Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

vendredi 25 septembre 2015

MY NAME IS BRUCE (2008)



Dans le grenier, des films de "geek", et uniquement pour "geek". 

Non sans faire sa petite apparition dans chacun des Spiderman de son copain Sam Raimi, Bruce Campbell est le genre d'acteur devenu une star pour les amateurs des films de série B. Car révélé par son pote Raimi dans la saga Evil Dead, Bruce Campbell a pourtant pu faire d'autres films commerciaux qui pourtant n'ont pas marqué plus que çà. Car Bruce, c'est et restera Hash, le dernier survivant des démons. Une image de personnage de série B qu'il cultivera a souhait et avec laquelle il fera son trou dans ce marché. Exemple avec ce très improbable "Appelez moi Bruce" ou Sam Raimi lui même fera aussi une apparition.  Première réalisation pour l'acteur, qui s'inspirera tous simplement de lui même et de cette image qui lui colle à la peau. Car ce film raconte tous simplement l'histoire de Bruce, l'acteur de second zone, qui est invité dans une petite bourgade de l’Amérique profonde, pour un festival de film. Mais dans cette petite ville, un démon sévit. Que cela ne tienne, les habitants vont pouvoir compter sur Hash..... ou plutot Bruce, du fait qu'évidemment, le personnage fictif l'a emporter dans l'émotionnel des gens sur la réalité que Bruce, est un acteur. Il va néanmoins accepter par la force des choses, de tenter de débarrasser la ville de ce démon. Un film qui tente finalement de jouer avec le problème des personnages fictifs et de leurs acteurs, qui amènent cruellement des fans a faire la confusion entre les personnages de films et les acteurs qui les incarnes. Une histoire qui bien évidement ne peu que plaire aux grands fans du bonhomme, qui par ce film s'amusera aussi à des excentricités et des caméos, comme par exemple avec la présence de Sam Raimi, son frère Ted (également très souvent présent dans les films de son frère), ou l'actrice Ellen Sandweiss, présente dans le premier Evil Dead de 81, comme Dan Hicks également. Un petit délire filmique, à l'image de ce que l'acteur, qui fut ici réalisateur et scénariste, à l'habitude de nous offrir, étant un spécialiste des personnages décalés. Un film a découvrir en vidéo uniquement, car vous imaginez bien que c'est le genre de film qui ne passera jamais en salle, pour aller directement sur le marché de la vidéo et VOD.


Directed byBruce Campbell
Produced byBruce Campbell
Mike Richardson
Written byMark Verheiden
StarringBruce Campbell
Grace Thorsen
Taylor Sharpe
Ted Raimi
James Peck
Ellen Sandweiss
Ben McCain
Music byJoseph LoDuca
Ben McCain
Butch McCain
CinematographyKurt Rauf
Edited byM. Scott Smith
Distributed byImage Entertainment
Dark Horse Entertainment
Release dates
  • April 13, 2007(Ashland Independent Film Festival)
  • October 26, 2008(United States)
Running time
86 minutes
CountryUnited States
LanguageEnglish
Budget$1.5 million
Box office$173,066


APOLLO 18 (2011)

Dans le grenier, des petits films qui passèrent inaperçues pour finalement mieux faire leurs trous en vidéo. "Apollo 18", réaliser en 2011, par Gonzalo López-Gallego, nous relate comme un documentaire, basé sur des bandes vidéos, la mission de ces hommes sur la Lune. Sauf que la mission va vite tourner au fiasco du fait d'une contamination des astronautes. Du coup, toutes la missions est classifié et personne n'a été informé de son existence, mettant un terme au projet Apollo. Evidemment c'est du fictif, et on retrouve les codes de ces films qui ont envahis les VOD, sur ce principe de vidéos retrouvées, montées, comme témoignage d'un événement, ou d'une aventure. Sauf que ce petit film qui était attendu par les connaisseurs et avertis, a finalement déçu. La narration n'arrive pas a rythmé suffisamment le film qui très vite manque de rebondissement et de suspens. Du coup ce petit film américano canadien n'arrivera pas à percé en salle, faisant une carrière timide et rapide, avant de rejoindre le catalogue des service VOD. Ca n'empêchera pas le film d'arriver a être nettement rentable, au vu d'un budget modeste, et permettre de tiré un bon profit. Mais Apollo18 est à l'image de ces films qui tentent d'utiliser un mode de narration qui peut-être, arrange au niveau d'un budget modeste, mais manque d'envergure et de charisme au vu de sa promo.

