Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

mercredi 30 août 2017

MOONTRAP (1989)

Dans le grenier, des films de SF, qui voulaient être grand mais resteront petit.


"Moontrap" fait parti aujourd'hui des classiques de la SF de série B. Datant de 1989, se film de Robert Dyke, joua énormément sur son casting pour se faire remarqué. Car question effet spéciaux, recherche artistique, voir même, la mise en scène, cela ne suffira pas pour permettre au film d'aller se frotter aux salles de cinéma. En effet, "Moontrap" s'offrait à l'époque deux stars, en l'occurrence Walter Koening (monsieur Chekov de Star Trek Originale) et Bruce Campbell, déjà connu des amateurs de cinéma de genre pour ses prestations dans "Evil Dead 1 et 2" et aussi "Maniac Cop". Si le film tente de donné le change, il n'en reste pas moins très inspiré par "Liveforce" dans les grandes lignes. A ceci prêt qu'ici, au lieu de vampire, ce sont des intelligences artificielles qui s'arrangent de morceaux de mécaniques, comme aussi d'organisme biologique, pour commencer a mettre le boxon. Bien sûr, si le film ne s'est quasiment pas vu en salle, il a été un assez bon succès en vidéo, avant que finalement, il finisse par tomber dans l'oubli. Mais en 2011, suite a des ré éditions en vidéo, le film connu un revival et donna l'idée à Robert Dyke et Tex Ragsdale de remettre le couvert, avec tous d'abord un roman graphique pour tester le produit, pour ensuite envisager une adaptation en film. C'est finalement en 2014 que verra le jour "Moontrap Target Earth", qui ne verra pas non plus les salles de cinéma, lors de sa sorti en 2017, mais sera directement vendu en vidéo et VOD. Mais çà, se sera pour une autre histoire des films du grenier.


TRAILER

V.O.



Directed byRobert Dyke
Produced byRobert Dyke
John Cameron
James A. Courtney
Stephen A. Roberts
Written byTex Ragsdale
StarringWalter Koenig
Bruce Campbell
Leigh Lombardi
Robert Kurcz
John J. Saunders
Music byJoseph LoDuca
Production
company
Magic Films
Distributed byImage Entertainment(laserdisc)
Malofilm Home Video
Shapiro-Glickenhaus Home Video (video)
Release date
April 28, 1989
Running time
92 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish

SOLAR CRISIS (1990)

Dans le grenier, des films de coproduction fraternelle, ou presque.

D'un coté, un cinéma japonais avec son style, ses frasques, ses genres, ses méthodes, ses visions. De l'autre, un cinéma américain, commercial, industriel, avec ses hégémonies et ses merdes. Et il ne fut pas rare que les deux pays se réunissent pour des films qui voulaient conquérir le monde..... a défaut de conquérir les box offices. Nous sommes en 1990, et déjà a cette époque, certains programmes télévisés japonais se sont installés dans les programmes américains, faisant ainsi connaître des franchises dont la plus développer fut, comme en Europe, les fameux Power Rangers. Mais dans le cinéma, ce fut une autre histoire. Car on a affaire a deux visions, deux narrations codifiées différentes. Mais si les USA, sont en fait les chaperons des japonais, c'est souvent le style japonais qui était préféré des cinéphiles. Mais si déjà à l'époque, Sony avec conquit Hollywood, cela ne suffisait pas pour avoir l'impression d'un film 100% ricain, mettant de coté les possibles contributions qu'auraient pu apporter les styles japonais a ce genre de film. Ce genre de film, c'est"Solar Crisis", qui fait parti de ces coproduction sino américaine qui voulait jouer sur les deux tableaux. Conquérir le marché américain comme japonais, pour ensuite tenté de s'exporter ailleurs (moyen surtout pour les américains de glisser aussi sur le marché asiatique, ou le cinéma japonais avait plus d'aisance et de structure de distribution que les américains). Réalisé par Richard C. Sarafian, ce film s'offrait quand même du lourd avec l'apparition de Charlton Heston,  Tim Matheson, Peter Boyle, Jack Palance, et Corin Nemec. L'histoire d'une expédition qui doit pouvoir aller au plus prêt du soleil pour lancer une bombe, afin de tenter de sauvé le monde, déjà grillé par un soleil bien capricieux. L'objectif, étant de tenté de dévié une éruption solaire qui serait fatal pour la Terre. Sauf qu'en matière de développement artistique, on est loin d'une recherche visuelle adéquate. On peu même dire, un peu vieillotte, pas très innovatrice, digne d'une série B. Finalement, le film fera son chemin initiatique dans l'ignorance absolue, tentant de ce rattrapé sur le marché de la vidéo. Le film étant clairement sous financé, le réalisateur demandera de ne pas être crédité de ce film, pour apparaître sous le pseudo d'Alan Smithee, que les passionnés de cinéma, plus particulièrement américain, reconnaîtront dans la fameuse légende (un nom d'empreint souvent utiliser par des réalisateurs qui ne voulaient pas être crédité) hollywoodienne du "nom d'empreint" le plus utilisé de l'histoire. Quant a ce "Solar Crisis", après un parcours en vidéo club, il finira par disparaître des radars. A noter que lors de sa sorti au Japon en 1990, le résultat était tellement mauvais, que les américains eurent le droit a une version remonté.

