BENEATH HILL 60 (2010)

Dans le grenier, des films de guerre, sur des actes héroïques.

"Beneath Hill 60" est un petit film australien réalisé par Jeremy Sims, et datant de 2010, qui nous conte l'histoire de sapeur australien durant la guerre 14-18, qui, coincer comme les français et britanniques, décide de miné les positions allemandes. La tactique ; creusé des galeries vers les positions allemandes afin de miné les bunkers allemands et tenté d'offrir à la surface, une percé pour l'infanterie. Un film qui tente évidemment, avec un petit budget, de raconter une partie de ce que fut la première guerre mondiale. C'est à dire cette tactique qui consistait a creuser des sous terrain vers les positions ennemis, placé des charges d'explosifs suffisamment puissante, pour percé le lignes ennemis. Mais évidemment, comme beaucoup de films australiens, ceux ci reste confiné généralement a une exploitation anglo saxonne, qui se résume a des pays comme la Nouvelle Zélande, la Grande Bretagne, les USA et le Canada. Pourtant, le film reçu pas mal de récompense dans des festivals locaux, mais ne donna pas apparemment l'envie a des distributeurs étrangers d'acquérir les droits d'exploitations, malgré une critique tout aussi appréciable. Puis aussi, le film est doté d'acteur peu connu à l'échelle internationale, et du fait, difficilement vendable commercialement. Du coup, on se contentera d'édition DVD, et VOD à l'occasion que quelques réseaux qui en auront acquis les droits audiovisuels.

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Directed by	Jeremy Hartley Sims
Produced by	Bill Leimbach
Written by	David Roach
Starring	Brendan Cowell Gyton Grantley Aden Young Bella Heathcote Jacqueline McKenzie Anthony Hayes Steve Le Marquand
Music by	Cezary Skubiszewski
Cinematography	Toby Oliver
Edited by	Dany Cooper
Distributed by	Paramount Pictures
Release date	15 April 2010
Running time	122 min
Country	Australia
Language	English
Budget	A$8,140,500[1]
Box office	$3,440,939

NIGHTMARE (1964)

Dans le grenier, des films noir et blanc, et alors ? 

On va pousser un peu plus loin dans le temps, en remontant cette fois ci en 1964, âge d'or d'une certaine compagnie de production britannique, la Hammer. Tous cinéphiles de cinéma de genre, connait cette compagnie qui offrit bon nombre de grand classique de l'horreur et du fantastique, et ou également de grand nom ont également officié, comme Christopher Lee, Peter Gushing, ou Vincent Price. Ici, il s'agit d'un film connu des uns, classique pour les autres, inconnu pour les nantis. "Nightmare" réalisé par Freddie Francis, relatait l'histoire d'une jeune fille, tourmenté par ce qu'elle a connu par le passé, c'est à dire l'assassinat de son père par sa mère. Internée, puis devenu adulte, elle est recueillit par son tuteur. Mais encore fragile, notre siphonnée du bocal fait de nouveau des cauchemars. Mais jusque là, la situation est gérable. Jusqu'au jour ou son tuteur lui présente sa femme, qui, a cause d'une ressemblance va déclencher un vrai carnage. Bien sûr, c'est du noir et blanc, bien sûr le jeu des acteurs est d'époque, mais on ne peu pas passer dans les films du grenier sans être initié a ces films qui ont fait tout une époque, que dis je, tout une culture dans le genre fantastique. Et nous reviendront bientôt sur la Hammer dans une vidéo consacrée a cette société.

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Directed by	Freddie Francis
Produced by	Jimmy Sangster
Written by	Jimmy Sangster
Starring	David Knight Moira Redmond Jennie Linden
Music by	Don Banks
Cinematography	John Wilcox
Edited by	James Needs
Production company	Hammer Films
Distributed by	Rank Organisation (UK) Universal Pictures (US)
Release date	19 April 1964 (UK) 17 June 1964 (US)
Running time	83 mins
Country	United Kingdom
Language	English

RATS : NIGHT OF TERROR (1984)

Dans le grenier, des films qui voulait croire faire le taff, mais .... non !