Directed byGonzalo López-Gallego
Produced byTimur Bekmambetov
Ron Schmidt
Written byBrian Miller
StarringWarren Christie
Lloyd Owen
Ryan Robbins
CinematographyJosé David Montero
Edited byPatrick Lussier
Production
company
Distributed byDimension Films
Release dates
  • September 2, 2011
Running time
86 minutes[1]
CountryUnited States
Canada
LanguageEnglish
Budget$5 million
Box office$25.5 million

SLIPSTREAM (1989)


Dans le grenier, des films de série B qu'on préfère oublié dans une carrière. 

"Slipstream" fut réaliser par Steven Lisberger, réalisateur de Tron en 1982, et producteur de sa suite. Mais à la fin des années 80, la SF commençait a ce faire pauvre. Datant de 1989, ce film avait pourtant de quoi séduire avecun sacré casting. Bill Paxton, Bob Peck, F. Murray Abraham, et Mark Hamill, avec une participation de Ben Kingsley. L'histoire d'une chasse à l'homme entre un gangster et un chasseur de prime, dans un futur ou la Terre a été sujet a un cataclysme naturel. Un film qui finalement aurait pu être un bon film d'anticipation mais déjà, dés les premières 10 minutes, on sent très vite le film qui a un gros défaut de moyens. Car ce film était un projet ambitieux mais qui arriva trop tard, dans une conjoncture ou techniquement, les coûts de productions devenait trop important pour ce genre de film. Du coup, malgré des participations non négligeable de gens qui avait travailler avec Lucas, le film fut un désastre. Visuellement non aboutis, limite fait de bric et de broc, le réalisateur regretta amèrement de s'être laisser embarquer dans une telle aventure. A tels point que le film ne trouvera pas preneur à l'international, le relayant au marché de la vidéo. Car même avec Mark Hamill au générique, cela ne suffira pas à convaincre outre mesure des distributeurs, trop embarrasser par la médiocrité visuelle du film.





V.O.

Directed bySteven Lisberger
Produced byGary Kurtz
Screenplay byTony Kayden
Story by
Starring
Music byElmer Bernstein
CinematographyFrank Tidy
Edited byTerry Rawlings
Production
company
Entertainment Film
Release dates
  • 1989 (United Kingdom)
Running time
102 minutes
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish

SPLICE (2009)

Dans le grenier, des films avec du fond, et pas que de la forme. 

"Splice", réaliser en 2009 par Vincenzo Natali, nous conte l'histoire d'un couple de chercheurs, qui, après bien des expériences, vont finalement par accident, créer une nouvelle forme de vie hybride. Mais cet être, en grandissant, va s'avérer dangereuse, malgré les tentatives d'éducation et d'humanisation du couple, qui au mépris de toutes règles déontologiques, vont s'exposer a la chose en question. Le film avait pourtant tous les ingrédients pour être attractif. Mais malgré çà, le film ne fut pas un succès et restera peu de temps dans les salles. Il n'en est pas moins un film intéressant et bien interpréter par les acteurs, Sarah Polley, Adrien Brody, Brandon Mcgibbon, David Hewlett, et la jeune actrice française, Delphine Chanéac, qui eu la lourde responsabilité d'interpréter un être vivant qui n'est pas censé exister. Un film qui expose la question de la manipulation génétique, sur la violation des codes éthiques concernant le clônage. Une relecture finalement du fameux mythe de Frankenstein, dans le fond, extirpant les limites de ce que l'homme peu maîtriser dans sa recherche. Le film en lui même est connu des amateurs du genre, et a heureusement bénéficié de l'attente de son réalisateur et néanmoins scénariste qui déjà, après son Cube, voulais s'attelé a ce film, sans pouvoir monter un budget suffisent pour l'ambieux projet. Ce ne sera qu'en 2007 qui aura finalement le feu vert avec un budget plus conséquent, après avoir été reconnu et confirmé avec Cypher, et Nothing, tous deux des succès du marché de la vidéo.