TRAILER 

V.O.
Directed byRichard C. Sarafian
Screenplay by
Based onSolar Crisis
by Takeshi Kawata
Produced byRichard Edlund
James Nelson
Starring
CinematographyRussell Carpenter
Edited byRichard Trevor
Music byMaurice Jarre
Production
companies
  • Gakken Co. Ltd.
  • Japan America Picture Company
Distributed byToho (Japan)
Trimark Pictures (United States)[1]
Release dates
  • July 14, 1990
(Japan)
  • November 25, 1992
(United States)
Running time
111 minutes
Countries
LanguageEnglish
Budget$55 million


dimanche 27 août 2017

THE PAINTED VEIL (2006)

Dans le grenier, des films de romance, de drame, et plus si affinité.

"The Painted Veil" est la troisième adaptation du roman de W. Somerset Maugham, après celle de 1934 avec Greta Garbo et de 1957, un peu moins célèbre avec Eleanor Parker. Ici, c'est Naomi Watts et Edward Norton qui vont se donner la réplique, tout en étant aussi producteurs de cette fresque dramatique et sentimentale, qui nous fait suivre le parcours d'une jeune femme insouciante et peu conventionnelle dans une Grande Bretagne des années 20, encore trop conservatrice a son goût. Mariée subtilement par ses parents, et plus particulièrement par sa mère à un bactériologiste, notre héroïne se résout a le suivre en Chine, à Shanghai. Mais là, elle supporte mal le cloisonnement, et rencontre un autre homme, marié. L’idylle est de courte durée quand son maris découvre sa liaison. Le choix s'impose. Le dissuadé de divorcé et de se remarié avec elle, et ainsi évité le déshonneur, ou c'est le divorce avec pertes et fracas pour elle, du fait que même en ce début de 20ème siècle, les femmes n'ont pas encore le bénéfice de droit moraux pour tiré profit de quelques divorces que ce soit. Mais son amant refuse de quitter sa femme. Elle est alors contrainte d'accepter de suivre son maris qui accepte de ne pas divorcé, mais rentrant dans un mutisme et une ignorance totale vis  à vis d'elle. De plus, le couple est en déplacement dans le fin fond du pays, dans un endroit reculé ou sévit une épidémie de choléra. Le couple va t-il tenir, et surtout, va t-elle réussir a survivre a l'humiliation ? En gros, c'est évidemment du relationnel dans le couple, un parcours initiatique vers la maturité, la confiance, la maturité qui attend en réalité la jeune femme. Si le film a plus ou moins eut les faveurs des critiques pour sa réalisation notable, et son interprétation de qualité, le film ne sera pas un succès public, même s'il a néanmoins été rentable. La réalisation de John Curran a réussit a rendre attractif et captivant une oeuvre qui finalement n'aura pas marqué les esprits et a été oublié.

TRAILER

V.O.
Directed byJohn Curran
Produced bySara Colleton
Jean-François Fonlupt
Bob Yari
Edward Norton
Naomi Watts
Screenplay byRon Nyswaner
Based onThe Painted Veil
by W. Somerset Maugham
StarringNaomi Watts
Edward Norton
Liev Schreiber
Toby Jones
Diana Rigg
Music byAlexandre Desplat
CinematographyStuart Dryburgh
Edited byAlexandre de Franceschi
Production
company
Bob Yari Productions
The Mark Gordon Company
The Colleton Company
Class 5 Films
Dragon Studios
Warner China Film HG
Distributed byWarner Independent Pictures
Release date
  • December 20, 2006 (US)
  • December 29, 2006 (China)
  • April 27, 2007 (UK & IRL)
Running time
125 minutes
CountryChina
United States
Canada
Belgium
LanguageEnglish
Chinese
French
Budget$19.4 million
Box office$26,809,273

THE ULTIMATE GIFT (2006)

Dans le grenier, des films initiatiques, mais pas pour les salles.