Petite série B franco italienne, pour se mettre en bouche, avec "Rats Notte di Terrore", qui fut traduit en "Rats, terreur à Manhattan". Réalisé par Bruno Mattei, clairement, on a affaire a l'une de ses daubes des années 80, qui croyait pouvoir donner l'illusion. Déjà, on est 225 ans après la bombe, ou deux civilisations survivantes s'affrontent. L'une qui a décidé de rester sous terre, pour se protégé des radiations, l'autre, qui un jour a décidé de sortir et de reprendre le cours de l'humanité. Ceux de la surface décidant alors d'aller dans une ville non loin de là, pour y trouver de la nourriture. Mais la nuit, ils vont devoir affronté une nouvelle espèce de rats mutants, qui ont apparemment très faim, eux aussi...  Autant dire qu'on est quand même dans du délire pur, avec évidemment un budget ridicule, des acteurs aussi mauvais, et une photo tout aussi catastrophique, dans des décors qui reniflent le crédible a plein nez (225 ans, et c'est encore debout). Bref, du cinéma post apocalyptique comme on en fait plus, tellement se serait un suicide financier, comme commercialement invendable. Mais en 1984, il y avait un marché de la vidéo qui était preneur de ce genre de film, pour remplir les rayons. Et ceux de ma génération qui ont fréquenté les vidéos clubs se souviennent du nombre de fois ou l'on s'est fait avoir par une super jaquette.

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VF

Directed by	Bruno Mattei Claudio Fragasso
Screenplay by	Claudio Fragasso Bruno Mattei
Story by	Bruno Mattei
Music by	Luigi Cecarelli
Cinematography	Franco Della Colli
Production companies	Beatrice Film IMP.FX.CI
Release date	1984
Running time	96 minutes
Country	Italy France

EDEN LOG (2007)

Dans le grenier, de films de SF made in France, un peu trop... trop quoi ! 

Depuis les années 2000, le cinéma français s'est considérablement dévergondé par rapport au cinéma de genre, et plus particulièrement SF. Certes, avant, c'était compliqué, car généralement, les budgets étaient difficile a monté pour tenter de donner des résultats satisfaisant. Et puis il faut aussi dire que dans le cinéma français, il y a dans les hiérarchies des gens qui n'aiment pas le cinéma de genre, ce qui vaudra d'ailleurs a Besson de ne pas pouvoir tourner son "5ème Elément" en France, du fait d'aucun effort dans les institutions, pour aider cette production entièrement assumé par Gaumont, à l'époque. Mais avec le temps, on a quand même eut des percés. Certes, pas forcément très convaincantes, comme ce "Eden Log" qui date de 2007, et réalisé par Franck Vestiel. Le film contait l'histoire d'un homme complètement amnésique, et qui va tenté de se sortir d'une sorte de complexe souterrain, en remontant petit à petit les niveaux, non sans avoir quelques ennuis avec semble t-il une entité qui le pourchasse. Visuellement le film est intéressant, car on voit quand même des efforts pour donner l'illusion. Mais le film manquant cruellement de rythme, a finit par ne pas être soutenu. 

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Directed by	Franck Vestiel
Produced by	Cédric Jimenez
Written by	Franck Vestiel Pierre Bordage
Starring	Clovis Cornillac Vimala Pons
Music by	Seppuku Paradigm
Cinematography	Thierry Pouget
Edited by	Nicolas Sarkissian
Production company	Impéria Films
Distributed by	Bac Films (France) Magnolia Pictures (United States)
Release date	26 December 2007(France)
Running time	101 minutes
Country	France
Language	French

VIRTUAL REVOLUTION (2016)

Dans le grenier, des films qui tentent bien mais sans vraiment convaincre.

Il existe comme çà des films qui arrivent, qui viennent de nul part, et qui reparte aussi vite, sans laisser de trace. C'est un peu ce que ce "Virtual Revolution" a connu. Apparu sur les écrans en Octobre 2016 en France (coproduction franco américaine), il avait tenté de frisé les moustaches de l'exploitation américaine 4 mois plus tôt, sans laisser de trace. Du coup, comment raconté que ce film nous parlait d'une histoire d'un tueur opérant dans des univers virtuels pour le compte d'une des multinationales propriétaires de ces mondes virtuels ou les gens sont désormais de plus en plus connecté. Une chasse à l'homme dans le virtuel, basculant de monde différent a un autre, l'environnement aurait pu donner quelque chose de sympas, mais..... non. La preuve, c'est que même les cinéphiles qui sont parmi vous, ne l'on même pas vu passé. Pourtant, étrangement, ce film a reçu pas mal de prix dans des festivals plus ou moins spécialisés.

