Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

jeudi 24 mars 2016

SERAPHIM FALLS (2007)

Dans le grenier, des films ambitieux mais dont la production ne dépassera pas le stade "prod de télé".

Et pour cause car il passera directement par la case télé. "Seraphim Falls", datant de 2007, et réaliser par David Von Ancken, nous conte l'histoire d'une vengeance, 5 ans après la fin de la guerre civile américaine, ou les deux protagonistes, apprendront qu'ils étaient tous deux, chacun dans un camp, à la bataille de Seraphim Falls. Mais l'un d'entre eux, aura commis l'irréparable, poussant l'autre à le traqué, par vengeance. Un western donc, qui se voulait mettre en scène de tête d'affiches. Pierce Brosnan et Liam Neeson. Un casting de choix, dans un film qui ce voulait minimaliste, pour mettre l'accent sur les caractères des personnages, et bien évidement sur le jeu de deux acteurs confirmés. Mais la critique mitigés, fera hésiter les producteurs a distribuer le film à l’international. Finalement, pour la France, ce sera uniquement par la télévision que le film trouvera son support. Il n'est même pas dit qu'il y est une édition DVD zone 2, ce qui est regrettable pour une film qui mise plus sur les interprétation d'acteurs, que sur la forme classique d'un western, ou çà tire de partout, tels qu'on pouvait encore en faire il y a 30 ans. Mais voilas, même sur le marché américain, le film ne va pas faire d'étincelle, du fait d'une erreur de ciblage. Dommage pour un film qui mettait pourtant deux acteurs en pleine gloire.



Directed byDavid Von Ancken
Produced byBruce Davey
David Flynn
John Limotte
Stan Wlodkowski
Written byDavid Von Ancken
Abby Everett Jaques
StarringLiam Neeson
Pierce Brosnan
Michael Wincott
Xander Berkeley
Tom Noonan
Kevin J. O'Connor
John Robinson
Anjelica Huston
Music byHarry Gregson-Williams
CinematographyJohn Toll
Edited byConrad Buff
Production
company
Distributed bySamuel Goldwyn Films
Destination Films
Sony Pictures Home Entertainment
Release dates
  • September 13, 2006(Toronto International Film Festival)
  • January 26, 2007(United States)
Running time
115 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$1,220,058

THE CONFESSOR (2004)

Dans le grenier, des films ratés dont les ambitions ont fait "ploufs". 

Et pour cause, ce "The Confessor", réalisé par Lewin Webb, dont le titre fut aussi "The Good Shepherd", fut un thriller qui nous racontait une enquête sur des meurtres en série, commis sur des jeunes filles. Enquête qui aura ceci de particulier d'être en parti géré par un prêtre, de par certains éléments qui touchent des rites religieux. Le film, fut présenté au festival de Toronto en 2004, et espérait pouvoir rentré dans la ligné de certains thrillers tendances qui mêlaient crimes et religions. Mais la critique est assassine. Le film est vide, sans substance, et malgré un remontage, sera condamné à la vidéo, et à la VOD dés 2006, sans jamais avoir vu une salle de cinéma en exploitation classique. Un film canadien qui a raté la possibilité a l'acteur Christian Slater de revenir sur grand écran, et qui depuis, reste cantonné a de la série télé, sans jamais avoir de nouveau brillé au cinéma.

Directed byLewin Webb
Produced byGary Howsam
Written byBrad Mirman
StarringChristian Slater
Molly Parker
Stephen Rea
Music byGary Koftinoff
CinematographyCurtis J. Petersen
Edited byNick Rotundo
Production
company
Peace Arch Entertainment Group
Distributed bySony Pictures Home Entertainment
Release dates
  • August 28, 2004(Montréal Film Festival)
  • March 21, 2006 (Canada)
Running time
91 minutes
CountryCanada
LanguageEnglish

LE TAMBOUR (1979)



Dans le grenier, des films cultes mais qui d'une génération a une autre, finissent dans l'oublis. 

"Le Tambour", est un classique, réaliser en 1979 par Volker Schlöndorff, en coproduction franco germano polonaise, il s'agit de l'adaptation de la première partie du roman de Gunter Grass de 1959. Ce film nous conte l'histoire d'un enfant précoce, qui à l'age de trois ans, reçois en cadeau un tambour. Cet enfant, c'est Oskar Matzerath, qui va petite a petit prendre conscience que le monde des adultes est fait de cruautés, de mensonges, de perfidies. Alors, il décide de ne plus grandir. Il se blesse volontairement, et les médecins sont formels. Oskar ne grandira plus. Mais son intelligence elle, lui fera prendre conscience de la cruauté dont il s'affranchira justement au fil du temps, tant pas sa taille, que par son tambour, jusqu'a la période ou le Nazisme va envahir sa Pologne natale, l'emmenant dans un tourbillons de foire, jusqu'au débarquement de Normandie. 

