Raffill
Produced byAnuar Badin (producer)
Luigi Cingolani (associate producer)
John Daly (executive producer)
Gerald Green (producer)
Joseph Raffill (producer)
Written byStewart Raffill (writer)
StarringSee below
Music byMark Snow
CinematographyÁlex Phillips Jr.
Edited byTom Walls
Running time
94 minutes
90 minutes (Argentina video)
CountryUnited States, Mexico, UK
LanguageEnglish

PHILADELPHIA EXPERIMENT 2 (1993)

Dans le grenier, des films en suite, sans en être, mais dont on connait la tactique pour une question de business.

"Philadelphia Expériment" est évidemment un classique de la SF et du Fantastique, qui lui vaudra même un remake en 2012. Mais en 1993, soit presque 10 ans plus tard, on a voulu remettre le couvert. Sauf que le réalisateur Stewart Raffill ne reprendra pas les commandes, les laissant a Stephen Cornwell. Idem pour les acteurs, Michael Paré, Bobby Docico et Nancy Allen ne reprendront du service. Du coup, on garde le personnage de David Herdeg qui sera interprété par Brad Johnson, dans une histoire ou notre rescapé de l'expérience de Philadelphie se retrouve mêlé a une conspiration ou un méchant va réussir a reproduire l'expérience en inversé, pour pouvoir envoyer une bombe atomique en 1943 Mais l'expérience va avoir un lien avec David, qui lui aussi va subir un effet qui va le propulsé non pas en 1943, mais dans le monde alternatif qu'aura provoqué cette bombe en 1943. Mais du coup, le film ne trouvera pas d'écho auprès des distributeurs qui ne lui donneront que le marché de la vidéo pour être exploité. Quelques projections en avant première aux USA mais le film ne rentrera pas dans ses frais, et trompera évidemment son monde, tant tous ceux qui avait vu le film de 1984, seront déçu non seulement du film, de l'histoire et de sa réalisation. Mais rassuré vous, le remake de 2012 ne sera pas meilleur si ce n'est pire. Au moins, voilas un film classique qui pour l'instant reste dans son original, le meilleur de la série.

Directed byStephen Cornwell
Produced byMark AminDouglas CurtisPaul HellermanMark Levinson
Written byKim Steven Ketelsen (story), Kevin RockNick Paine
StarringBrad JohnsonGerrit GrahamMarjean Holden
Music byGerald Gouriet
CinematographyRonn Schmidt
Edited byNina Gilberti
Distributed byTrimark Pictures
Release date
  • November 12, 1993
Running time
97 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$5 million
Box office$2,970

PRISONERS OF THE LOST UNIVERSE (1983)


Dans le grenier, des films clairement low cost, qui ne se dégonfle pas.


Nous sommes en 1983, et ce film britannique va tenté de donné le change, avec un budget ridicule. Pourtant, il y a du nom à l'affiche, avec Richard Hatch, plus connu pour être à l'époque l'un des héros de la série Galactica, Key Lenz qui après une carrière chargée dans des films de série B comme commerciaux, continue aujourd'hui a tournée dans pas mal de séries, et John Saxon, star des films indépendants et séries B de l'époque. "Prisoners of the Universe", c'est l'histoire d'une machine qui semble pouvoir aller dans des dimensions parallèles. Mais évidemment, accident, patatras, le professeur disparaît. Et un beau jeune homme et une journaliste, tente après un tremblement de terre, de retrouver le professeur, mais, hop hop hop, disparu. Du coup, ils se disent que la machine a peut être fonctionné, mais, hop hop hop, eux aussi disparaissent. Ils se retrouvent en réalité dans un monde préhistorique, et vont devoir s'en sortir, retrouver le prof, et retourner, non sans mal, dans leurs mondes. Sur le papier, çà fait grand spectacle, mais avec le budget disponible, çà a donné un résultat qui a fait les choux gras des émissions et formats qui se sont amusé a passé des navets pour amusé la galerie. Réalisé par Terry Marcel, le film se baladera de catalogues en catalogues pour finir aujourd'hui dans les tiroirs de la Samuel Goldwyn Company qui ne se fatigue plus a tenté d'en préservé les droits.