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Directed by	Guy-Roger Duvert
Written by	Guy-Roger Duvert
Starring	Mike Dopud Jochen Hägele Maximilien Poullein Kaya Blocksage Jane Badler
Production company	Lidderdalei Productions
Release date	2016
Running time	92 minutes
Country	United States

LET SLEEPING CORPSES LIE (1974)

Dans le grenier, des films avec un fantastique, bien latin.

Nous sommes en 1974, et c'est  ce "No Profanar El Sueno De Los Muertos", coproduction italo espagnol qui va nous emmener en Grande Bretagne, ou des scientifiques font une expérience a coup d'ultra son. Un antiquaire, décide de partir en vacance sur sa moto mais tombe en passe. Là il rencontre une charmante damemoiselle qui a va accepter de le dépanné. Profitant de l'endroit reculé et calme, notre homme décide de rester quelques temps, malgré la soeur un peu spéciale. Sauf que l'expérience, va avoir des conséquence, dirons nous, néfaste dans ce petit coin bien tranquille, trop tranquille. Ici, on a évidemment un pure produit de ce que l'on a pu déjà voir dans les films du grenier, c'est à dire un film qui a des allures anglo saxon, alors qu'en réalité il s'agit bien d'une production latine. Marquant évidemment l'influence d'un cinéma américain sur cette époque ou le cinéma italien comme espagnol n'était pas au mieux de leurs formes, même si encore une fois, les talents ne manquaient pas dans le cinéma de genre. Nous parlons évidemment de cette crise due à la télévision et l'avènement de la vidéo, marché qui va émergé une nouvelle forme de crise pour le cinéma. Toutefois, ce petit film arrivera a passer en salle tant en Espagne qu'en Grande Bretagne, mais aussi aux USA. Bien sûr nous somme dans une narration typiquement seventie's, avec en bonus, une scène qui fit la légende concernant un étripage relativement sanglant. Mais avec le temps, ce film a finit par tomber dans l'oublis, et même son passage en France, sous le titre "le Massacre des Morts Vivants" n'aura pas marqué les mémoires.

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Directed by	Jorge Grau
Produced by	Manuel Pérez Edmondo Amati
Written by	Juan Cobos Sandro Continenza Marcello Coscia Miguel Rubio
Starring	Cristina Galbó Ray Lovelock Arthur Kennedy
Music by	Giuliano Sorgini
Cinematography	Francisco Sempere
Edited by	Domingo García Vincenzo Tomassi
Distributed by	Hallmark Releasing Corp. (US) Ambassador Film Distributors (CA)
Release date	November 28, 1974 (Italy)
Running time	95 minutes
Country	Spain Italy
Language	English

THE TOMB (1986)

Dans le grenier, des films qui ont bien tenté l'adaptation libre, mais peut être trop libre !

The Jewel of the Seven Stars est un roman de Bram Stoker, publié en 1903, et qui servit comme base pour concevoir le scénario de ce "The Tomb" datant de 1986, et réalisé par Fred Olen Ray. Un aventurier réussit a récupéré des artefacts dans une tombe égyptienne sans nom. De retour aux USA, il vend quelques uns de ceux ci. Mais une jeune femme débarque a son tour et est bien déterminé a récupéré ce qui lui appartient.... En gros, on l'a compris, c'est du déjà vu, qu'on a vu et revus, dont d'ailleurs récemment avec ce "Mummy" avec Tom Cruise. Sauf qu'ici on est dans du petit budget qui trouve quand même le moyen de se payé John Carradine (qui n'en est pas a son premier film de série B d'ailleurs), et Sybille Danning, grande égérie de l'époque, des films de seconde zone, réputée aussi pour sa plastique non négligeable. Mais le film lui, est tellement médiocre que c'est le marché de la vidéo qui l'attendra. Et a en voir le contenu, on comprend vite pourquoi ce film a été oublié.

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Directed by	Fred Olen Ray
Produced by	Fred Olen Ray Ronnie Hadar Paul Hertzberg Richard Kaye
Written by	Kenneth J. Hall T.L. Lankford
Starring	Cameron Mitchell John Carradine Sybil Danning
Music by	Drew Neumann
Cinematography	Paul Elliott
Edited by	Miriam L. Preissel
Production company	Trans World Entertainment
Distributed by	Trans World Entertainment
Release date	October 31, 1986
Running time	84 minutes
Country	United States
Language	English

THE DAY TIME ENDED (1980)

Dans le grenier, des films qu'on se dit "bon sang, fallait être motivé".