Un film épique, qui trouvera difficilement sa place à l'époque de sa sorti, de par ses 2h15, encore insuffisant pour traiter tous les thèmes du roman d'origine. Faute d'une durée d'exploitation imposée, le film recevra sa palme à Cannes, mais sera un peu décrié dans sa version d'exploitation trop tronqué de passages qui nuiront a sa narration et sa cohérance. Un film qui fut reçu au combien positivement par la critique de l'époque, malgré quelques scènes polémiques, pour un grand public. Recus également dans de nombreux festivals, il rafle au passage quelques prix, comme la palme d'or de Cannes en ex aequo avec Apocalypse Now en 79, et l'oscar du meilleur film étranger en 80. Un film a voir absolument, et si possible dans sa nouvelle version remonté depuis 2009, avec 20 minutes de scène supplémentaires, que le réalisateur offrira à la cinémathèque française, pour les 30 ans du film. Quant au jeune acteur, David Bennent, qui avait 12 ans à l'époque du film, fut très remarqué, jusqu'a jouer à la fois dans une film français, "Canicule", et peu de temps plus tard, dans le "Legend" de Ridley Scott". Moins présent sur les grands écrans depuis, il n'en reste pas moins un visage marquant dans l'histoire du cinéma. Mais le film lui, va peu à peu tombé dans l'oublis, si ce n'est du souvenir de ceux qui l'on vu et aimé. Les nouvelles générations, elles, semblent avoir loupé de chef d'oeuvre.



Directed byVolker Schlöndorff
Produced byFranz Seitz
Anatole Dauman
Written byVolker Schlöndorff
Jean-Claude Carrière
Franz Seitz
Based onThe Tin Drum
by Günter Grass
StarringDavid Bennent
Mario Adorf
Angela Winkler
Daniel Olbrychski
Katharina Thalbach
Charles Aznavour
Music byMaurice Jarre
CinematographyIgor Luther
Edited bySuzanne Baron
Production
company
Distributed byUnited Artists (West Germany)
New World Pictures (US)
Release dates
  • 3 May 1979 (Wiesbaden)
  • 19 September 1979(France)
Running time
142 minutes
162 minutes (Director's cut)
CountryWest Germany
Yugoslavia
Poland
France
LanguageGerman
Hebrew
Italian
Polish
Russian
Box office$2 million (US)

AIRPORT 80 :CONCORDE (1979)



Dans le grenier, des films catastrophes qu'on évite de ressortir du tirroir. 

Il existe un certain nombre de films catastrophe des années 70 et 80, qu'on préfère laisser dans els tiroir. "Airport 80 Concorde", fait partie de ces films que vous ne reverrez peut être jamais. Réaliser en 1979 par David Lowell Rich, ce film est dans la ligné des franchises lancer en 1970, essentiellement constituer de"Airport" (1970), Airport 1975 (1974) et "Airport 77" (1977). Mais ce film avait bien évidement comme élément attractif, le plus rapide avion commerciale du monde, fleuron de l'industrie aéronautique franco anglaise. Et comme pour donner l'accent plus européen a ce film, on mettra au coté de George Kennedy, déjà présent dans la version 77, Alain Delon himself. Bon, çà ne lancera guerre plus sa carrière outre atlantique, mais c'était une façon d'ouvrir certaines productions américaines a des co productions internationale, voir plus spécifiquement européenne. L'histoire se résume a une sombre histoire de vente d'armes illégales, dont un témoin gênant va devoir être éliminer. Peu importe les moyens, même s'il faut détruire l'avion dans lequel il s'est embarqué. Le reste pas besoin de raconté. Mais l'anecdote qui fera que ce film ne sera plus jamais diffusé à la télévision, est qu'en réalité le film emprunta un concorde qui, 21 ans plus tard, sera le même qui s'écrasera le 25 juillet 2000, sur entre autre, un hôtel de Gonesse, prêt de Charles de Gaulle. Le film porte deux titres. "Airport 79" car exploiter en salle en 1979 aux USA, mais arrivant seulement en 1980 en France, il sera retitré pour le marché français par "Airport 80".


