Green Hornet, est à l'origine un personnage issue des années 30, né de la radio, puis repris dans des comics, avant d'être popularisé par une série télé assez kitch, plus connu aujourd'hui, pour avoir emprunter un jeune acteur chinois pour le rôle de l'homme de main, Kato, en l’occurrence Bruce Lee. Puis le personnage retomba un peu dans l'oublis non sans un certains nombres de rediff de la série. Et voici qu'en 2011, sort sur les écran, l'aboutissement d'un projet qui avait mit des années à voir le jour. Green Hornet, le film, avec Seth Rogen et Jay Chou dans les rôles titres. Sauf qu'il y eut un problème. La réalisation fut confié à un français en vogue, assez reconnu dans les milieux indépendants. Michel Gondry, le fameux petit français bidouilleur, c'est vu donc confier la réalisation d'un film à gros budget, (120 M$) pour tenter de lancer une franchise sur un personnage de comics, chose très tendance depuis une dizaine d'année. Sauf que, qui connait Green Hornet ? En tous cas, seul les amateurs de comics connaissent. Pour le grand public, c'est une autre histoire, surtout quand il n'est pas américain. Ce qui amena évidement la production a miser sur une campagne marketing assez importante afin de faire connaître un temps soit peu l'historique du personnage, et ainsi faire passer le message "ouai, et voilas, maintenant, c'est sur grand écran". Et c'est ainsi que les aventures de Britt Reid commencent. Fils d'un richissime homme d'affaire, il est totalement irresponsable et éternel adolescent. Mais un jour, son père meurt dans des circonstances étranges. Avec son ami, Kato, ils décident alors d'enquêter, non sans développer une forme de personnage justicier, à bord d'une vieille voiture néanmoins bourrée de gadgets, le Green Hornet. Une introduction qui ne manquera pas de bénéficié d'une période calme lors de sa sortie en salle, du fait d'une concurrence peu menaçante, et d'une sortie sur un week end férié du Martin Luther King 's day. Le film engendrera un bonne recette à l’échelle internationale, mais les critiques furent très mitigées, surtout du fait que l'on sentait le réalisateur pas très à l'aise dans ce genre d'exercice, et qui plus est, la prestation de Christopher Gantz, qui écrasait les autres acteurs, obligeant un remontage afin de minimiser sa présence à l'écran. Du coup, malgré une rentabilité assez confortable, l'idée d'une suite ou d'une préquel fut très vite démentis par le producteur, jugeant qu'il était trop risqué de renouveler l'expérience, surtout dans un marché qui commence a être saturé de super héro en tous genre. Mais au final, la rentabilité du film a été plus du a un choix stratégique et marketing que le film lui même. Car globalement, le public n'adhéra pas du tous, et du coup, le film ne marquera pas les mémoires. Et très franchement, Seth Rogen est nettement mieux dans son registre de film border line que dans ce genre d'exercice commercial.
Directed by | Michel Gondry |
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Produced by | Neal H. Moritz |
Written by | Seth Rogen Evan Goldberg |
Based on | The Green Hornet by George W. Trendle Fran Striker |
Starring | |
Music by | James Newton Howard |
Cinematography | John Schwartzman |
Edited by | Michael Tronick |
Production
company | |
Distributed by | Columbia Pictures |
Release dates
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Running time
| 119 minutes[1] |
Country | United States |
Language | English Mandarin |
Budget | $120 million |
Box office | $227.8 million |
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