"The Ultimate Gift" est un film réalisé par Michael O'Sajbel, qui date de 2006, et qui, après quelques exploitations timides en salles, a plutôt connu le succès par le marché de la vidéo et par sa diffusion à la télévision. L'histoire d'un jeune homme un peu trop égocentrique et abus de lui même, qui hérite de la fortune de son grand père, le célèbre et richissime Howard "Red" Steven. Mais avant de pouvoir toucher a cet fortune, et prendre la tête de ses affaires, notre jeune héritier se voit imposer des épreuves initiatiques en guise de cadeau, qui, au fur et à mesure, l’amèneront au cadeau ultime. Un film qui évidemment, reprend les concepts des valeurs selon ce qu'on attend d'un individus, sur certains codes, même si tous cela reste évidemment assez hypocrite. Adaptation du roman de Jim Stovall, ce film rencontrera quand même un succès non négligeable par le biais de la vidéo, au point qu'une suite fut mise en chantier avec "The Ultimate Life", en 2013. Si la réalisation est notable, on reste scénaristiquement sur du cliché habituel de ces comédies dramatiques américaines, pondu pour faire pleuré dans les chaumières, cherchant a titillé l'émotionnel de l'américain moyen. Le film restera confiné au marché américain, même s'il fut néanmoins distribuer à l'international en DVD.


TRAILER

V.O.
Directed byMichael O. Sajbel
Produced byRick Eldridge
Jim Van Eerden
Written byNovel:
Jim Stovall
Screenplay:
Cheryl McKay
StarringDrew Fuller
Bill Cobbs
Abigail Breslin
Brian Dennehy
James Garner
Music byMark McKenzie
CinematographyBrian Baugh
Production
company
Distributed by20th Century Fox
Porchlight Entertainment
Running time
117 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$9 million
Box office$3,438,735

DEMONS 2 (1986)


Dans le grenier, des films qui ont fait la suite, dans l'idée.

Nous avons vu dans les films du grenier, le passage un peu inaperçu de "Demoni" en 1985. Production du célèbre Dario Argento, c'est en 1986, que Lamberto Bava rempilera pour ce "Demoni II", qui peu se dire une suite du premier, même si cela ne dérangeront pas les novice qui n'auraient pas vu le premier film. Car en effet, dans l'histoire, le premier film est en fait, le film, que des personnes vont voir et qui va être le déclencheur d'une catastrophe annoncé qui va ensuite s'étendre dans un building d'appartement. On est évidemment dans du cinéma italien, mais qui a quand même un maître aux commandes, même si évidemment, on est loin des grandes réalisations conventionnelles. Même si le film est tourner en anglais pour des raisons évidentes de vente internationale, le film restera quand même assez confidentiel du fait d'être un film d'horreur. Mais c'est comme son prédécesseur, le marché de la vidéo qui lui donnera ses lettres de noblesse. Même si la réalisation a plutôt mal vieillit, le film sera considéré comme un classique du genre avant de finalement se perdre dans les mémoires, voir même totalement ignoré des jeunes générations.

TRAILER

English Version
Directed byLamberto Bava
Produced by
Written by
Starring
Music bySimon Boswell
CinematographyGianlorenzo Battaglia
Edited by
Production
company
DACFILM Rome
Distributed byTitanus Distribuzione
Release date
  • 9 October 1986
Running time
91 minutes[1]
CountryItaly
Language
  • English
  • Italian

vendredi 25 août 2017

LA HORDE (2009)

Dans le grenier, des films qui essayent, mais qui essayent vraiment.