Directed byDavid Lowell Rich
Produced byJennings Lang
Written byJennings Lang (story)
Eric Roth (screenplay)
StarringAlain Delon
Susan Blakely
Robert Wagner
George Kennedy
Music byLalo Schifrin
CinematographyPhilip H. Lathrop
Edited byDorothy Spencer
Distributed byUniversal Pictures
Release dates
August 17, 1979
Running time
123 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$14 million
Box office$13,015,688
976,221 admissions (France)

lundi 21 mars 2016

THE GREEN INFERNO (2013)


Dans le grenier, il y a des films qui tentèrent le retour a un genre oublié depuis longtemps.

Eli Roth est sans doute un scénariste, réalisateur et producteur relativement prolifique dans les productions indépendantes. Aussi, quant il lance ce projet de The Green Inferno, c'était sans doute remettre au goût du jour un genre qui avait eu ses heures de gloire dans les années 70 et 80. Le cannibalisme tribale. On se souvient pour les connaisseurs des "Cannibals Ferox" ou autres films de ce genre, qui nous faisait suivre les tribulations d'occidentaux dans une jungle inexplorée à la recherche des dernières tribus primitives. Et évidemment, ils tombent sur celles qui ont encore quelques coutumes auxquelles ils vont "goûter" contre leurs grès. Ici, on retrouve la grande ligne, du fait que ce sont des jeunes activistes qui après une opération contre la déforestation en Amazonie, ont un accident d'avions, dont sortira quelques un d'entres eux. Mais ils sont tombé dans une partie encore obscure de cette jungle, ou ils vont être capturé par une tribu cannibale. Le reste, on connait la chanson, restera peut-être une seule survivante pour raconté son périple. Malgré un tournage assez éprouvant, il en ressort une oeuvre qui donne une nouvelle lecture dans le genre, même si avant cela, d'autre s'étaient essayé a l'exercice. Malheureusement, la teneur du film, et certaines scènes assez soutenues, rendront très difficile la commercialisation et la carrière du film. Pour preuve, cette production à l'origine américano chilienne, sera tous d'abord proposé sur le marché Chilien, dés 2013. Mais il faudra un bouche à oreille et une bonne critique sur internet, pour intéresser des distributeurs américains et européen, qui ne programmeront le film qu'en 2015. En France, le film sortira de façon limité en Octobre 2015, permettant de donner un bon bouche à oreille qui servira la sorti en vidéo. Mais finalement, le film a perdu énormément de son potentiel a cause d'un manque de prise de risque de distributeurs qui ont finalement loupé le coche, sur un film qui a de la tenue, malgré une critique qui sera quand même très mitigés, du fait que certains y ont vu une forme de "colonialisme idéologique sur le retour", du fait de présenté une image négative d'un tribalisme anthropophage qui aujourd'hui choque des âmes sensibles.

TRAILER
Directed byEli Roth
Produced by
Screenplay by
Story byEli Roth
Starring
Music byManuel Riveiro
CinematographyAntonio Quercia
Edited byErnesto Díaz Espinoza
Production
companies
Distributed by
Release dates
  • September 8, 2013 (TIFF)
  • September 25, 2015(United States)
Running time
100 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$5 million
Box office$12.6 million

BEYOND THE VALLEY OF THE DOLLS (1970)

Dans le grenier, des films d'un réalisateurs cultes, parce que un peu spécial sur le bord.

Si le nom de Russ Meyer ne vous dit rien, alors c'est qu'il va falloir que vous révisiez vos classiques. Car pour intronisé ce réalisateur a la patte assez particulière, remontons en 1967 ou il réalise The Valley or the Dolls, une histoire de trois jeunes femmes qui grimpe dans le showbizz, avant d'en redescendre assez rapidement. Un film confidentiel, qui donnera naissance a ce Beyond the Valley of the Dolls, datant tant qu'a lui de 1970, sur a peu prêt la même base mais avec une bande de copines plus nombreuse,  mais qui part des déboires de droits, de scénariste viré, de production dithyrambique, ne sera plus une suite du premier. Car oui, Russ Meyer a aussi laisser les commercial dicté ses réalisations. Car la particularité de Russ Meyer c'est de ne mettre en image que des héroines, que des femmes, et parfois dans des avantages naturels non négligeables, dans un certains nombres de productions plus "osés". Car si Russ Meyer a laisser un héritage au cinéma, Beyond the Valley of the Dolls, reste aussi symbolique que même dans la série B, on en arrive a produire des films qui sont destiné a faire des flops, avant même les premiers tours de caméra. Bancale, peu inspiré, le film fera quand même les choux gras des réseaux de distributions indépendants, les mêmes qui arrosèrent un temps les productions dites "érotiques" avant que le porno ne supplante le marché, pour quelques années, avant que la mort de ce marché ne soit signé par la vidéo. Mainte fois, Meyer a frôler les censures aux USA, comme en France, jusqu'a ce que la 20th Century Fox rompt son contrat avec Meyer. Du coup, aujourd'hui, sa filmographie est en effet difficile a obtenir si ce n'est par des réseaux anglophones. Un des films qui sera l'un des plus soft, mais le plus initiatique de l'univers de Meyer, un réalisateur qui aura marqué son temps, avec ses "plantureuses" satires, volontairement tourné avec dérision, mais qui aujourd'hui, n'a pas d'équivalent.

