Dans le grenier, des films avec des recettes qu'on disait "ouaiiii çà va marché" et puis... !
Prenez un réalisateur avec une bonne cote, genre Andrew Niccol, le même qui avait donner le Gattaca et plus récemment Time Out. Prenez un auteur qui a donner une série bien lucrative, comme Stephenie Meyer avec ses Twilights, et demander au réalisateur d'écrire un scénario sur l'un de ses bouquins, en particulier "The Host". Film datant de 2012, "Les Ames Vagabondes", comme il l'a été traduit dans sa version française, nous emmènes dans un futur, ou la race humaine est en train de disparaître sans disparaître. Disparaître dans son âme et conscience, au profit d'une entité extraterrestre qui prend comme ôte le corps des humaines, résolvant ainsi tous les problèmes de violence, de guerre, de religions, bref, justifie sa prise de pouvoir en faisant disparaître les maux que la race humaine avait engendré dans ses sociétés fondé sur des bases qui ne pouvaient menées qu'a sa propre destruction, et à la destruction de la Terre. Mais une jeune femme, Mélanie, résiste. Et même lorsqu'elle croit avoir échapper a l'inévitable en ce jetant du haut d'un immeuble pour ne pas être assimilé, elle va finalement ce réveillé enfermé dans son propre corps dont l'hôte a prit possession. L'hôte crois avoir prit le dessus mais Mélanie réussit a corrompre son hôte pour lui faire découvrir qu'il y a un monde pour la liberté, l'indépendance, etc... . Pourchasser, elle trouvera refuge auprès d'un groupe de survivant, dont le chef n'est autre que son oncle. Ou tous du moins, l'oncle de l'ancienne Mélanie, qui va devoir convaincre ce dernier qu'elle n'est pas seule dans ce corps. Un film qui tente de trouver une nouvelle issue à l'histoire classique de la SF, qui n'est autre qu'une relecture des Profanateurs de Sépultures. Même si la réalisation reste soigné, l'intrigue finit pas ennuyer, du fait d'un récit qui reste dans une ligné purement destiner à un public adolescent, s'éloignant finalement des opportunités qu'une histoire de la sorte pourrait ouvrir. Ennuyeux, sans surprise, un peu dans la ligné de tous ces films fantastiques et de SF qui émergent depuis quelques années, qui n'ont d’intérêt commercial que de ciblé un public jeune, s'éloignant parfois d'une narration plus complexe, plus développée, plus recherchée. Un film qui sera quelque peu descendu par la critique, de part son ambition très clair, et s'offrant comme un produit et non pas comme quelque chose d'innovant, bien loin de ce que le réalisateur avait eu l'habitude de nous donner. Un film qui ne sera pas un grand succès, restant néanmoins rentable, mais sans excès.
Directed by | Andrew Niccol |
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Produced by | |
Screenplay by | Andrew Niccol |
Based on | The Host by Stephenie Meyer |
Starring |
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Music by | Antonio Pinto |
Cinematography | Roberto Schaefer |
Edited by | Thomas J. Nordberg |
Production
company |
Nick Wechsler Productions
Silver Reel |
Distributed by |
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Release dates
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Running time
| 125 minutes |
Country | United States |
Language | English |
Budget | $40 million |
Box office | $63,327,201 |
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