Dans le grenier, des films cultes qui ne furent pas des succès.
A l'heure ou le réalisateur Alfonso Cuarón peu s'enorgueillir d'avoir raflé un Oscar pour son Gravity, la reconnaissance aura été quand même obtenue à l'arracher. Car oui, vous allez me dire, "mais non, ce film n'est pas un film du grenier". Et pourtant, il l'a été. En 2006, Cuarón nous offre ce "Fils de l'Homme", basé sur un roman de P.D. James, et qui nous emmène dans un monde ou les sociétés sont en plein déclin, du fait que depuis plus de 20 ans, aucune solution n'a été trouver pour résoudre le problème de l'extinction de l'humanité. Car depuis 20 ans, plus aucune femme ne peu enfanté. Seule quelques exceptions on donner naissance a des enfants, dont le plus jeune citoyen de la planète, est un jeune de 18 ans, qui va finalement ce suicider et faire les titres des médias de la planète. Theo Faron, un employé d'un journal locale de Londres, est de plus en plus confronté aux faits divers d'une immigration galopante dans une Grande Bretagne qui semble être l'un des derniers bastions ou il y a encore un gouvernement. Mais après avoir échapper à un attentat d'un groupe terroriste contre les directives très sévère sur les réfugiés, Theo va être enlevé par un mystérieux groupe. Là, il va finalement retrouver son ex femme, une des chefs de la résistance, qui va lui demander de l'aider a faire traverser une jeune réfugié africaine, hors de la zone de contrôle, afin de l'aider à embarquer sur un navire qui l’emmènera sur une île secrète, dernière terre promise pour cette jeune femme qui possède un secret. Elle est enceinte.... Un film qui montra déjà la patte du réalisateur mexicain a jouer de plan séquence que les amateurs de techniques en furent hallucinés. Mais malgré sa narration particulière, cela ne suffira pas a ce que les professionnels de la distribution y voit un film avec un potentiel. Du coup, le film ne sera très soutenu par les distributeurs, même si Clive Owen apportait la notoriété d'un acteur d'un certain charisme qui venait d'exploser dans le film de Spike Lee," l'Homme de l’intérieur". Le film, recevra néanmoins un certains nombres de prix, sans pouvoir compenser son budget initiale, malgré un réception assez bonne en France, mais malheureusement timide et peu soutenu aux USA. Mais la presse spécialisée va faire en sorte de soutenir le film, tant dans sa narration que pour son scénario, qui va finalement faire fonctionner un bouche à oreille qui va très vite faire monter le film au rang de classique, par le biais du support vidéo. Car même si le film méle à la fois désordre et espoir, tinter de religion par son coté "paralèlle a la nativité", c'est surtout le talent du reéalisateur qui aura le plus marqué des spectateurs avertis. Du coup, aujourd'hui le film n'est plus un film du grenier, même si le grand public n'a aucun souvenir de l'existence de ce dernier. Et pour ceux qui ne l'on pas encore vu, précipitez vous immédiatement pour le voir.
Directed by | Alfonso Cuarón |
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Produced by |
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Screenplay by |
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Based on | The Children of Men by P. D. James |
Starring | |
Music by | John Tavener |
Cinematography | Emmanuel Lubezki |
Edited by |
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Production
companies | |
Distributed by | Universal Pictures |
Release dates
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Running time
| 109 minutes[1] |
Country |
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Language | English |
Budget | $76 million |
Box office | $70 million |
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