Directed byVincenzo Natali
Produced bySteve Hoban
Screenplay by
  • Vincenzo Natali
  • Antoinette Terry Bryant
  • Doug Taylor
Story by
  • Vincenzo Natali
  • Antoinette Terry Bryant
Starring
Music byCyrille Aufort
CinematographyTetsuo Nagata
Edited byMichele Conroy
Production
company
Distributed byWarner Bros. Pictures
Release dates
Running time
104 minutes
Country
  • Canada
  • France
  • United Kingdom
LanguageEnglish
Budget$30 million
Box office$26.8 million



LES SORCIERES DE ZUGARRAMURDI (2013)

Dans le grenier, des films improbables mais en devenir d'être un jour culte.

Le réalisateur Alex de la Iglesia s'offre en 2013, ce "Las Brujas De Zugarramurdi", ou littéralement "les Sorcières de Zugarramurdi", film totalement politiquement incorrecte, filant a cent à l'heure. Le genre de film qui évidemment a déjà un désavantage d'être difficilement vendable pour les réseaux grands publics. L'histoire tourne autour d'un gang qui après un coup sur une banque au trésors, tente de rejoindre la France. Mais ils tombent dans la petite ville paisible du nord de l'Espagne, Zugarramurdi, ou les habitantes vont s'avérés être des sorcières qui vont très vite mettre a profit ces étrangers de passage. La suite, on s'en doute, va tourner au massacre et à la folie. Car c'est justement ce que Iglesia a voulu pour pouvoir en réalité réaliser un film tordu, speedé, afin d'y intégré des clins d'oeils et des références que tous fans des films fantastiques et horreurs reconnaîtront. Un film à la fois déjanté mais de référence pour les connaisseurs des gens gores et horreurs, ou l'on retrouvera des ambiances à la Massacre à la Tronçonneuse, un zeste de Goonies, baignant dans du Wicker Man. Un film pour amateur, dont le grand public sera épargné de l'exploitation en salle, au profit du support DVD, à l'exception de son pays d'origine, l'Espagne, ou la critique fut assez bonne enfant et enjouer d'un tel OVNI.

Directed byÁlex de la Iglesia
Produced by
Written by
Starring
Music byJoan Valent
CinematographyKiko de la Rica
Edited byPablo Blanco
Production
company
  • Enrique Cerezo Producciones Cinematográficas S.A.
  • La Ferme! Productions
Release dates
  • 14 September 2013 (TIFF)
  • 27 September 2013 (Spain)
CountrySpain
LanguageSpanish



mardi 22 septembre 2015

CREATION (2009)

Dans le grenier, des films d'histoire sur l'histoire.

Jon Amiel, aura sans doute garder un mauvais souvenir de son expérience hollywoodienne avec The Core. Du coup, il revient a du cinéma plus calme, plus intéressant a développer, d'une façon un peu plus académique. Datant de 2009, "Création" fut bien évidement un film difficile a exporter, de par son sujet qui fait encore polémique, du fait de son personnage. Car c'est aux acteurs Paul Bettany et Jennifer Connelly que furent confié la tâche de retranscrire la relation compliquer entre monsieur et madame Darwin. Car c'est sur la période pré Origine de l'Espèce, que cette biographie, adapter du texte de Randal Keynes, s'attache a nous conté l'histoire de la relation de Charles Darwin, avec sa femme, fervente catholique, et sa fille aînée dont il était le plus attaché. Conflit relationnel sur celui qui remettra en question un dogme sur l'homme créer par dieu, et qui démontrera petit à petit que notre ancêtre n'est autre qu'un primate, dont l'évolution naturelle fera de nous, l'homo sapiens. Un film peu populariser mais reconnu par la critique, malgré quelques difficultés à promouvoir une oeuvre qui rendrait presque furieux les plus fervents religieux, révisant sans concession une théorie qui est aujourd'hui acquise comme loi scientifique. N'en déplaise aux plus croyants, il en faut pour tous les goûts et toutes les couleurs. Un film à voir pour rendre compte des conflits internes et éthiques dans une époque qui ne demandait qu'a faire éclaté des nouvelles visions, des nouveaux courants, même s'ils se sont souvent fracturé contre les dogmes, religieux comme scientifiques.