V.O.


Directed byTerry Marcel
Produced byHarry Robertson
Music byHarry Robertson
Release date
  • 15 August 1983 (U.S.)
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish

THE BLUE MAN aka ETERNAL EVIL (1985)

Dans le grenier, des petits films oubliés, avec option trou noir.

"Eternal Evil" est l'un de ces petits films disparus, qu'on a même un temps rebaptisé pour sa vente. Datant de 1985, ce film qui portait le titre à l'origine de "The Blue Man", réalisé par George Mihalka nous contait l'histoire d'un directeur d'une chaîne de télévision commerciale, genre télé achat, qui, étant relativement insatisfait dans la vie, décide de pimenté sa vie en expérimentant avec une étrange femme, la projection astrale. Mais le soir, alors qu'il dors, il ne se rend pas compte que sa projection devient alors une meurtrière plutot sanguinolente. Mais le film ne verra pas les salles de cinéma et sera essentiellement destiné au marché de la vidéo, VHS dans un premier temps, et connaîtra même une ré édition en DVD qui sera ré imprimé au fil des ventes du catalogue dont il appartient.
Directed byGeorge Mihalka
Produced byNicolas Clermont (executive producer)
Buck Houghton (producer)
Pieter Kroonenburg (producer)
David J. Patterson (executive producer)
Written byRobert Geoffrion (writer)
StarringSee below
Music byMarvin Dolgay
CinematographyPaul Van der Linden
Edited byYves Langlois
Nick Rotundo
Distributed byNew Century Productions
Release date
1985
Running time
85 minutes
CountryCanada, United States
LanguageEnglish

lundi 16 janvier 2017

HUDSON HAWK (1991)

Dans le grenier, des films issue d'une idée de profit, plutôt qu'une idée simplement, pas bonne. 

Nous sommes en 1991 et sort sur les écrans ce "Hudson Hawk", dirigé par Michael Lehmann, et co écrit par son acteur vedette, Bruce Willis. A cette époque, l'acteur est une star montante, après les succès de "Die Hard" et de son deuxième opus, qui ont lancé l'acteur déjà mondialement apprécié depuis la série "Clair de Lune". Tout naturellement, on veut Willis pour faire du succès. Mais ce "Hudson Hawk" était un projet qui tenait a coeur à l'acteur, du fait que ce film se voulait une comédie d'action, décalée, avec en plus un petit zeste de ce que l'acteur avait aussi entre autre talent, celui de la chanson. Car si l'acteur avec son partenaire s'amuse a minuté leurs coups sur des chansons classiques de variété américaine, il n'en reste pas moins que le film n'a pas été perçu en tant que tels. En réalité, le coté "grain de folie" du scénario et le résultat final n'a pas convaincu la critique, comme le public. Car si le film est complètement décousu dans un scénario improbable et farfelu, c'est surtout un film ou l'on sent que les acteurs se sont en réalité amusé a le faire. Mais on ne fait pas d'omelette sans cassé des oeufs et le film sera un échec commercial cuisant, tous comme le merchandising qui y était rattaché. La critique considéra le film comme ressemblant un peu à un cartoon, à l'humour surréaliste, qui peut être était trop avant gardiste dans son style, ou trop fait par des gens qui se sont fait plaisir en oubliant de faire un film aussi pour le spectateur. Du coup, le film a quasiment disparu des rayons, même s'il a bien subit son édition DVD et Blueray. Mais rare ont été ses diffusions télévisée, au point que, qui s'en souvient désormais, pour ne pas l'oublié définitivement au fond du grenier.