Directed byRuss Meyer
Produced byRuss Meyer
Screenplay byRoger Ebert
Story byRuss Meyer
Roger Ebert
StarringDolly Read
Cynthia Myers
Marcia McBroom
Erica Gavin
John LaZar
Michael Blodgett
David Gurian
Music byStu Phillips
CinematographyFred J. Koenekamp
Edited byDann Cahn
Distributed by20th Century Fox
Release dates
  • June 17, 1970 (United States)
Running time
110 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$2.09 million
Box office$40 million[

lundi 14 mars 2016

V.I. WARSHAWSKI (1991)

Dans le grenier, des tentatives de franchise ratée. 

Nous sommes en 1991 et débarque sur nos écrans, "V.I. Warshawski" .... un titre qui finalement, sera accompagné dans son titre français par "Un Privé en Escarpins". Adaptation libre de l'œuvre de la romancière américaine Sara Paretsky, le film se voulait un combiné de ce qu'était le personnage des romans, modernisé, dépoussiéré pour en faire un personnage digne d'une franchise, à l'image des John Mc Clane ou des Axel Foley. Sauf que le choix de Kathleen Turner dans le rôle titre, ne suffira pas au plantage du film. En effet, l'actrice était en pleine gloire après ses deux "Diamants" avec Michael Douglas, et le "Peggy Sue c'est marrié". Mais l'éloignement prit par rapport au personnage original des romans a très vite été décrié. Du coup, malgré une communication importante, le film fit un flop et dissuada de ne pas renouvelé l'entreprise, mettant définitivement un terme au projet de développer une franchise. Du coup, le film fut en parti amortis surtout sur les ventes de vidéo, et même encore aujourd'hui, on tente de chercher de l'amortissement avec une version Blue Ray sorti en 2011. Comme quoi, même plus de 20 ans après, on tente tous ce qui peu être possible pour faire rentré dans ses frais un film qui a été pur perte.

Directed byJeff Kanew
Produced byPenney Finkelman Cox
Jeffrey Lurie
Screenplay byEdward Taylor
David Aaron Cohen
Nick Thiel
Based onDeadlock by Sara Paretsky
StarringKathleen Turner
Jay O. Sanders
Charles Durning
Music byRandy Edelman
CinematographyJan Kiesser
Edited byDebra Neil-Fisher
Carroll Timothy O'Meara
Production
company
Hollywood Pictures
Chestnut Hill Productions
Distributed byBuena Vista Pictures
Release dates
  • July 26, 1991
Running time
89 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$24 million
Box office$11,128,309 (USA)

PEOPLE : JET SET 2 (2004)

Dans le grenier, des suites qui n'en sont pas, ou presque, mais qu'on aurait pu éviter. 

"People : Jet Set 2", datant de 2004, est le pur exemple de ce que des producteurs aiment a faire sans réflechir. Jet Set, le premier film datant de 2000, avait eut son petit succès. Mais en 2003, le réalisateur Fabien Onteniente ce laisse convaincre d'une suite. Mais comme les droits étaient passé de Bac Film a Mandarin Film, c'est M6 qui va pousser a vouloir offrir au public une suite, dans un pure profil commercial. Sauf que tous commence a partir en vrille. Scénario bancale, refus de Samuel LeBihan de reprendre son rôle, tous comme Bruno Solo, du coup, il faut trouver une autre orientation. Lambert Wilson, Ornela Mutti, et José Garcia accordent leurs décisions sur un retour, dont seul les deux premiers retrouveront leurs rôles initiaux, Garcia étant désormais "l'appel d'offre" de l'affiche. En effet l'acteur est depuis monté en grade et fait vendre. Rupert Everett fera donc l'apprentissage dans le role de Charles de Poulignac , qui après un événementiel raté, va essayer de ce refaire une image auprès de la jet set, par le biais de John John, roi de la fête, tendance des nuits d'Ibiza. Mal écrit, caricatural a souhait, les personnages sont trop grotesques et le film ne prendra pas auprès du public. Surjouer, même le personnage de Garcia ne fait pas rire, voir même ennuis du trop d'excès. Le film est un échec et sera très vite oublié, n'offrant pas l'opportunité d'envisagé un troisième film qui pourtant aurait bien tenté les producteurs pour en faire une franchise.