Faire du fantastique au cinéma, il fut une époque ou il fallait, soit avoir de gros budgets, soit avoir du génie. Ce "The Day Time Ended" n'a ni l'un, ni l'autre. Du coup, ce film de 1980, donne plutôt l'impression d'avoir été tourné dans les années 60, tant les effets spéciaux sont d'un autre âge, tant la mise en scène est fouillis, tant on a du mal a croire que les producteurs ont été satisfait du produit finit. L'histoire, elle aussi, est tout aussi improbable ; un père va chercher ses enfants et petits enfants à l'aéroport, et les ramènes chez lui, en plein désert, dans sa maison hyper écolo, avec panneau solaire et tous et tous. Sauf q'un extraterrestre débarque, et les transportes à l'époque préhistorique. Comment alors revenir a leur époque tout en affrontant les monstres ? Donc vous voyez, déjà même vous, vous vous dites "c'est quoi cette merde". Et bien c'est exactement ce que les rares gens qui le virent a cette époque, se sont dit. Mais quant on constate que parmi les producteurs, se trouve un certain Charles Band, on comprend tout de suite que c'est budget limité, et qu'on est bien dans de la série B du crue. Bonne chance !

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Directed by	John 'Bud' Carlos
Produced by	Charles Band Paul Gentry Steve Neill Wayne Schmidt
Written by	Steve Neill Wayne Schmidt Larry Carrol
Starring	Jim Davis Dorothy Malone Christopher Mitchum Scott Kolden
Narrated by	Jim Davis
Music by	Richard Band
Cinematography	John Arthur Morrill
Edited by	Ted Nicolaou
Distributed by	Compass International Pictures
Release date	November 1980  July 31, 1981
Running time	79 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$600,000

IT'S ALIVE (2008)

Dans le grenier, des films en guise de remake, mais dont on a complètement oublié l'existence. 

On arrive par moment a ne plus se souvenir de ce qui a pu être fait en matière de remake. Et c'est le cas de ce remake de 2008, "It's Alive", qui a tenté de redonner du sang nouveau à sa version de 1974. Réalisé par Josef Rusnak, cette production américaine a voulu dépoussiéré son original, mais sans y parvenir. Au point même que le réalisateur de l'oeuvre d'origine Larry Cohen, a jugé se remake comme relativement indigeste, du fait qui ne réinvente rien, de réimagine rien, et n'a même pas le courage d'innové dans un style artistique, qui aurait pu au moins faire la différence. A coté de cela, on a un film insipide, sans intérêt, qui ne dépasse pas la qualité d'un simple téléfilm. Echec commercial, le film atterrira directement en vidéo dans le marché international.

TRAILER 

Directed by	Josef Rusnak
Produced by	Marc Toberoff Robert Katz
Screenplay by	Larry Cohen Paul Sopocy James Portolese
Based on	It's Alive by Larry Cohen
Starring	Bijou Phillips James Murray Owen Teale Jack Ellis Skye Bennett Arkie Reece Todd Jensen Raphaël Coleman
Music by	Nicholas Pike
Cinematography	Wedigo von Schultzendorff
Edited by	Alain Jakubowicz Patrick McMahon
Distributed by	Millenium Films
Release date	April 20, 2009
Running time	80 minutes
Country	United States
Language	English
Box office	$957,897

CITADEL (2012)

Dans le grenier, des films avec de l'idée, mais manquant d'ambition.

En 2012, le réalisateur irlandais Ciaran Foy, offrait ce petit film fantastique basé sur un concept assez original. Un jeune homme perd dramatiquement sa femme enceinte, alors vivant dans cet immeuble que les années ont marqué. Il ne se remettra pas de cette perte et deviendra agoraphobe, au point de vivre reclus dans son appartement avec son enfant, rescapé du drame de sa femme. Mais quelques choses rodent dans cet immeuble, comme si cet immeuble était devenu une citadelle renfermant en réalité un lourd secret. Un secret dont un prêtre a peut être la réponse. Si sur le papier, le scénario semble tentant, sur l'écran, le résultat déçoit rapidement, tant par sa narration que par sa mise en scène parfois un peu désordonnées. Du coup, la critique va être très mitigé, entre tenté de sauvé ce petit film irlandais qui veut jouer dans la cour des grands, mais sans avoir finalement l'ambition et la carrure suffisante pour convaincre.

TRAILER

V.F.

