"The Last Stand", ou "Le Dernier Rempart" dans son titre français, ce voulait être le retour sur grand écran de monsieur Schwarzenegger, après l'avoir vu dans Expendable 2 de Stallone. Un film datant de 2012, réaliser par Kim Ji-woon, un réalisateur sud coréen qui c'était fait remarqué avec son "The Good, the Bad and the Weird", suffisamment mouvementé pour interpeller les producteurs américains. Et pour ce retour de l'ex gouverneur de Californie, qui, on peu le dire, n'a plus trop la fraîcheur de ses années glorieuses, il fallait bien çà. Le scénario l'est tout autant dans la mesure ou il campe un shérif des frontières pépère, qui va avoir maille à partir avec des trafiquants de drogues, récemment échapper d'un tribunal et qui sont prêt à tous pour rejoindre le Mexique. On retrouve évidemment la classique artillerie lourde pour le pétard final, mais l'acteur n'a plus ses 30 ans, et on sent qu'il peine parfois a suivre le mouvement quand ce ne sera pas une doublure qui officiera à sa place, même pour ce qui est de faire quelques trots. D'ailleurs, l'acteur fera sans doute un clin d'oeil a cet état de fait qu'il n'a plus la forme de l'époque glorieuse. Car il faut reconnaître que l'acteur ayant subit un pontage quelques mois plus tôt avant le tournage, il était difficile de devoir lui faire faire des galipettes. Résultat, un film décevant pour les fans de la première heure, qui est bien loin de ce que l'on pouvait attendre d'un retour de monsieur univers. Le public en général aura aussi boudé l'ex star des années 80, qui pour le moment est loin de rejoindre le succès de son ancien concurrent. Le film n'engendrera pas suffisamment pour amortir le budget initial du film, malgré une critique qui restera relativement "sympathique", pour ne pas descendre outre mesure un film que ces dernier s'accordent à dire qu'il n'était pas à la hauteur d'un retour digne de ce nom. Bien évidement, cela implique l'acteur en tant que mythe des blockbuster d'antan, et non la qualité de son cinéma, qui est et restera du cinéma bourrin, pour un public averti. Mais qu'on se rassure, les films suivant ne feront que confirmé un fait désormais irréfutable. Schwarzzy n'a plus trente ans, et c'est peut-être un tournant dans sa carrière qui s'annonce, qui l’amènera en 2014 a accepter un role dans un petit film indépendant, pour un cacher plus que raisonnable du fait qu'il fallait désormais passer à autre chose que les films bourrins et pétaradant dans tous les sens. Quant a ce film, même la présence de Johnny Knoxville, l'un des trublions des Jackass, ne fera pas la différence pour tenter de séduire un jeune public.
Directed by | Kim Jee-woon |
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Produced by | Lorenzo di Bonaventura |
Written by | Andrew Knauer |
Starring | |
Music by | Mowg |
Cinematography | Kim Ji-yong |
Edited by | Steven Kemper |
Production
company | |
Distributed by | Lionsgate |
Release dates
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Running time
| 107 minutes[1] |
Country | United States |
Language | English |
Budget | $45 million |
Box office | $48 million |
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