Directed byJon Amiel
Produced byJeremy Thomas
Screenplay byJohn Collee
Based onAnnie's Box
by Randal Keynes
StarringPaul Bettany
Jennifer Connelly
Music byChristopher Young
CinematographyJess Hall
Edited byMelanie Oliver
Production
company
Distributed byIcon Film Distribution (UK)
Release dates
  • 25 September 2009 (UK)
Running time
108 minutes[1]
CountryUnited Kingdom
LanguageEnglish
BudgetGBP 10,000,000
Box officeUSD 341,323 (US only)


BARBAROSSA (2009)

Dans le grenier, des films de renouveau.

Production italo roumaine, "Barbarossa" est une vitrine d'un cinéma européen qui s'essaye aux grandes fresques. Certes on est encore dans des ambitions raisonnables et loin des moyens à la "Kingdom of Heaven" de Scott. D'autant plus que dans le rôle titre de Friedrich Barbarossa, on retrouve Rudger Hauer, accompagné de F. Murray Abraham, Raz Degan et d'une jeune actrice française, demi soeur de Vincent, Cécile Cassel. Réalisé par Renzo Martinelli en 2009, le film relate les évènements relatif a la bataille de Legnano, opposant l'empereur Frédéric 1er, plus connu sous le nom de Frédéric Barberousse, aux ligues Lombards du Nord de l'Italie. Un film qui ne ce prétend pas être historiquement proche de l'histoire, mais donne prétexte a un film médiéval par excellence, sur une période parfois oublié de ce que l'on nous enseigna à l'école, relatif au saint empire germanique d'apposer sa volonté sur une Italie préférant ce rallier à la volonté du pape. Une bataille qui inspira Giuseppe Verdi avec son La battaglia di Legnano, et dont l'héritage de cette bataille décisive (perdue par Barbarossa) sera le fameux Palio organiser chaque année, en l'honneur des cavaliers de chaque contradas (quartier) à Legnano même, comme à Sienne. Un film qui finalement restera dans quelques salles parisiennes, sans grande distribution en France, pour finalement sortir directement en vidéo. Un film qui ce laisse voir, sans plus, mais qui démontre néanmoins le dynamisme d'un cinéma européen qui ne veut pas en rester là, face aux machines hollywoodiennes. Ça ne permettra pas plus le film de passer dans les salles obscures françaises ou tous du moins en trés petit nombre, avant d'aller directement sur le marché de la vidéo après une exploitation italienne timide.


Directed byRenzo Martinelli
Produced byRenzo Martinelli
Vlad Păunescu
Riccardo Pintus
Screenplay byRenzo Martinelli
Giorgio Schottler
Anna Samueli
Story byRenzo Martinelli
Giorgio Schottler
StarringRutger Hauer
Raz Degan
F. Murray Abraham
Hristo Zhivkov
Music byPivio and Aldo De Scalzi
CinematographyFabio Cianchetti
Edited byOsvaldo Bargero
Production
company
Martinelli Film Company International
Distributed by01 Distribuzione
Release dates
  • 2 October 2009(Milan premiere)
  • 9 October 2009 (Italy)
Running time
139 minutes
CountryItaly
LanguageEnglish
Budget€9,000,000
Box office€835,469

GET THE GRINGO (2012)


Dans le grenier, des films prémisses de l'avenir du cinéma . 