JOE CONTRE LE VOLCAN (1994)



Dans le grenier, le premier d'une tradition.

Tom Hanks, Meg Ryan, ce fut la recette de la comédie romantique par excellence. Qui n'a pas vu au moins l'un de ces films ou les deux acteurs faisaient la joie d'une clientèle particulièrement attiré par ces histoires à l'eau de rose. Datant de 1990, "Joe contre le Volcan", dont pour une fois le titre français restera fidèle au titre anglais, est peu connu en France mais est devenu culte aux USA. Du fait qu'il sera considérer comme le renouveau des films comédie romantique, qui justement donnera l'idée a des producteurs de continuer a réunir les deux acteurs dans d'autres comédies du même genre, surtout grâce a la popularité montante de Tom Hanks qui deviendra l'un des acteurs les plus bankable depuis prêt de trente ans. L'histoire des péripéties d'un homme a qui on apprend qu'il va mourir, et qui accepte d'être une offrande à un volcan, pour une tribu. En échange, il pourra satisfaire a toutes ses  folies, avant le grand saut. Sauf qu'évidemment, il va faire la connaissance d'Angelica qui va changer toutes les donnes.... bref, un film qui aurait pu rebuter, s'il n'y avait pas eu parmi les producteurs, une certaine compagnie du nom d'Amblin, celle de Steven Spielberg qui à l'époque, n'était jamais très loin pour supervisé ses projets dont il n'effectuait pas lui même la réalisation. Commandé par Warner, la communication de l'époque ne fera pas décollé le film outre mesure. Mais ce ne sera que lors du deuxième film avec le tandem Hanks Ryan, "Nuit blanche a Seattle" que le public réhabilitera ce film pour en faire un film culte. Le tandem récidivera en 1998 avec "Vous avez reçus un message" qui fit un tabac, restant le dernier film dans lequel Ryan et Hanks partageaient la vedette. Aujourd'hui encore, même si le film a considérablement vieillit, il reste un de ces films constamment diffusé et rediffusé à la télévision, alors qu'en France, ce film a été complètement oublié.



Directed byJohn Patrick Shanley
Produced byTeri Schwartz
Written byJohn Patrick Shanley
Starring
Music byGeorges Delerue
CinematographyStephen Goldblatt
Edited by
Production
company
Distributed byWarner Bros.
(Time Warner)
Release dates
  • March 9, 1990 (USA)
Running time
102 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$25 million
Box office$39,404,261

THE COWBOY WAY (1994)

Dans le grenier, des films aux clichés évidents. 

Alors en pleine ascension, Woody Harrelson et Kiefer Sutherland n’échappèrent pas a cette tradition de devoir accepter des rôles par contrats. "Cowboy Way" datant de 1994, est une comédie policière dont personne ne ce rappel de la diffusion en salle en France, et qui jonglait déjà avec un petit choc culturel avec ces deux personnage d'une Amérique profonde et traditionnelle, face a la bouillante et cosmopolite cité de l'est, la ville qui ne dort jamais. Car ici ce sont deux cowboys du Nouveau Mexique, qui vont faire le "ride" vers New York pour tenter d'aider l'un de leurs amis et sa fille. Une oeuvre qui n'aura pas marqué les esprit, si ce n'est une bande originale qui reste, avec entre autre "Good Guys Don't Always Wear White" , par Bon Jovi. Coproduit par une certain Brian Grazer, ce film jonglait en réalité sur la confrontation entre une Amérique ouverte, cosmopolite (New York) et l’Amérique profonde, traditionnelle, conservatrice, dont on peu imaginé que les situations ne sont pas si éloigné de ce qu'avait déjà mis en image l'australien Paul Hogan avec ses Crocodile Dundee. Mais malgré un démarrage plutot prometteur au box office, le film va très vite prendre sa claque, car jugé trop cliché, trop caricaturale, pour finalement retombé très vite, jusqu'a ce que ses recettes finissent par ne pas compenser son investissement. Un échec commercial qui ne sera pas compenser à l'international, tant le film avait traîner derrière lui une critique assez mauvaise. Puis finalement, le film finira aux oubliettes.


Directed byGregg Champion
Produced byBrian Grazer
Written byRob Thompson
StarringWoody Harrelson
Kiefer Sutherland
Dylan McDermott
Ernie Hudson
Music byDavid Newman
Bon Jovi (songs)
CinematographyDean Semler
Edited byMichael Tronick
Production
company
Distributed byUniversal Studios
Release dates
June 3, 1994
Running time
107 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$35 million
Box office$20,277,185