"La Horde" est un film de zombies. Mais un film de zombies français. En effet, c'est sous la direction de  Yannick Dahan and Benjamin Rocher que sortit en 2009 ce film qui voulait jouer dans la cours des grands des films de genre fantastique. L'histoire d'un gradé de la police, qui décide après avoir trouver le corps d'un collègue de faire une mission punitive chez les mafieux qui sont responsables de ce meurtre. Mais l'opération échoue et nos agents sont piégé dans l'immeuble de leurs ennemis. Mais quelques choses c'est produit à l'extérieur, si bien que nos criminels et nos flics, vont être obligé de travailler ensemble pour se sortir de ce qu'il semble être une invasion de zombie. Car pendant que çà réglait ses compte à l'intérieur, à l'extérieur, Paris est à feux et à sang. Une vision bien français finalement, car on hésite pas dans la violence bien brutale, bien plus brutale que ce que nous ont habitué les américains. C'est peut être d'ailleurs ce qui a porté tord au film car si finalement cette version français serait plus réaliste en soit, elle sort évidemment des clichés habituelles, qui sont ceux de ce genre en général, dans les réseaux commerciaux. Car en matière de film plus intimistes, plus indépendants (on pensera a Rob Zombie justement) il n'est pas rare d'avoir une certaines violence plus crue, à même niveau. Mais clairement pas pour de la grande distribution. Et ce sera le talon d'Achille de ce film, avec des dialogues un peu creux, qui le condamnera à l'échec commercial. Si le film sera découvert par la vidéo, il ne percera pas plus que çà pour finalement être oublié.

TRAILER


Directed byBenjamin Rocher
Yannick Dahan
Produced byRaphaël Rocher
Screenplay byArnaud Bordas
Yannick Dahan
Stephane Moissakis
Benjamin Rocher
StarringClaude Perron
Jean-Pierre Martins
Eriq Ebouaney
Aurélien Recoing
Doudou Masta
Antoine Oppenheim
Jo Prestia
Yves Pignot
Music byChristopher Lennertz
CinematographyJulien Meurice
Edited byDimitri Amar
Production
company
Capture [The Flag] Films
Le Pacte
Coficup
Canal+
CinéCinéma
Distributed byLe Pacte
Release date
  • 28 August 2009
Running time
96 minutes
CountryFrance
LanguageFrench
Budget$2 million
Box office$970.000[

MAYA (1989)

Dans le grenier, des films quasiment introuvables. 

1989, une nouvelle perle du cinéma pseudo anglophone made in Italia. C'est "Maya", réalisé par Marcello Avallone, qui va essayer de nous intéresser a cette histoire d'une disparition mystérieuse, dans un site antique maya, et qui va suscité quelques personnes, dont un aventurier, a aller tenter l'aventure pour comprendre ce qui c'est passer, et qui sait, le retrouver, non sans quelques obstacles. Sauf qu'on est dans de l'indépendant, et ce film fantastique ne connaîtra pas franchement un engouement sérieux de la part des distributeurs et exploitants. Du coup, ce film finira définitivement sur le marché de la vidéo, et plus spécifiquement sur le marché de la location. Puis on a complètement perdu sa trace, si ce n'est quelques références de presses spécialisés dans les films de séries B et bien sûr, dans les films du grenier qui en a retrouver une copie généreusement mis en ligne sur la plateforme vidéo.

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Les Films du Grenier - S01e18 - Les Franchises à l'arrêt

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mardi 22 août 2017

ORBITA 9 (2017)

Dans le grenier, des films de SF au parfum latin.

"Orbita 9" est sans doute de ces films qui ne voit que très rarement les salles obscures internationales. Pour cause, ici, on est dans une production espagnole, qui nous conte l'histoire d'une jeune fille qui a quasiment vécu dans un pod depuis sa naissance, qui est censé rejoindre une colonie. Ayant connu ses parents uniquement par des enregistrements, elle finie par arriver a destinations. Là, se sont ses premiers contacts avec des êtres humains. Y compris un charmant jeune homme avec qui elle va se rapprocher. Mais ses fantômes de solitude durant toutes ces années, continus à la hanté. Un film qui visuellement fait son office mais qui franchement, perd le spectateur en route, tant l'histoire manque de tonus, de rythme, et se laisse glisser dans un ennuis qui ajoutera au coté confidentiel du film qui restera dans une exploitation purement hispanique.

TRAILER
V.O. english sub

PRAYER OF THE ROLLERBOYS (1990)

Dans le grenier, des films d'époque, mais qui dans le fond, n'ont jamais été autant d'actualité.