Pour cause, ce film réaliser par Adrian Grunberg, sortira en Mai 2012 directement en VOD, après seulement quelques projections en salle, par une retransmission via Austin au Texas (d'ou le film sera projeter et ensuite retransmit par procéder digital dans d'autres salles). Get The Gringo, avec Mel Gibson, dont le titre fut finalement changer après un titre un peu trop à rallonge, How I Spent My Summer Vacation, nous conte l'histoire d'un criminel, capturé et mis en prison au Mexique, et qui va devoir survivre tout en ce prenant d'affection pour une jeune mère et son fils, qu'il va prendre sous son aile. Un film qui va tenter de faire renouer Mel Gibson avec les films d'action, non sans expérimenter par la même occasion, l’intérêt d'un développement du marché de la VOD, par l'exclusivité. Une expérience qui ce double aussi, par la diffusion centraliser dans des salles, qui finalement, n'auront aucun support sur place, car recevant la projection du film via satellite ou par réseau haut débit. Un pas de plus dans la disparition des autonomies des programmateurs de salles, qui verront là un test sur le contrôle de diffusion des distributeurs. Mais ne croyez pas que cela n'arrivera pas en France, car le développement numérique a pour cet objectif de réduire les supports de diffusion, à une gestion centraliser des films. Gare a ceux qui arriveront en retard car la séance n'attendra pas les retardataires ou la lenteur du service de vente de billet 
wink emoticon. Le fait est que c'est là un film que vous ne verrez peut-être pas en salle (sauf si le film fait un tabac auprès des critiques, dissuadant la distribution classique à l'international) et qui sera sans doute l'une des ces expériences techniques qui ne sera pas sans conséquences sur un marché en constante évolution. 


Directed byAdrian Grunberg
Produced byMel Gibson
Bruce Davey
Stacy Perskie
Written byMel Gibson
Stacy Perskie
Adrian Grunberg
StarringMel Gibson
Kevin Hernandez
Music byAntonio Pinto
CinematographyBenoît Debie
Edited bySteven Rosenblum
Production
company
Icon Productions
Airborne Productions
Distributed by20th Century Fox Home Entertainment[1]
Release dates
May 1, 2012[1]
Running time
96 minutes[2]
CountryUnited States
LanguageEnglish
Spanish[2]
Box office$5,793,167

TOMORROW WHEN THE WAR BEGAN (2010)


Dans le grenier, des films de résistants déjà vu.


Souvenez vous de l'"Aube Rouge" en regardant dans les films du grenier. Voici donc une version australienne, datant de 2010 et réaliser par Stewart Beattie, ou il s'agit là d'une adaptation d'un roman qui reprenait plus ou moins la même histoire. Des jeunes adolescents, qui, face à l'invasion d'une force étrangère, vont prendre le maquis. Histoire qui ce déroule bien évidement en Australie, mais qui reprend l'idée d'une jeune génération issue de la société de consommation, soudainement confronter à une réalité bien plus terrible, et qui n'a rien d'un jeu vidéo, sans compter les dangers, et la notion de survie qu'ils vont devoir apprendre. Un film qui ne sera pas distribuer en France, directement dispo en DVD et VOD. Un film à voir pour comparer avec le remake officiel de la MGM qui arrivera plus tard dans les salles obscures, comme étant le remake officiel du film original. Mais ce Tomorrow When the War Began avait pourtant l'ambition de ne pas se limité qu'a ce film, pour développer une franchise en Australie. Série télé, et deux suites étaient prévues. Mais l'échec retentissant du film lors de sa sortie et de ses ventes internationales catastrophiques ont finalement pousser les producteurs a revoir leurs copies, et le deuxième volet dont le tournage devait commencer en 2011, a été annulé.



Directed byStuart Beattie
Produced byAndrew Mason
Michael Boughen
Screenplay byStuart Beattie
Based onNovel:
John Marsden
StarringCaitlin Stasey
Rachel Hurd-Wood
Lincoln Lewis
Deniz Akdeniz
Phoebe Tonkin
Chris Pang
Ashleigh Cummings
Andy Ryan
Colin Friels
Music byJohnny Klimek
Reinhold Heil
CinematographyBen Nott
Edited byMarcus D'Arcy
Production
company
Ambience Entertainment
Omnilab Media[1]
Distributed byParamount Pictures
Freestyle Releasing[2]
Release dates
  • 2 September 2010
Running time
104 minutes[3]
CountryAustralia
LanguageEnglish
BudgetA$27 million[4]
Box officeUS$16.5 million

THE EAGLE PATH (2010)

Dans le grenier, un film dont son scénariste, producteur, réalisateur et acteur, aurait aimé voir dans nos salles obscures. 

