Dans le grenier, des films qui tente les parallèles pour un message politique.
Nous somme en 2011 et sort sur les écrans un certain War Zone. Réaliser par Dzhanik Fayzief, ce film nous vient de Russie (exploiter aussi sous le titre August 8th), et son affiche peu en effet prêter à confusion. En réalité, un jeune garçon s'imagine vivre dans un monde de robot, de méchant, et transfert son univers virtuel à la réalité. Une réalité ou sa mère, tente de refaire sa vie avec un nouveau compagnon, alors que son ex maris, est actuellement de l'autre coté du pays. Elle décide pour passer un peu de temps avec son nouveau copain, d'envoyer son fils en vacance rejoindre son père. Le garçon est reçu comme un roi, mais sa mère, un peu dans les nuages, n'est pas informé de la situation dans la région ou ce trouve son maris. La région est sous le coup d'une menace de guerre, du fait d'un conflit territoriale avec son voisin. Elle décide alors de partir en urgence pour rejoindre son fils, alors que la guerre éclate. Contre vents et marrées, elle va traversé la dure réalité de la guerre, alors que son fils est retranché dans la maison familiale, après avoir vu ses grand parents et son père anéantis par ce monstre qu'il à imaginé, en réalité un tank. Un film qui n'est pas innocent de la situation car le terrain qui sert de fond au film n'est autre que le conflit en Ossétie du sud. Une façon d'aborder un conflit qui fut rapide mais tout aussi sanglant, en mélangeant le regard innocent d'un enfant a la violence de la guerre. Il n'en reste pas moins un film ou l'action est omnis présente, même si parfois parfois il subsiste un ton léger qui ne ce prête guère au sujet. Un film qui démontre la capacité du cinéma russe a rivaliser avec le cinéma américain sur le plan narratif, comme sur le plan visuel ou certaines scènes sont particulièrement soignées.
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