Passons sur la réalisation, la narration, le jeu des acteurs, clairement, ce film de 1990 a plutôt mal vieillit. Réalisé par Rick King, "Prayer of the Rollerboys" nous contait l'histoire d'une survie d'un jeune homme, qui, s'occupant aussi de son frère, travail comme livreur de pizza, dans une amérique qui c'est effondré économiquement et qui dont l'autorité ne contrôle plus rien. Si bien que localement, des groupes, des bandes, des gangs, ont progressivement prit le contrôle de quartiers. Et c'est le cas de suprématistes blancs en rollers, qui se font appeler les "rollerboys" dont le chef n'est autre que l'amis d'enfance de notre livreur de pizza. Si vous ajouter une dose d'amourette la dedans, et vous avez un petit cocktail qu'on retrouve souvent dans ce genre de film. Pouvoir, jalousie, vengeance. Mais ce film restera finalement dans les salles américaines et britanniques, pour sortir directement en vidéo. A noter qu'on a quand même Patricia Arquette dans la distribution, et qu'elle et son camarade furent nommé au Saturn Awards, une récompense spécialisé dans les films SF et de Science Fiction.

TRAILER
V.O.
Directed byRick King
Produced byRobert Mickelson
Written byW. Peter Iliff
StarringCorey Haim
Patricia Arquette
Christopher Collet
Julius Harris
Josh Todhunter
Music byStacy Widelitz
CinematographyPhedon Papamichael Jr.
Distributed byAcademy Entertainment Inc.
Release date
  • November 1990
Running time
95 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish

THE RIVER THIEF (2016)

Dans le grenier, des films, qui commencèrent petit, mais qui firent sensation.

Loin de là de considéré ce film comme ayant eut du succès au box office, car de toutes les manières, il n'a quasiment pas vu les salles si ce n'est dans quelques projections de promo ou d'art et d'essai. Mais lorsqu'on regarde ce film, réalisé par N.D. Wilson, qui n'en est pas que le réalisateur, mais aussi le scénariste, l'adaptateur de son propre roman, et aussi producteur, on se dit qu'il y a quand même encore de beaux jours pour un cinéma intime, d'auteur et de passionnés. Car cette histoire pourrait se résumer sur une rencontre entre un jeune marginal qui vit du fil du vent, et une jeune fille qui va commencer a trouver sa conception intéressante. Sauf qu'évidemment, les idées préconçus et le conformisme familiale va aller en opposition et généré forcément un conflit dans le lequel notre jeune femme va devoir faire un choix. D'autant plus que nous somme là dans une amérique profonde, rurale, et que les marginaux en général, sont très mal venu. Un film qui au final a plu a une critique intimiste, d'autant plus qu'il fut réaliser avec trois fois rien. C'est pour cela qu'on se dit qu'il y a heureusement des passionnés qui arrivent encore a réalisé des films avec des budgets ridicules, car ce "The River Thief" fut réalisé en 10 jours de tournage, sur un scénario ré écrit au fur et à mesure, pour seulement 400 000 dollars. Sauf que l'on peu être passionné, réussir a faire des miracles en matière de narration, on peu aussi être dépasser par son enthousiasme. Car lors de sa présentation à la critique, le film va évidemment déplaire a une certaine critique qui va trouver ce film trop nombriliste, et un peu trop abstrait par moment. Le film sortira seulement dans quelques salles avant de finir directement en vidéo et VOD.

TRAILER


dimanche 20 août 2017

THE HEARSE (1980)

Dans le grenier, des films clairement en repiquage d'idées.

Comme on l'a déjà vu, certaines productions ont très souvent surfer sur des phénomènes et des genres en vogues. Y compris, pratiquer le plagiat, ou sinon a peine camouflé sur certaines scènes. C'est le cas de ce "The Hearse", datant de 1980, réalisé par Gorges Bowers, et qui nous contait l'histoire d'une jeune femme qui décide d'aller vivre dans la vieille maison de sa tante, celle ci lui ayant légué après sa mort. Mais dans la petite ville, la peur rode. Surtout depuis que la jeune femme est informé qu'en réalité, on a vu a plusieurs reprise le corbillard circulé dans la ville alors que celui ci avait été retrouvé sans chauffeur, et le cercueil vide de sa grand mère. Une histoire de fantôme, semble t-il qui va donner l'inspiration au réalisateur de nous reprendre les grands classiques de la frayeurs d'antan, inspiré des "Amityvilles", et autres "The Changeling", reléguant le film a un film fantastique de fond de rayon des vidéos clubs. Preuve en est, personne ne s'en souvient et apparemment, n'a pas plus marqué les esprits au delà de sa très petite carrière américaine.

TRAILER

V.O.
Directed byGeorge Bowers
Written byWilliam Bleich
StarringTrish Van Devere
Joseph Cotten
David Gautreaux
Donald Hotton
Music byWebster Lewis
Distributed byCrown International Pictures
Release date
  • June 20, 1980
Running time
95 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish

THE TERROR WITHIN (1989)

Dans le grenier, des films de série B, d'une lignée d'un grand nom.

