Les films du grenier n'est pas un blog de critique cinématographique mais plutôt une vitrine de films connus ou méconnus, d'expériences filmiques, d'anecdotes, de mise en avant de genres issus du cinéma commercial, d'auteur, indépendant, comme des série B, série Z, de la VOD, ou d'un lointain passé. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des films, devenus cultes, ou complètement oubliés, dans la mesure de leurs disponibilités sur Youtube, ou ailleurs. Raison pour laquelle sur le nombre de post, certains n'ont plus le film disponible du fait de sa suppression du net.

jeudi 10 juillet 2025

MIRA (2022)


 


MIRA est un film de fiction catastrophe russe, réalisé par Dmitry Kiselyov datant de 2022 avec Veronika Ustimova et Anatoliy Beliy.
L'Histoire d'une jeune fille, Mira, qui suite à un drame, a quelques difficultés a être sociable, même avec sa propre mère, et son beau père. Son petit frère dont c'est l'anniversaire est évidemment le centre du monde, alors que sa mère attend un autre heureux événement. Mais le père biologique de Mira, lui, se trouve dans la station spatiale russe en orbite autour de la Terre. Son père reste en contact souvent avec sa fille. Mais aujourd'hui est un jour particulier. Car le père de Mira va tenter de l'avertir qu'une catastrophe importante est sur le point d'arriver. Des météorites vont s'abattre sur l'ensemble de la région ou se trouve Mira.....
Alors, oui, je sais, c'est un film russe mais le cinéma est il responsable des événements ? Non. Même si certains boycottent désormais ce cinéma, il n'en reste pas moins productif. Et c'est l'année dernière qu'est sortir le gros morceau des films catastrophes russes, avec ce Mira (Titre anglais "The Lost Signal). L'histoire se base sur les valeurs de la famille, la survie, l'entente, la solidarité, ou certains y verront une forme de "patriotisme masqué". Mais au delà de l'histoire certes assez rocambolesque, ce film démontre qu'en matière de films catastrophe, le cinéma russe sait tout autant faire le spectacle. Surtout quand le réalisateur aime a s'amuser avec des plans séquences qui en réalité n'en sont pas dans la technique, mais l'illusion est plus ou moins là pour ne faire suivre cette jeune fille dans un parcours évidemment de survie, avec quasiment les ingrédients qui sont ceux souvent de ce genre. Evidemment, sa sortie en salle à l'internationale est quasiment passer aux oubliettes, même si certaines critiques ont reconnues un travail émérite et démontrant que le cinéma russe peut parfaitement jouer la concurrence avec les américains. A la seule différence c'est qu'évidemment, la Russie ne joue pas dans la cour de la diversité qui s'impose en tout et pour tout dans le cinéma occidental d'une manière globale.

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