Directed by	Ciaran Foy
Produced by	Katie Holly Brian Coffey
Written by	Ciaran Foy
Starring	Aneurin Barnard James Cosmo Jake Wilson Wunmi Mosaku
Music by	tomandandy
Cinematography	Tim Fleming
Edited by	Tony Kearns Jake Roberts
Production company	Blinder Films Citadel Films
Release date	11 March 2012(South by Southwest Film Festival)
Running time	84 minutes
Country	Ireland
Language	English

Les Films du Grenier - S01e16 - Les Censurés

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DEATH WISH V : THE FACE OF DEATH (1994)

Dans le grenier, des films de fins de carrière, comme signature d'un adieu.

Qui ne se souvient pas du "justicier dans la nuit", de son titre original "Death Wish", qui remonte a 1974, et ou Charles Bronson incarnait Paul Kersey, personnage emblématique d'un genre qu'on qualifiera par la suite de "vigilante", c'est à dire la loi du Talion, oeil pour oeil, dent pour dent. Une image qui finira par coller à la peau de Bronson durant les décennies qui suivront, jusqu'a incarné 5 fois ce personnage dans des films assez disparates, et inégaux dans leurs styles. Et c'est en 1994 que Allan A. Goldstein offrira sa réalisation d'un "Death Wish V" sous titré "The Face of the Death" ou cette fois-ci, Kersey va devoir affronter l'ex maris de son actuelle nouvelle amie, homme violent et puissant de surcroît. Mais même s'il s'agit du 5ème opus, il y a déjà depuis longtemps que les aventures du justicier n’intéressent plus grand monde. Pire ! Non content d'avoir fréquenté peu de salle, la franchise avait été racheté à l'époque par une certaine compagnie du nom de 21th Century Film Corporated, appartenant a Menahem Golan. Oui, le même de la Cannon Inc, qui justement avait été mise en faillite la même année que ce film, alors qu'il avait justement quitter celle ci 4 ans plus tôt pour créer "21th". Croyant se faire du blé sur papy Bronson, le film sera un désastre, et mettra un terme aux aventures de Kersey au cinéma. Ce sera aussi la dernière fois que Charles Bronson apparaîtra au cinéma, avant trois téléfilms (the Family Cops en 95, 97 et 99) qui l’amèneront à mettre un terme a sa carrière pour des raisons de santé, avant de nous quitter en 2003 à 81 ans. Une façon finalement pour l'acteur d'avoir terminé sa carrière cinématographique avec le personnage le plus symbolique de sa carrière, entre autres 90 films et téléfilms.

TRAILER

V.O.

Directed by	Allan A. Goldstein
Produced by	Damian Lee
Screenplay by	Allan A. Goldstein
Story by	Michael Colleary Allan A. Goldstein
Based on	Characters by Brian Garfield
Starring	Charles Bronson Lesley-Anne Down Michael Parks Saul Rubinek Ken Welsh
Music by	Terry Plumeri
Cinematography	Curtis Petersen
Edited by	Patrick Rand
Production company	21st Century Film Corporation
Distributed by	Trimark Pictures
Release date	January 14, 1994 (US)
Running time	95 minutes
Country	United States
Language	English
Budget	$5 million
Box office	$1,702,394

MILLE MILLIARDS DE DOLLARS (1982)

Dans le grenier, des films connus, mais dont on a jamais revue le bout du nez depuis longtemps.