Sauf que l'excellent JCVD (le film), n'aura pas suffit à une réhabilitation dans les circuits de distribution français, du fameux belge Jean Claude Vandamne. "The Eagle Path", ou titré aussi par "Full Love", datant de 2010, était un retour à la réalisation du plus célèbre belge du cinéma d'action. Son bébé qu'il réussira a distribuer en Thailande, réussira a trouver des distributeurs pour le marché Hongkongais et américain (ayant été produit et tourner en Thailande). Mais çà n'ira pas plus loin, malgré une réalisation honorable pour un monsieur qui pourtant revient de loin. L'histoire d'un ancien G.I., reconvertit en chauffeur de taxi, dans la mégapole de Bangkok. Il tombera amoureux d'une jeune et jolie jeune femme, ce qui ne sera pas sans conséquence pour sa petite vie tranquille, du fait qu'elle est la petite amie d'un homme d'affaire, escroc et tyrannique, qui ne manquera pas de lui faire mener la vie dure. Film dans lequel Vandamne investira beaucoup dans l'espoir de pouvoir reconquérir les salles ou tous du moins le marché européen. Mais manque de chance, personne en Europe et encore moins en France et en Belgique n'achètera son film. Du coup, Vandamne devra se contenter de le vendre à la VOD pour amortir au mieux sa mise de base. Mais le film sera noyer dans toutes ces productions du même style, qui pleuvent sur les réseaux VOD.

Directed byJean-Claude Van Damme
Produced byJean-Claude Van Damme
Eugene Van Varenberg
Moshe Diamant
Written byJean-Claude Van Damme
StarringJean-Claude Van Damme
Claudia Bassols
John Colton
Josef Cannon
Charles St. Michael
Adam Karst
Cal Rein
CinematographyDouglas Milsome
Edited byJean-Claude Van Damme
Noureddine Zerrad
Production
company
Rodin Entertainment
Distributed byRodin Entertainment
Release dates
8th January 2016 (USA)
CountryThailand
Hong Kong
United States
LanguageEnglish
Budget$5 million


LAZARUS PAPERS (2010)

Dans le grenier, des films d'actions comme il en existe à la pelle. 

Directement destiner à la vidéo, "Lazarus Papers", rebaptiser "The Mercenary" pour le marché européen, est un film de 2010, réaliser par Jeremiah Hundley. Film qui dans lequel, c'est Gary Daniel qui tiens le rôle principal, parmi une bande de truands, de criminels, qui un jour, ce retrouve tous au même endroit, avec un problème. Sauf que parmi eux, une seul a la solution. Il ne peu pas mourir..... Un scénario un peu bizarre, mêlant action et un peu de surnaturel, dans lequel on retrouve également un certain Dany Trejo, qui dans son exploitation européenne, devient la tête d'affiche, comme si le public était plus sensible a cet acteur d'origine mexicaine, et dont la gueule n'est pas sans vous rappelez qu'il a été dans de nombreux film, et dont récemment, le petit cadeau de Rodriguez, Machete. Somme toute, un film qui caractérise plus l'art de communiquer avec des titres différents, des jaquettes différentes, comme pour montrer qu'un film peu s'adapter au marché, sans qu'un jour on soit surprit de ce rendre compte, qu'on l'a déjà vu sous un titre différent.



TINTIN ET LE CRABE AUX PINCES D'OR (1947)

Dans le grenier, la toute première apparition en image de Tintin. 

Et oui, pour ceux que ne le savent, il y eu d'autres adaptations cinéma du fameux petit reporter créé par Hergé. Deux adaptations "live", avec Tintin et le Mystère de la Toison d'or (1961) et Tintin et les Oranges bleues (1964). Mais dans le grenier, on a retrouver la toute première adaptation, en animation de l'époque. Réaliser en 1947 par Claude Misonne, tous les grand fans de Tintin ont toujours rêver de retrouver cette version en noir et blanc, saisie image par image. Une version reprenant l'album, le Crabes aux Pinces d'Or, qui ne sera diffuser qu'une seul fois pour des séances pour enfants, avant que ce film ne disparaisse dans une affaire de saisie, sur les biens et catalogues de la production de l'époque, les production Wilfried Bouchery et Cie. Ce n'est seulement que depuis 2008, que ce film fut enfin disponible en édition DVD collector, pour la plus grande joie des Tintinophyles. Attention, c'est bien évidement pour les amateurs.