Dans le grenier, des films de grands, mais qui passèrent un peu aux oubliettes.
Les cinéphiles n'ont certainement pas oublié le nom de ce réalisateur Giuseppe Tornatore, qui offrit en guise de premier film, une oeuvre aujourd'hui inoubliable. Cinéma Paradiso. C'était en 1988, et depuis, le réalisateur italien fit également d'autres films, dont le dernier en date est ce Baaria, datant de 2009. Une fresque familiale d'un petit village surnommer Baaria, dans les alentours de Palerme, ou l'on suit trois générations entre les années 30, avec la monté du fascisme, durant la seconde guerre mondiale, l'après guerre, jusqu'a l'aube des années 80. On suit ainsi l'évolution et les impactes de l'histoire sur cette famille qui à l'origine était paysanne, jusqu'a leurs implications dans les turpitudes politiques, de clan, de partis, et des conflits qui en découlent au sein même de la famille. Une histoire sur un microcosme sicilien, traiter à la fois d'un ton léger, comme dramatique, digne de ce que les cinéastes savent faire. Un film à voir, pour connaisseur.
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