Il existe comme çà des films qui ne sont ni des série B, ni des navets, bien au contraire. Mais parce qu'il aborde des sujets à la corde sensible, on ne s'aventure plus trop a en parler, a les rediffuser, ou a les promouvoir dans quelques nouvelles éditions vidéo. Et c'est le cas de certains films français dont ce "Mille Milliards de Dollars", réalisé par Henri Verneuil avec une star montante du cinéma français, Patrick Dewaere. Nous sommes en 1982, et a cette époque, le cinéma français osait plus ouvertement aborder des sujets qui sont devenu beaucoup plus délicat aujourd'hui à aborder dans du cinéma grand public. Car si les anciennes générations se souviennent de ce film, les moins et plus jeunes l'ont sans doute jamais vu, voir même, n'en on jamais entendu parlé. Et pour cause, puisque ce film dénonçait déjà à l'époque, les pouvoirs du lobbying et des multinationale, tant dans le contrôle des médias que sur l'influence politique. Car l'histoire est celle d'un journaliste qui, par une source anonyme, va mettre le doigt sur une affaire de pot de vins, dans le rachat d'une société française par une multinationale. Publiant l'article, le PDG incriminé est retrouver mort quelques jours plus tard. Suicide, selon les autorités. Mais notre journaliste va aller plus loin contre vents et marrées, se retrouvant non seulement seul (du fait de pression sur les rédactions des grands journaux nationaux) et menacé. Que cache en réalité cette affaire ? Paul Kerjean va le découvrir, et a entre les mains ce qui va éveiller les consciences sur une prise de pouvoir d'une organisation secrète,  sur nos libertés, nos mode de vie, nos démocraties. Menacé de toute part, la seule issue pour Kerjean est de publié son article explosif dans le petit journal locale, celui de sa famille. Autant dire que lorsqu'on voit le film, on se rend compte que finalement, Verneuil avait été visionnaire et lucide sur le devenir du capital sur nos sociétés, et surtout sur une liberté de la presse. On comprend mieux à la vision de ce film, pourquoi il n'est quasiment pas rediffuser sur une télévision française, et qu'il est relativement difficile de le trouver en vidéo. A voir absolument, car malgré son style très classique, il n'en reste pas moins d'actualité, 40 ans plus tard. A noter que ce film sorti en salle en février 1982, sera l'un des trois dernier de Dewaere, qui se suicidera en juillet de la même  année.

TRAILER 

Directed by	Henri Verneuil
Produced by	Henri Verneuil
Written by	Henri Verneuil
Music by	Philippe Sarde
Cinematography	Jean-Louis Picavet
Edited by	Pierre Gillette
Release date	10 February 1982
Running time	132 minutes
Country	France
Language	French
Box office	$8.9 million

THE LAST DAYS OF PLANET EARTH (1974)

Dans le grenier, des films qui alerte, mais qui date quand même beaucoup.

1974, le réalisateur japonais Toshio Masuda offrait son huitième film, et non des moindres. "La fin du Monde : Nostradamus", ou dans son titre anglais, "Prophecies of Nostradamus". L'histoire de scientifique qui déjà alerté par des problèmes environnementaux, sont appeler a aller sur une île, ou des phénomènes étranges ont été relaté, avant que l'expédition précédente ne finisse par ne plus donné vie. Parmi eux, le professeur Nishiyama, qui, accompagné d'un jeune photographe qui se trouve être aussi son gendre, vont retrouver l'équipe sur cette île de Bornéo. Mais des mutations, des dangers environnementaux, ont disséminé l'équipe précédente, retrouver a l'état de zombie, ou en décomposition, encore en vie, mais sans conscience. De retour au Japon, Nishiyama n'a pas le temps d'alerté les autorités, qu'un accident avec un super jet, provoque un  incident gigantesque qui va faire des milliers de victimes, brûler par l'émanation d'un gaz toxique dans l'atmosphère. Puis interviennent des phénomènes inquiétant qui alerte la population qui se rend compte que le monde est en train de mal tourné. Convoqué en réunion d'urgence, Nishiyama explique alors l'issu de ce que le monde pourrait connaître si la communauté internationale ne changeait pas ses politiques. Le parallèle de tous ces événements, seront étrangement lié aux prophéties de Nostradamus. Certes, plus de 40 ans plus tard, ce film a complètement perdu son intérêt, tant narratif, qu'au niveau visuel et narratif, même si le fond reste pourtant d'actualité. Pourtant ce film a son époque, fut un succès commercial au Japon, et connu même une distribution américaine sous le titre de "The Last Day of Planet Earth". En France le film connaîtra une exploitation très très limité, avant de finir en réalité sur le marché de la vidéo, avec des tirages malheureusement de très mauvaises qualités. Aujourd'hui encore, il est très difficile d'en trouver une version vidéo restauré, parmi les différents format de 90 ou 88 minutes qui furent proposer tant sur le marché américain qu'européen.

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Directed by	Toshio Masuda
Produced by	Tomoyuki Tanaka Osamu Tanaka[1]
Screenplay by	Toshio Yasumi
Based on	A novel by Tsutomu Goto
Starring	Tetsuro Tamba
Music by	Isao Tomita[2]
Cinematography	Rokuro Nishigaki[2]
Production companies	Toho-Eizo Toho[2]
Distributed by	Toho
Release date	3 August 1974 (Japan)
Running time	112 minutes[2]
Country	Japan