Directed byMichael Lehmann
Produced byJoel Silver
Screenplay bySteven E. de Souza
Daniel Waters
Story byBruce Willis
Robert Kraft
Starring
Narrated byWilliam Conrad
Music byMichael Kamen
Robert Kraft
CinematographyDante Spinotti
Edited byChris Lebenzon
Michael Tronick
Production
company
Distributed byTriStar Pictures
Release date
  • May 24, 1991
Running time
100 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Italian
Budget$65 million
Box office$17.2 million

MAD LOVE (1995)

Dans le grenier, des films de tendances, mais sans plus....

Le genre "road movie" fut très tendance a une certaine époque. Et pas mal de petit films indépendants se sont enfilé dans la brèche comme de "Mad Love". Un titre pas très original en soit, dans la mesure ou ce film de 1995, réalisé par Antonia Bird, nous racontait le coup de foudre d'un jeune homme pour une jeune fille de bonne famille, mais un peu excentrique. Un amour fou, évidemment pas du tous du goût de la famille de la belle, qui entre les pensions et la psychiatrie, n'arriveront pas a calmé les hardeurs de la belle, qui finira par se faire la malle avec son étalon, pour une fuite à travers le pays, ou évidemment, on le devine, çà va laisser derrière eux de la casse. Interprété par Chris O'Donnell et Drew Barrymore, le film fut considéré comme une série B approximative, qui a ses qualités mais pas assez convainquant pour attiré la curiosité ou l'intérêt de la grande distribution. Du coup, le film fera un parcours éclair et finira par être totalement oublié, non sans quand même avoir été rentable avec un très petit bénéfice.
Directed byAntonia Bird
Produced bySteve Golin
David Manson
Written byPaula Milne
Starring
Music byAndy Roberts
Production
company
Distributed byBuena Vista Pictures
Release date
  • May 26, 1995
Running time
93 min.
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$15,453,274

CLUE (1985)

Dans le grenier, des films dit "adaptation de" mais qu'on aurait pu évité.

On le sait, les américains sont prêt a adapté tous et n'importe quoi, tant que çà peu assuré de faire un succès et engrangé beaucoup de dollars. Sauf qu'a ce petit jeu, il y a souvent des perdants plutôt que des gagnants. Et ce "Clue", adaptation du célèbre jeu de société, ne fait pas exception à la règle. Réalisé par Jonathan Lynn et sortit en 1985, le film partait déjà avec un handicape. Celui de devoir être jouer a une condition d'accepter les deux fins. En effet, suivant le déroulement du film, une entracte était organisé afin de permettre aux spectateurs de décidé de quelle fin il était question. Autant dire une logistique que certains cinémas ne pouvaient pas assuré. Du coup, l'exploitation du film fut compliqué, et sa distribution à l'international n'a commencer a ce faire qu'en 1991. Autant dire que peu de pays l'on diffusé. Car même si le film respectait plus ou moins une ambiance digne de ce nom par rapport au jeu (surtout les personnages) et si le casting était quand même assez attractif, le film n'arrivera pas a séduire plus que çà. Résultat, non seulement l'expérience a été un échec mais le film déficitaire. Mais c'était néanmoins une expérience osé pour l'époque, d'offrir une certaine forme d'interaction du spectateur, sur la fin d'un film. Car si à l'origine le projet voulait étendre l'idée a plusieurs fins, seulement deux étaient possibles. Mais le concept ne s'est pas perdu pour autant car un nouveau projet entre la Fox, Hasbro, et les autres tenants de la licence, sont en plein travail d'un projet cinématographique ou au moins d'une franchise qui pourrait utiliser la technologie numérique pour encore plus d'interactivité. 
Directed byJonathan Lynn
Produced byDebra Hill
Screenplay byJonathan Lynn
John Landis
Based onCluedo
by Anthony E. Pratt
Starring
Music byJohn Morris
CinematographyVictor J. Kemper
Edited byDavid Bretherton
Richard Haines
Production
company
Distributed byParamount Pictures
Release date
  • December 13, 1985
Running time
97 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
French
Budget$15 million
Box office$14.6 million