On a déjà parlé de Roger Corman, producteurs prolifique, essentiellement de série B et de films pour la vidéo, souvent petit budget, parfois avec des réalisateurs débrouillards, qui ont limité la casse d'une descente aux enfers dans les box offices du marché de la vidéo. Nous sommes en 1989, et le fantastique commercial s'essouffle sur les grands écrans, les majors préférant a cette époque, la comédie, et l'action, laissant la SF et le fantastique au grand nom de la réalisation. Mais dans l'indépendant, on a continuer alimenté le marché de la vidéo, avec beaucoup de sous produits, a défaut de films comme ce "The Terror Within", réalisé par Thierry Notz, relatant la survie d'un petit groupe de gens, survivants d'une apocalypse nucléaire, mais devant se protégé de mutants qui ont la particularité d'avoir été physiquement affligé, au point de ressembler a des gargouilles. Ces dernières, sévissant pour leurs instincts de survie, ou tout du moins pour préservé leur espèce, en tentant de procréer avec l'assistance de nos chers corps humains. Bref, on a un mélange d'Alien et de Mad Max, qui sur le papier pourrait en effet donner un résultat pas trop moche, mais qui dans une production sans le sou, on est vite déçu du résultat. Pourtant, ce film rentrera dans la liste des films un peu notable du producteur, car en effet, on a vu pire. Surtout que cette production c'est quand même payé le luxe d'un George Kennedy sur la fin, et d'un Andrew Stevens qui va tout autant disparaître des écrans dans les années 90.

TRAILER

V.O.
Directed byThierry Notz
Produced byRoger Corman
Written byThomas M. Cleaver
StarringGeorge Kennedy
Andrew Stevens
Starr Andreeff
Terri Treas
John LaFayette
Tommy Hinkley
Music byRick Conrad
Edited byBrent Schoenfeld
Distributed byNew Concorde
Release date
  • 1989
Running time
90 minutes[1]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Box office$858,591

NOSFERATU : THE VAMPYRE (1979)

Dans le grenier, des films en guise de remake, mais passé de mode.

"Nosferatu, The Vampyre" est évidemment une adaptation libre du roman de Bram Stoker, dans une version allemande datant de 1922, réalisé par F.W. Murnau. C'est en 1979 que le réalisateur ouest allemand Werner Herzog décide de faire son remake, avec son acteur fétiche de l'époque, j'ai nommé l'ingérable Klaus Kinski. Et ce fut aussi l'occasion pour une jeune actrice française de s'européanisé dans sa carrière, je veux parler évidemment d'Isabelle Adjani. Une version plus moderne de celle de 1922, et contrairement a son original, parlante, dans laquelle on retrouve la touche du réalisateur, déjà relativement célèbre dans les milieux culturels pour son style assez particulier. Car si Herzog ne mise pas forcément sur le visuel, il a la réputation de pousser loin ses acteurs pour avoir le meilleur d'eux même dans ce qu'il veut voir et retranscrire à l'écran. Mais malheureusement, cette version, même si elle fut reconnu par la profession, n'eut pas les faveurs du public, et passa un peu inaperçu lors de son exploitation en salle. Du fait qu'évidemment on est bien loin de la narration à l'américaine, étant beaucoup plus dans une mise en scène d'auteur. Coproduite à l'époque par Gaumont, avec la chaîne ouest allemande ZDF, l'ouvre fut difficilement vendable tant dans les chaînes d'exploitation classique, qu'a l'étranger. Ce ne sera que bien plus tard, lors de la consécration pour Herzog, que l'oeuvre sera redécouverte et reconnue au point d'être classée dans la top liste des films fantastiques classique. Mais comme beaucoup de classiques appréciés des cinéphiles, certains sont méconnus aujourd'hui, par le grand public.

TRAILER


Directed byWerner Herzog
Produced by
Screenplay byWerner Herzog
Based onDracula
by Bram Stoker
Starring
Music byPopol Vuh
CinematographyJörg Schmidt-Reitwein
Edited byBeate Mainka-Jellinghaus
Production
companies
Distributed by
Release date
  • 17 January 1979 (France)
  • 12 April 1979 (Wiesbaden)
  • 5 October 1979(United States)
Running time
107 minutes[1]
CountryWest Germany
Language
  • German
  • English
  • Romanian
Budget